Discussion:Cabri Géomètre

Choi et Elaine, j'ai ramené les discussions ici. Comme cette option discussion n'est pas hyper pratique, je propose ceci :

• on copie colle les § ou les phrases qu'on souhaite discuter en en dessous on met nos commentaires.
• si on change de jour on date comme ça on s'y retrouve un peu mieux
• on démarre chaque nouveau jour en haut de la page car comme c'est une page unique, ça va nous faire écrire à chaque fois au fond de la page, ça nous oblige à plus de manipulations.
• on note à qui on s'adresse en début de commentaire et qui parle en fin de commentaire, comme on avait l'habitude de le faire
• quand on répond à quelqu'un, on met "réponse" en gras et quand on lit une réponse qui nous est adressée on enlève l'écriture en gras, comme ça on repère très rapidement ce qui apparaît comme nouveau.

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16-12-06

Commentaire S: Choï, je suis partie aussi sur l'idée que la composante adaptation n'existe pas pour ce logiciel. Pourtant, le logiciel s'adapte en temps réel aux manipulations de l'utilisateur... D'autre part j'ai lu plusieurs fois la définition de générativité sur la fiche wiki et je ne saisis plus la différence avec adaptativité ! :-(

Commentaire S : Choï, cette phrase "L'idée c'est lorsqu'un mot ou un objet sont détournés de leurs usage initiale" est bizarre, je crois que "lorsque" est à enlever : l'idée c'est qu'un mot ou une phrase sont détournés de leur usage initial.

Commentaires C: Oui, c'est vrai, j'étais fatiguée. La phrase serait: "C'est lorsqu'un mot ou un objet est détourné de son usage initial.

Commentaire S: pour les liens j'ai harmonisé ce qu'avaient fait Rolph et Monique, à savoir tous les liens qui ne sont pas internes apparaissent en bas de page et les liens internes sont dans le texte sous forme de mots cliquables. Il faut dire qu'entre temps j'ai lu cette page et je suis complètement d'accord avec cette ligne d'édition, je vais d'ailleurs ramener le lien sur Moodle. Bon en fait il faut que j'y revienne car les renvois ne marchent pas du tout !!!

Bon finalement j'avais bêtement copié la syntaxe de Rolf et Monique pour les renvois en bas de page sous forme de liens mais ça ne marchait pas du tout, ça ouvrait une page vide au lieu de renvoyer en bas de page (j'ai regardé les pages d'origine) !! Donc voici ce que j'ai fait : les renvois vers des références livresques sont numérotés et entre [ ], ensuite tout ce qui est lien vers document disponible sur le Web est lié directement dans le texte. Comme on en retrouve la référence en bas de page, Choi, j'ai enlevé les dates dans le texte pour faciliter la lecture. ça m'a pris la tête cette histoire de lien et de renvois !

Commentaire S: Choi, excellent ce texte de Clot que tu as trouvé. Je suis en train de le lire Cette idée "en banlieue il faut conduire avec des automatismes sans automatismes" c'est percutant. Et je suis tout à fait d'accord avec ce que tu as écrit : "Comme cet environnement presente beaucoup de composantes attractives et ludiques, il se peut qu'ils soient détournés en quelques sortes de leur objectif initial. C'est justement ce que tentent d'expliquer Clot (1997) et Rabardel (1995) à propos de la notion de catachrèse." et le rapprochement que tu fais avec le texte. Quand il écrit : "On soutiendra ici que cette subversion de formes est un caractère général du développement psychologique réel. Celui-ci ne s'effectue pas en intériorisant les fonctionnements extérieurs ou les significations existantes mais en les recréant pour leur donner une "deuxième vie" au service de l'activité présente du sujet." appliqué à notre sujet, il est bien question d'appropriation des connaissances et son corrolaire, le transfert. Détourner des actions trop automatiques qui n'impliqueraient qu'un investissement inconscient de l'apprenant est bien un moyen de se rendre maître de ce qu'on essaye de lui inculquer à son insu (par automatisme), c'est donc bien une composante clé de l'appropriation des connaissances. En terme d'application, ça signifie qu'il faut, dans un logiciel éducatif, laisser cette marge à l'apprenant. Il doit être un minimum acteur de sa démarche pour arriver à la transférer à d'autres situations.

Commentaire S: Choi, il y a un truc avec les liens mais ne te casse pas la tête je m'en occuperai quand on aura fini, je les reverrai tous -et d'ailleurs à ce moment là je mettrai les renvois numérotés-. Simplement quand on fait un lien interne, la petite flêche ne doit pas apparaître car elle indique que le lien est externe. Je t'expliquerai comment faire. Pour l'instant c'est vraiment pas grave, je le note surtout pour me souvenir qu'il faut le reprendre.

'Sylviane, j'ai abordé les thèmes de traitement d'intelligence, d'immersion et je pensais continuer éoriques, les concepts, etc.. d'où la difficulté à transformer ces activités géométriques en connaissances (durables et transposables)... (C)

Choï, à vrai dire, pour moi, la composante ludique de ce logiciel n'est pas très claire, je ne le trouve pas vraiment ludique. A mon avis ce serait ludique pour s'il y avait quelque chose apres l'étape symbolisation. Le fait qu'on puisse bouger des lignes, tirer des points et changer de couleurs les éléments ne me semble pas être une composante ludique. La principale raison qui fait que je ne le trouve pas ludique c'est qu'il n'y a pas de scenario derrière. Même dans Typershark il y avait un scénario, certes minimaliste mais tout de même :-). Ce serait plus ludique si après avoir construit différentes figure géomètriques, l'élève devait construire un bâtiment par exemple. Mais bon, je pense que si tu es persuadée qu'il y a une composante ludique il faut continuer sur cette piste et on verra bien. (S)

D'autre part Rolf et Monique introduisent l'idée qu'il n'est pas ludique : "A la différence d’un logiciel ludique se caractérisant plutôt par une motivation extrinsèque (par exemple, réussir un bon score), Cabri-Géomètre requiert une motivation intrinsèque" donc si on part là-dessus il nous faut changer quelques points dans leur texte. Ils écrivent juste qu'il est divertissant mais est-ce que ça suffit pour caractériser ce logiciel de ludique.(S)

Réponse C: Ok, Sylviane, je m'explique: Le terme ludique est employé dans le sens de "facteur de motivation" pour entrer dans une tâche. Car tu le sais bien, "on attire pas des mouches avec du vinaigre", surtout dans les matières telles que les maths et la physique... Le fait de rendre certaines "fonctions" plus conviviales ou plus attractives concerne l'engagement à la tâche, faisant suite à la période d'immersion dont j'ai parlé. La notion de jeu est employé ici comme catachrèse. Donc, je ne dis pas que c'est un jeu, et je ne fais pas non plus référence à l'apprentissage ou aux objectifs du logiciel. Et c'est la raison pour laquelle j'ai enchaîné par "mais peut entraîner la notion de "jeu". La composante "ludique" n'est pas toujours centrée sur le jeu... mais bien sur une manière de présenter certaines fonctionnalités qui seraient peut-être plus complexes et démotivantes autrement.. Bon, j'arrête là les explications... Mais si mes explications ne sont tjs pas plus claires, alors on l'enlève. Pas de probl. :-)

Réponse S : Non je crois que je comprends ce que tu voulais dire : en fait il y a une idée d' ergonomie ludique, de prise en main ludique ce qui ne signifie pas pour autant que la composante ludique est le pivot de l'apprentissage dans ce jeu : on n'apprend pas par le jeu, on rend juste la manipulation attractive et amusante. Ok on garde l'idée Choi et je trouve intéressant de mettre en avant ceque tu as dit du risque de perdre l'objectif de vue.

Retour C: Non, vraiment, il ne faut pas croire que le terme "ludique" (amusant) est rattaché au concept de jeu... donc, je propose qu'on enlève mon texte, car il semble que je n'arrive pas à expliciter mes pensées... Je ne parle en aucun cas de jeu.. cabri n'est pas un jeu!! et je ne dis pas non plus que c'est "pivot de l'apprentissage dans ce jeu". Donc, j'effacerai demain.

Pour l'image je rigolais, c'était un clin d'oeil...

Suite réponse C : En ce qui concerne ce qu'on dit nos collègues, il ne faut pas écarter l'idée.. que les motivations extrinsèques ou intrasèques ne garantissent pas tjrs un apprentissage qui soit orienté selon des concepts théoriques voulus... Alors, la composante ludique présentée ici ne caractérise pas le logiciel, mais les fonctions (ou les possibilités des outils)...

Pour ta crainte de l'image utilisée, j'ai mis la source de l'image et selon Schneider, c'est ce qui est principal!! Mais j'ai quand même alors rendu visible le lien :-)

Enfin, j'ai rajouté les liens vers la page de disscussion sur "cabri", c'est plus pratique. Par contre, faudra pas oublier d'effacer le lien à la fin !!!! De même pour ici, vers la page Maeia.

Réponse S : oui d'accord on y pensera, merci Choi. J'espère que ça ne vous paraît pas trop compliqué à utiliser, cette page discussion

Tu écris : "mais peut entraîner la notion de "jeu" à la place de comprendre les notions théoriques, les concepts, etc.. d'où la difficulté à transformer ces activités géométriques en connaissances (durables et transposables)..." je trouve ça très vrai parce que moi-même en essayant le logiciel je me suis laissée embarquer par le coté manipulation (tirer de lignes, faire tourner des figures etc) en perdant complètement de vue les buts de ces manipulations. En fait j'ai trouvé que cette étape de manipulation était plus du coté découverte divertissante que du coté jeu. C'est à dire que lorsqu'on a fini de découvrir qu'on peut étirer, faire tourner etc. eh bien le divertissament s'arrête car on a fait le tour. Alors qu'un jeu on peut le reprendre et jouer à nouveau.(S) '

références

J'ai mis toutes les références en fin de page parce que je trouve que ça gène la lecture. Du coup il faut qu'on fasse comme Rolf et Monique, c'est à dire qu'on mette un n° aux références ce qui amène le lecteur directement en bas de page où il clique sur le lien. ça permet aussi une cohérence graphique avec le précedent travail (S)

Réponse C: Oui, d'accord.

Réponse S : j'ai réécris ce que je voulais te dire dans ce § "références" car ma phrase a été tronquée

12-12-06

Je renote les consignes de la semaine ici: les fiches "logiciel": il faudra compléter la partie "Possibilités de l'ordinateur" des fiches "logiciel"du wiki MayEia sur Edutechwiki. Pour le logiciel en question, vous étudierez quels principes technologiques ont été exploités, en lien avec les fiches de type "Possibilités de l'ordinateur". Ce travail se fait en groupe, les groupes "fiches". A noter qu'une permutation des logiciels étudiés s'opère: chaque groupe va compléter une fiche "logiciel" qui a été commencée par d'autres étudiants.

J'ai mis quelques idées dont la rédaction est pour l'instant à l'état de brouillon (S)

• Capacité de stockage

- pour moi, non.(C)

- pour moi oui : voir menu "session"/ "commencer l'enregistrement" : vraisemblablement le logiciel propose d'enregistrer les manipulations successives de l'utilisateur. Ça signifie qu'il détermine un répertoire dans lequel vont être stockés ces enregistrements (répertoire que l'apprenant doit pouvoir vraisemblablement modifier). On peut donc bien parler de "fonctions de stockage". Conséquences en terme d'apprentissage : une démarche métacognitive est possible : l'apprenant visionne après-coup son exercice et peut avoir une idée de son propre cheminement. D'autre part, certaines de ses erreurs peuvent être alors expliquées par son professeur, ainsi celui-ci peut constater si l'apprenant est arrivé à la solution "par hasard" ou s'il y a eu une démarche logique de compréhension et d'appropriation. (S)

C'est comme tu veux... mais je maintiens mon avis. C'est juste ce que tu dis, mais en quoi, serait-ce un concept phare pour nous? (c'est là dessus que je me base..) (C)

• Adaptation

- pour moi, non.(C)

- pour moi non plus (S)

• Informations partagées

- pour moi, non. (C)

- pour moi oui : si le fichier généré par "enregistrer la session" l'est dans un format compatible, alors il est facilement diffusable. Si ce fichier est partageable, on peut envisager une situation collaborative, par exemple des élèves réflechissent sur le travail d'autres élèves. Sinon effectivement, il n'y a pas de liens hypertextes vers l'exterieur et dans la version démo, on ne sait pas dans quel format sont enregistrés les travaux (format propriétaire utilisable uniquement sous Cabri ou non). En tous cas il n'y a pas non plus possibilité d'exporter le travail fait dans une autre application. Le partage de l'information ne semble donc pas être la priorité.(S)

Aaaah je commence à comprendre... Tu parles de fichiers partageables alors que moi, je suis centrée sur les objectifs d'origine (des concepteurs, des profs de géométrie, de maths,...)et pédagogiques... (à savoir, facilitation apprentissage de géométrie par des représentations visuelles...et.. théorisations possibles à partir des actions).. Donc, ce n'est pas tout à fait la même chose... Aussi, si tu souhaites partir sur ton point, je ne vois pas de problèmes... a priori. (C)

• Traitements intelligents

- Intelligence artificielle: cabri = micromonde intelligent -environnement d'apprentissage en géométrie- (C)

- voir aussi page maya l'intelligence artificielle

• Accès à l'information

- l'information?? je dirai alors l'information visuelle... dans le sens du passage entre la théorie à la perception du résultat sur l'écran... avez-vous d'autres pistes? (C)

- on pourrait voir avec cette partie du texte de Dillenbourg : "Plusieurs solutions ont été proposées pour adapter l'explication rendue au niveau de l'apprenant. La plus simple est finalement de fournir une explication sous le format d'un hypertexte : l'apprenant peut ainsi décider de survoler certaines parties et de lire plus attentivement d'autres sections, c'est-à-dire d'adapter au niveau de granularité selon ses propres besoins." Donc l'accès à l'information, ce pourrait être d'avoir des petites explications à la demande sous forme de bulles, fenêtres popup, liens externes ou autre forme. L'apprenant les consulterait en cas de besoin. Conséquence en terme d'apprentissage : un apprentissage très individualisé et plus complet, permettant de travailler à son rythme et en partant de là où on en est. (S)

De ce point de vue, ce n'est pas le cas pour Cabri : par exemple si on active la touche "aide", certes des explications apparaissent en bas dans une fenêtre qui s'ouvre mais cette fenêtre reste alors présente jusqu'à ce qu'on la desactive. Cette option n'est pas personnalisable, on peut donc en déduire que le logiciel pour cette option "aide", postule deux modèles d'utilisateurs et seulement deux, et,qui plus est, vont d'une extrême à l'autre : celui qui sait se servir du logiciel et celui qui ne sait pas. Il n'y a pas l'intermédiaire c'est à dire celui qui connaît telle fonction mais pas telle autre. On peut regretter qu'aucune définition n'apparaisse pour les mots "homothétie", "translation", "rotation" etc.. Conséquences en terme d'apprentissage : l'apprenant n'a pas d'autre choix pour aborder une connaissance que d'essayer puis de constater ce qu'il se passe et d'en déduire des principes. (S)

Ok, mais cet apprentissage est souvent suivi par un enseignant.. je ne pense pas que l'apprenant puisse s'auto former tout seul sur cabri. (C)

• Immersion

- pour moi, non.(C) - Quoiqu'en discutant avec Marie l'autre soir, la difficulté pour les apprenants résident au départ, par l'apprentissage des fonctionnalités du logiciel... afin de se décentrer par la suite des outils et se concentrer davantage sur l'objectif pédagogique... Donc, pourquoi pas, mais ce n'est pas un thème primordial...(C)

- pour moi non plus (S)

• Générativité

Voir page maya sur la générativité qui me semble important à propos du logiciel cabri. (C)

Texte donné en biblio: [1]

• Composante ludique

- les icônes, la palette de couleurs et les effets que l'on peut donner aux couleurs. - l'insertion d'image, l'image bouge avec l'objet - choix de police, du style - possibilité de création...etc. (C)