« Faire preuve de créativité et d’innovation » : différence entre les versions
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Il s’agit ici de développer une posture de réappropriation de la technologie et du savoir-faire associé en vue d’apporter « une touche singulière » de sortir de l’ordinaire (Nova, 2017, p.8). Cela revient à savoir considérer la technologie comme moyen d’invention, de création de nouvelles opportunités découlant des pratiques réelles des technologies dans les contextes où elles s’intègrent (Bar et al., 2015 ; Edgerton, 2007 ; Jauréguiberry et Proulx, 2001; Schumacher, 1973; Simonian, 2019) . Ce processus d’appropriation fait appel à la subjectivité de l’acteur qui évalue l’objet numérique étranger en regard de ses besoins et des conditions dans et avec lesquelles il devra s’organiser pour exécuter son travail (Payen et Nova, p.4, 2023). Il met en valeur la production libre et personnalisée. | Il s’agit ici de développer une posture de réappropriation de la technologie et du savoir-faire associé en vue d’apporter « une touche singulière » de sortir de l’ordinaire (Nova, 2017, p.8). Cela revient à savoir considérer la technologie comme moyen d’invention, de création de nouvelles opportunités découlant des pratiques réelles des technologies dans les contextes où elles s’intègrent (Bar et al., 2015 ; Edgerton, 2007 ; Jauréguiberry et Proulx, 2001; Schumacher, 1973; Simonian, 2019) . Ce processus d’appropriation fait appel à la subjectivité de l’acteur qui évalue l’objet numérique étranger en regard de ses besoins et des conditions dans et avec lesquelles il devra s’organiser pour exécuter son travail (Payen et Nova, p.4, 2023). Il met en valeur la production libre et personnalisée. | ||
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Version du 26 juin 2024 à 21:09
Il s’agit ici de développer une posture de réappropriation de la technologie et du savoir-faire associé en vue d’apporter « une touche singulière » de sortir de l’ordinaire (Nova, 2017, p.8). Cela revient à savoir considérer la technologie comme moyen d’invention, de création de nouvelles opportunités découlant des pratiques réelles des technologies dans les contextes où elles s’intègrent (Bar et al., 2015 ; Edgerton, 2007 ; Jauréguiberry et Proulx, 2001; Schumacher, 1973; Simonian, 2019) . Ce processus d’appropriation fait appel à la subjectivité de l’acteur qui évalue l’objet numérique étranger en regard de ses besoins et des conditions dans et avec lesquelles il devra s’organiser pour exécuter son travail (Payen et Nova, p.4, 2023). Il met en valeur la production libre et personnalisée.
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