Le rapport réflexif

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Définitions

Afin de comprendre correctement ce qu’on attend d’un rapport réflexif, il est important tout d’abord de définir les mots constituant ce type de document. En effet, le rapport réflexif, comme son nom l’indique, n’est pas un document quelconque et mérite d’être défini de la manière la plus concise possible. En donnant une définition des termes qui constituent ce groupe nominal, il nous sera possible de donner une définition complète du rapport réflexif.

Rapport

Tout d’abord, il est évident que lorsqu’on parle de ce type de document, il y a tout d’abord le terme « rapport » qui mérite d’être défini. D’une manière générale, un rapport est considéré comme un exposé dans lequel un individu relate ce qu’il a vu ou bien entendu. En quelques mots, on peut dire que c’est une sorte de compte-rendu rédigé par une ou des personne/s décrivant une situation donnée.

Réflexivité

Le second terme important est l’adjectif « réflexif ». Ce terme renvoi à la nature du rapport qui est demandé. En effet, la réflexivité est l’aspect central du rapport. En quelques mots, dans ce contexte, la réflexivité est la capacité d’effectuer un retour sur soi-même d’un point de vue cognitif.

Rapport réflexif

A partir des définitions abordées plus-haut, il est désormais possible de donner une définition plus précise du terme « rapport réflexif ».

Lorsqu’on parle de rapport réflexif, c’est le fait de relater ce qu’un individu a pu percevoir lors d’une expérience précise mais également ce que cette expérience a pu apporter à cette même personne. Donc, on peut voir qu’il existe bel et bien une dimension psychologique derrière ce terme. En effet, lorsqu’un individu rédige un rapport réflexif, il doit être capable de prendre du recul sur les expériences vécues afin de les analyser et d’en tirer des conclusions.

L'écriture réflexive

Lorsqu’il est demandé à un individu d’écrire un rapport réflexif, il est évident que celui-ci doive adopter une écriture bien spécifique pour mener à bien sa tâche. En effet, l’écriture réflexive demande un effort considérable dans la formulation des propos tenus car l’individu ne doit pas uniquement relater une expérience vécue mais doit également réussir à prendre du recul sur cette même expérience. Pour cela, la formulation utilisée se doit d’être structurée tout en essayant de retranscrire correctement les pensées de l’individu. Comme le souligne Vanhulle dans le texte l’écriture réflexive, une inlassable transformation sociale de soi : « […] les écrits réflexifs fonctionnent comme les traces de cheminements singuliers à travers lesquels les étudiants traduisent les références professionnelles co-construites et élaborent leur propre agir communicationnel. » (Vanhulle, 2004). Pour conclure, l’écriture d’un rapport réflexif a pour but d’amener l’individu à se questionner sur ses propres expériences. Ce questionnement « devient réflexif s’il mène les personnes accompagnées à réfléchir sur leur pratique pédagogique ou sur leur métier d’élève, à propos de leurs stratégies d’apprentissage ou d’enseignement ou sur les processus mis en œuvre dans la réalisation d’une tâche » (Lafortune, 2006). L’aspect le plus important du questionnement réflexif est qu’il enclenche chez l’individu une sorte de confrontation. Comme le souligne Bibauw «  […] l’écriture ne vient que dans un second temps, non comme exercice réflexif en tant que tel, mais comme effort d’intériorisation et de mise en évidence de ce qu’a enclenché la confrontation comme remise en question » (Bibauw, 2010). En quelques mots, le questionnement est l’étape préalable à l’écriture car elle permet à l’individu une certaine prise de recul sur l’expérience ainsi que sur son parcours cognitif lié à une expérience qu’il souhaite relater.

Un outil important pour l'écriture du rapport réflexif : le journal de bord

Lorsqu’il est demandé de réaliser un rapport réflexif, de nombreux outils peuvent appuyer la démarche d’écriture d’un individu. L’un des plus important est bel et bien le journal de bord connu également sous le nom de carnet de recherche. Un journal de bord peut être considéré comme un journal étant « […] un support écrit ou informatique (ou les deux) dans lequel un [étudiant ou chercheur] consigne tout son travail intellectuel [y inclus ses réflexions] selon une structure thématique qui lui est propre » (Prégent, 2001). Le fait de tenir un journal de bord tout au long d’un processus d’apprentissage à pour but d’aider l’auteur à retenir des informations importantes pour ensuite avoir la possibilité de relire ces informations en prenant de la distance. En pouvant se baser sur des réflexions écrites quotidiennement, cela permet à l’auteur de s’apercevoir des changements qu’il y aurait pu avoir lors de l’expérience vécue ainsi que ces diverses interrogations qui auraient pu surgir lors de cette expérience. Cependant, afin que cette démarche soit bénéfique pour l’auteur, il est clairement évident qu’il faut qu’il puisse relire son carnet de bord tout en réussissant à avoir une certaine distanciation ce qui n’est pas toujours facile à réaliser surtout pour des novices. En effet, cette faculté à se distancier par rapport à ses propres expériences afin de remobiliser les aspects importants de celle-ci s’acquiert avec le temps et la pratique.

Utilité du rapport réflexif

Dans les processus d’acquisition de nouvelles connaissances, la rédaction du rapport réflexif apporte clairement plusieurs bienfaits pour l’auteur de celui-ci. Parmi les multiples apports existants, nous avons choisi d’en expliciter deux en particulier : la consolidation de l’apprentissage et la construction d’une identité professionnelle.

Consolidation de l'apprentissage

Dans un premier temps, le fait de devoir adopter une posture autoréflexive facilite et consolide les divers apprentissages. En effet, Le terme de pratique réflexive qui est un concept développé par Shön (1983) indique que le fait de réfléchir dans l’action et après l’action, dans le but d’améliorer ses pratiques pédagogiques porte ses fruits en utilisant une posture autoréflexive. De plus, l’écriture de rapport réflexif permet aux auteurs de travailler une capacité très importante dans l’acquisition du savoir qui est la capacité métacognitive. En effet, afin d’arriver à une trace écrite du cheminement d’un apprentissage, les auteurs doivent en quelque sorte verbaliser leur apprentissage pour ensuite effectuer un retour afin de comprendre de quelle manière l’apprentissage a été réalisé. Le fait de devoir accomplir ces différentes tâches dans le but de laisser une trace écrite (rapport réflexif) permet aux auteurs d’intérioriser leurs propres apprentissages. Pour conclure, on pourrait affirmer que le processus d’autoréflexion lié à l’écriture du rapport réflexif ainsi que les différents aller-retour sur les expériences vécues et les expériences ressenties contribue réellement à une consolidation des connaissances.

Construction d’une identité professionnelle

Puis, l’écriture d’un rapport réflexif active chez l’auteur une dimension très importante qui est celle de la construction d’une identité professionnelle. Comme on peut le voir dans le texte de Riopel: « L’identité professionnelle se développe lorsqu’il y a saisie et reconnaissance, par le sujet et par d’autres acteurs sociaux, de sa trajectoire individuelle et sociale. » (Riopel, 2006). Grâce à la démarche réflexive présente dans un rapport réflexif, l’auteur de celui-ci arrivera à comprendre une trajectoire donnée. En effet, la réflexivité est une composante du processus de formation de l’identité professionnelle et elle « permet à l’individu de dégager l’ensemble des représentations, des schémas cognitifs et symboliques plus ou moins formels de retour sur soi de l’identité » (Riopel, 2006). En quelques mots, la capacité à avoir une démarche réflexive amène l’auteur à développer une identité professionnelle en s’appuyant principalement sur la méta-réflexivité de ses expériences. Cependant, comme Riopel l’indique, il faut que l’auteur acquière une attitude spécifique liée à son apprentissage. En effet, il faudra que celui-ci privilégie les questionnements sur ses expériences antérieures ainsi que sur la pratique professionnelle qu’il développe et qu’il observe (Riopel, 2006). Au final, on peut se rendre compte que le terme de « réflexivité » est bien plus important qu’on ne le pense. En effet, ce n’est pas un simple terme scientifique, au contraire, la réflexivité peut être perçue comme un réel instrument de professionnalisation pour les personnes se trouvant dans une situation d’apprentissage quelconque.

Conclusion

Pour conclure, on s’aperçoit très vite que l’écriture réflexive n’est pas une tâche simple à réaliser et qu’elle demande un certain savoir faire. En effet, la rédaction d’un bon rapport réflexif se base tout d’abord sur la capacité à prendre du recul par rapport aux différentes expériences vécues lors du processus d’apprentissage. Ce qui est important de savoir c’est que l’acquisition de cette capacité n’est pas innée et se travaille. Tout d’abord, comme nous l’avons vu plus haut, les auteurs de rapports réflexifs peuvent s’appuyer sur certains outils afin de les aider à entreprendre une démarche méta-réflexive comme par exemple l’utilisation d’un journal de bord. Puis, il ne faut pas oublier que l’écriture réflexive comme tout autre connaissance s’acquiert avec de la pratique. Il est tout à fait normal qu’un individu n’arrive pas instantanément à écrire un rapport réflexif en intégrant les différents éléments importants ainsi qu’en adoptant la posture adéquate. Mais, il est évident que la maitrise de l’écriture réflexive s’acquiert avec l’expérience qu’un individu arrive à engranger dans ce domaine. Au final, on peut affirmer que le rapport réflexif ainsi que l’écriture autoréflexive peuvent être réellement perçut comme des outils d’accompagnement servant à l’acquisition de nouvelles connaissances.

Text-mining sur le contenu de rapports réflexifs

Problématique

Comme nous avons pu le voir ci-dessus, l’écriture réflexive peut être très utile pour l’apprentissage des individus. Cependant, elle ne s’acquiert pas si facilement que l’on ne pense. En effet, afin de maitriser la forme ainsi que les termes à utiliser dans l’écriture réflexive il est nécessaire acquérir de l’expérience en pratiquant le plus possible. A partir de ces propos, il nous a semblé intéressant de pratiquer une procédure de text-mining sur certains rapports réflexifs rédigés durant l’année scolaire 2013-2014 dans le cadre d'un cours du master MALTT. Nous avons choisi d’utiliser les rapports réflexifs d’une seule personne écrits tout au long de l’année scolaire 2013-14. Initialement, notre but dans la procédure qui va suivre sera d'identifier l'évolution ou non de certains aspects concernant l'écriture ainsi que la posture réflexive des rapports sélectionnés. Idéalement, notre deuxième objectif serait de tenter de percevoir si la posture méta-réflexive de la personne qui a écrit ces rapports réflexifs a évolué au long de son année scolaire. Pour cela, nous allons nous aider d’une procédure dite de « text-mining » qui nous permettra de mettre en évidence certains aspects jugés importants dans les rapports réflexifs étudiés.

Définition du terme text-mining

Afin de mieux comprendre la procédure que nous allons utiliser dans la suite de ce travail, il nous semble important de définir en quelques mots le terme de text-mining. Cette technique nous donne la possibilité d’automatiser le traitement de grands volumes de contenus texte pour en extraire les principales tendances dans le but de répertorier de manière statistique les différents sujets évoqués. Finalement, il est important de savoir qu’il existe de nombreuses méthodes ainsi que de nombreux outils qui permettent d’appliquer cette technique de text-mining.

Procédure

Constitution du corpus à analyser

Pour ce travail, comme nous l’avons mentionné plus haut, nous allons utiliser des rapports réflexifs écrits dans le cadre de deux cours du master MALTT de l’année 2013-2014. Ces deux cours sont ceux de COMEL et de VIP. Les enseignants donnant ces deux cours ont choisi de proposer à leurs élèves de rédiger un rapport réflexif à chaque fin de période durant toute l’année scolaire. Au final, notre corpus est constitué de trois rapports réflexifs écrits dans le cadre du cours VIP et de quatre rapports réflexifs rédigées dans le cadre du cours COMEL. Pour rappel, nous avons choisi de nous focaliser uniquement sur les travaux d’une seule et unique personne pour laquelle nous avons choisi de ne pas dévoiler son identité afin de respecter son anonymat.

A voir si seulement utiliser COMEL --> analyse = très longue sinon

Indicateurs choisis pour l'analyse du corpus

Pour tenter de comprendre si l’écriture réflexive de l’individu que nous avons sélectionné pour ce travail s’est améliorée au fil de l’avancement de l’année, il est évident qu’il nous faudra mener une analyse sur le contenu des rapports réflexifs. Pour cela, il nous est primordial de trouver des indicateurs sur lesquels nous pourrons baser notre analyse de contenu. Le texte de Buysse et Vanhulle (2009), nous propose une grille d’indicateurs:

Thumb

En quelques mots, les auteurs de cet article ont trouvé huit indicateurs qui permettent d’analyser la structure textuelle d’une écriture réflexive :

  1. La modalisation
  2. La régulation
  3. La médiation
  4. La réélaboration
  5. L’opération cognitive
  6. Le niveau de réflexivité
  7. La source de médiation
  8. Le type de savoir

C’est à partir de cette grille que nous avons pu choisir certains indicateurs qui pourraient être utilisé dans le cadre d'un texte mining sur un contenu textuel. Il est important de souligner que dans notre cas, la technique de texte mining serait très compliquée à mettre en place pour certains indicateurs présents dans la grille ci-dessus. Prenons l'exemple de l'indicateur "type de savoir", il est très difficile de faire ressortir des éléments intéressant sur cet indicateur à partir d'une analyse automatique. En prenant en compte ces multiples indicateurs, nous en avons choisi trois qui, selon nous, pourraient nous aider à analyser notre corpus à partir d'une analyse de contenu automatique (text-mining):

  1. L'opération cognitive
  2. Le niveau de réflexivité
  3. La modalisation

Questions

Les trois indicateurs sur lesquels nous avons choisi de baser notre analyse nous on permis d'établir trois questions importantes qui nous permettrons (en partie) d'analyser la réflexivité du contenu de notre corpus :

  1. L'opération cognitive : quel est le type de texte rédigé dans les différents textes du corpus (descriptif, argumentatif, déclaratif, etc.) ?
  2. Le niveau de réflexivité : Parmi les mots dits réflexifs choisis, de quelle manière leur utilisation évolue t-elle au fil de l'avancement de l'année ?
  3. La modalisation: de quelle manière sont structurés les différents textes du corpus ?

Outils utilisés pour le text-mining

  • Tropes: nous avons identifié le logiciel Tropes comme étant le plus adéquat afin de savoir de quel type sont les différents textes de notre corpus. Ce logiciel sert à entreprendre des démarches de texte mining ou également d'analyse sémantique. Il permet également de déterminer, au sein d’un ou plusieurs textes, qui sont les acteurs principaux, quelles sont les différentes relations entre eux, etc. Pour notre recherche, nous utiliserons uniquement la fonction de Tropes qui nous permet d'identifier face à quel style de texte (argumentatif, descriptif, etc.) nous avons à faire.
  • Voyant Tools: nous avons choisi d'utiliser cet outil d'analyse de texte afin de répondre à notre deuxième question (ci-dessus). En quelques mots, Voyant Tools permet d'analyser des textes en mettant à disposition à l'utilisateur un bon nombre d'outils différents. Dans notre recherche, nous utiliserons principalement l'outil "term frequencies chart" qui nous permettra de savoir de quelle manière les termes choisi pour notre analyse seront répartis dans notre corpus.




  1. Taporware

--> A tester pour voir si permet de répondre aux questions posées

Analyse des résultats obtenus

L'opération cognitive

Analyse du style à partir du logiciel Tropes
  • Analyse sur le style du premier rapport réflexif:


Thumb
  • Analyse sur le style du deuxième rapport réflexif:


Thumb


  • Analyse sur le style du rapport réflexif final:


Thumb
Discussion des résultats

+++

Le niveau de réflexivité

Pour déterminer ce niveau, comme nous l'avons dit plus haut, nous avons choisi d’utiliser l’outil voyant tool. Cependant, il nous a également fallut définir ce qui,selon nous, était des expressions ou des mots qui reflétaient la réflexivité chez les individus dans une situation d’apprentissage. Dans un premier temps, nous avons choisi le terme de «prise de recul», qui selon nous, montre qu’il y a une réflexion rétro-active sur un possible apprentissage. Ensuite, il nous a semblé intéressant de choisir le terme «d’apprentissage» qui devrait être de plus en plus présent au fil de l’avancement de l’année. Ensuite, nous avons également choisi l’expression «se rendre compte» qui montre, selon nous, une certaine prise de recul sur un possible apprentissage. Pour conclure, nous avons également choisi le terme «réflexivité» qui nous semble approprié afin d’analyser cet indicateur.


Analyse des termes à partir du logiciel Voyant Tools
  • Terme «prise de recul»:


Thumb


  • Terme «se rendre compte»:


Thumb


  • Terme «apprentissage»:


Thumb


  • Terme « réflexivité »:

En faisant une analyse automatique de notre corpus, nous n'avons pas trouvé de terme correspondant à "réflexivité" ce qui veut dire que l'auteur de ces textes réflexifs n'a pas utilisé ce terme.


Discussion des résultats

Analyse1 :

Comme nous pouvons le voir dans le graphique ci-dessus, l'utilisation du terme prise de recul ("recul") augmente considérablement au fil de l'avancement de l'année. En effet, dans le premier bilan, on peut voir que ce terme n'y apparait pas. Cependant, le graphique nous montre que l'auteur des rapport réflexifs commence à utiliser ce terme plus fréquemment au fil de l'avancement du cours.

Analyse2 :

En analysant le graphique ci-dessus, on peut très vite voir que l'auteur a toujours eu une certaine prise de conscience concernant son apprentissage. En effet, l'expression "se rendre compte" a toujours été utilisé dans les trois rapports réflexifs. Cependant, lors du dernier rapport réflexif, en fin d'année, nous pouvons voir que ces termes reviennent plus fréquemment ce qui pourrait indiquer qu'il y a une avancée du point de vue de l'écriture méta-réflexive de l'apprenant.

Analyse3 :

L'analyse de ce terme est un peu différente des précédentes. En effet, l'outil voyant tool fait la différence entre le terme "apprentissage" et le terme apprentissage constitué de déterminants. C'est pour cela qu'il y a plusieurs courbes sur notre graphique. Cependant, en l'analysant on peut s’apercevoir que le terme apprentissage est de manière générale très présent lors des deux premiers rapports réflexifs. Tandis que l'utilisation de ce mot est légèrement moins présent dans le rapport réflexif final.

La modalisation

XXX

Discussion / limites

A venir.

Conclusion

A venir.

Références

  • Bibauw, S. (2010). Écriture réflexive et réflexion critique dans l’exercice du compte rendu. Revue internationale de pédagogie de l’enseignement supérieur, 26(1)
  • Buysse, A., & Vanhulle, S. (2009). Écriture réflexive et développement professionnel: quels indicateurs?. Questions Vives. Recherches en éducation, 5(11), 225-242.
  • Lafortune L. (2006). Accompagnement-recherche-formation d’un changement en éducation : un processus exigeant une démarche de pratique réflexive. Formation et pratiques d’enseignement en questions. Université du Québec, N° pp. 187-202.
  • Prégent, R. (2001). Encadrement des travaux de mémoire et de thèse - Conseils pédagogiques aux directeurs de recherche. Presses internationales Polytechnique. Ecole Polytechnique de Montréal.
  • Riopel, M-C. (2006). Apprendre à enseigner : une identité professionnelle à développer. Presses Université Laval. Université de Laval.
  • Schön, D. A. (1983). The reflective practitioner: How professionals think in action. New York: Basic Books.
  • Vanhulle S. (2004). L’écriture réflexive, une inlassable transformation sociale de soi. Didactique des disciplines et intervention éducative. Université de Liège. Repères N° 30/2004