Discussion:Facteurs de réussite d'un forum

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Espace de discussion ouvert -- Pierre-Alain Luthi 9 octobre 2009 à 06:36 (CEST)

Intro

Si vous voulez échanger sur cette thématique, n'hésitez pas à laisser vos messages ou questions dans cet espace :-)


Réflexion

Le lien entre oralité - écriture et surtout une sorte d'écriture prôche de l'oral que permet le forum ! Comme condition de son bon fonctionnement.

Autrement il y a aussi le fait que le forum type construction de logiciel libre est une activité de groupe extrêmement strict. Les codeurs sont loin de pouvoir faire état de leur créativité ... en code l'orthographe est la règle absolue auquel personne ne peut échapper. Le moindre iota à l'envers et le programme ne marche pas.

Ces conditions particulière sont le contexte dans lequel émerge c'est vrai une production de connaissance de qualité sur les forums. C'est aspect particulier devrait être pris en compte quand l'on compare le travail réalisé sur les forums en entreprises et ceux réalisés dans le cadre des forums sur les programme open comme open office.

La qualité des échanges n'est-elle pas principalement du à la rigueur du sujet ?

A traduire conclusion recherche Patrick Jermann

(à traduire et intégrer progressivement les conclusions de Patrick Jermann Define a contract – « I answer within 48 hours » – « I don’t answer by email to questions about the Possible S l ti y q course » • Use forums in evaluation – « I expect you to post 10 messages during the semester » your posts are available during the Solutions , « exam » • Tutoring – Post acknowledgements and encourage participation by clarifying and expanding • Integration with the course – Use student’s forum contributions during the • Structure collaboration course Structure collaboration course – Structured tools – Integration in a scenario Forums Conclusion are useful and effective if: • They are integrated in a scenario • sequence of activities • dataflow • foster a core learning mechanism • Integrated scenarios combine: • distance & face2face • with/out computers • Debriefing • different social planes g • Distilling student’s productions into theoretical concepts • Use the forum to rethink the students’ activities


Quelques éléments à la volée à trier voir doc 29 Comprendre les communautés de pratiques ...

p.159

pour fonctionner la communauté de pratique nécessite … de l'engagement, un processus collectif de coconstruction … et un langage spécialisé de la communauté et de ses politiques.

161

la confiance Un leadership centralisé au départ ...et efficace ensuite distribué, … existence d'un corpus unifié de connaissances susceptibles d'orienter la compréhension du problème et le choix de solutions.

p. 180

La question de savoir si leurs membres tendaient à s'isoler du monde réel ou bien utilisaient les nouveaux outils de communication au service de leurs projets a été maintes fois posée. … voir résultat Hamman

P. 181

Ils énoncent également quelques traits liés aux règles d'apprentissage qu'on y observe; les échanges prennent souvent une forme narrative et ouverte; les participants utilisent leur savoir culturel pour faire des inférences en fonction des informations données; il y a coconstruction de sens; enfin, l'apprentissage se déroule à partir de problèmes concrets posés par un des membres, auxquels les autres se doivent de répondre rapidement s'ils le peuvent.


p.186 80 % des messages sont issus de 20 % des abonnés

Si l'on est sur de soi on intervient et si on ne l'est pas on ne va pas s'exprimer sur un forum :-) 187

Parmi les plus actifs des participants, certains ont indéniablement un rôle de leader d'opinion, ce qui n'a rien que de très ordinaire. Cette « crainte » de s'engager est accrue par le fait que ceux qui participent beaucoup peuvent être motivés par le souci de leur réputation ( d'autant que certaines listes sont modérées par des représentants de l'inspection, ce qui leur donne indéniablement un caractère particulier). Cela signifie que ceux qui participent se sentent particulièrement sûrs d'eux et de leur contribution. À l'inverse ceux qui n'éprouvent pas cette confiance en eux s'abstiennent.

Silence ne veut pas dire sommeil ….

Zarifian doc 18 Objectif compétences p. 108

Plusieurs entreprises créent actuellement des forums intranet. Il est probable que ces forums auront d'autant plus de succès et d'utilité qu'ils permettront à des personnes, qui ont peu l'occasion physiquement de se rencontrer, de communiquer et dialoguer autour d'un sujet de préoccupation commun. Et donc d'entrer, même de manière temporaire, dans un nouveau réseau, un nouveau collectif.

p.212 doc 37 Réciprocité et réseaux éducation permanente 144

Quand à l'idée d' »échanger des savoirs » pour comprendre ou apprendre on la rencontre déjà dans l'Antiquité, depuis que les corporations de métiers de métiers ont mis en commun leurs savoirs et leurs savoir-faire et les ont transmis à leurs successeurs. …

Tension entre flux et structure -- Pierre-Alain Luthi 22 octobre 2009 à 08:41 (CEST)

Aujourd'hui le net ressemble plus à une inondation d'information qu'à un outil réel de création de connaissance. Pour que des connaissances émergent des processus de construction et d'échange sur un forum. Il faut une structure ... une discipline suffisamment accordée entre les participants pour conduire progressivement à l'émergence de nouvelle connaissance co-élaborée par un groupe de travail. c'est une hypothèse de fin de travail .....

Voir si cela se résume à une tension entre informations et savoirs.

On pourrait définir la connaissance comme un crystal d'information... elle ne se constitue que dans certains lieux et à une certaines températures :-) Une structure ...

Re: Tension entre flux et structure -- Sylviane 29 octobre 2009 à 01:21 (CET)

ce que tu dis "inondation d'informations" tout ça, ça me fait penser au nom choisi par Google pour son reseau : "Google wave", tu connais Google wave ?

Re: Re: Tension entre flux et structure -- Pierre-Alain Luthi 4 novembre 2009 à 12:33 (CET)

Oups non je ne connais pas google wawe what is that

Tension entre oralité et écriture -- Pierre-Alain Luthi 22 octobre 2009 à 10:27 (CEST)

Cette tension est bien présente la question de l'apparition d'une écriture-orale dans les forums, les tchat, msn etc... doit être utile à notre réflexion sur les facteurs de qualité ou de réussite d'un forum ...

Re: Tension entre oralité et écriture -- Sylviane 29 octobre 2009 à 01:26 (CET)

il y a qqs années, on parlait de langage "parlécrit" pour dire cette tension entre le parlé et l'écrit, l'oralité et l'écriture

Facebook -- Sylviane 24 octobre 2009 à 09:35 (CEST)

dans ta conclusion, tu écris "Le forum doit-il être amusant pour générer plus de traffic ( Facebook ) " Tu trouves que Fb est amusant ?

Re: Facebook -- Pierre-Alain Luthi 24 octobre 2009 à 10:50 (CEST)

C'est la conclusion d'une équipe Parisienne et c'est en lien avec une conférence que j'ai suivi au dokeos day ... une réponse centrale des interviewés est Facebook est Fun ... d'ou la question que posait cette équipe faut t'il rendre fun pour avoir du succès

Espace Recherche à documenter -- Pierre-Alain Luthi 24 octobre 2009 à 11:13 (CEST)

Il me faut document l'espace recherche ... aussi avec les éléments synthèses des dokeos day Il faut documenter

Cours 4 -- Pierre-Alain Luthi 4 novembre 2009 à 11:00 (CET)

l'interaction entre la structure de l'information et le flux au coeur de la génération du forum.

la réorganisation d'un savoir existant ne serait que de la compilation. Il y a aussi une distinction entre concept et application. quel état des lieux faisons-nous ... un état des lieux théoriques ou pragmatique.

A la question de produire des connaissances nouvelles ... la réponse de la recherche action nourrit le processus d'émergence de nouvelle connaissance. la connaissance ou l'émergence de nouveau savoir trouve sa source dans le processus d'expérimentation, de laboratoire, de sandbox cher à Secondlife

Comment compiler des connaissances ou des savoirs théoriques épars:

Je pars d'un état de la littérature ... mise en ordre compilatoire des travaux existants... je cherche tout ce que je peux trouver .... et cela peut conduire alors à une saturation. Je m'arrête à un certain niveaux ... Pile d'assiette ou assiette plate pas très ordonné.

Ou je fais ma pile par ordre chronologique... 1950 ------------- 2009

Je peux aussi classer mes assiettes par pile les vertes d'un coté ou les assiettes bleue donc je classe

Je classe par théorie en ensemble ...

Par rapport à ce que je cherche qu'est-ce qui dans les piles est le plus important.

Notes pour la suite -- Pierre-Alain Luthi 4 novembre 2009 à 11:09 (CET)

On classe par cohérence comme les choses évoluent ...

mettre en évidence la tension oral - écrit

Connaissance située

Ce qui peut être dit ...

L'essentiel c'est le coeur de la recherche ... La disparition des sites

Webographique....

voir quelques recherche à aller chercher

François Mangenot

communauté Jockaier

Communauté Epale

Deux communautés actes de colloques ... Grenoble ...midilem jules vernes ...


Apprentissage de langue seconde Besançon ... apprendre le lanque

Voir les critères de Francçois Mangenot

françois mangenot a donnée des définitions l2 langue étrangère ... Grand

semi public asynchrone ....dipositif en tandem un japonais avec un français ... Ecrit asynchrone structuré


Dans le FLE se referme sur

deux orientation possibles ... praticien analyse des interactions disciplinaire .... Aspect pratique analyse de l'interaction France henri --- Daniel Peraya ....

DEvelotte ... Charlotte dejean ...

Le deuxième déluge et l'innaccessibilité du tout -- Pierre-Alain Luthi 14 novembre 2009 à 10:57 (CET)

Le deuxième déluge et l'innaccessibilité du tout Sans clôture sémantique ou structurelle, le Web n'est pas non plus figé dans le temps. Il enfle, bouge et se transforme en permanence. Le World Wide Web est en flux, en flot. Ses sources innombrables, ses turbulences, son irrésistible montée offrent une saisissante image de la crue d'information contemporaine. Chaque réserve de mémoire, chaque groupe, chaque individu, chaque objet peut devenir émetteur et faire gonfler le flot. À ce sujet, Roy Ascott parle, d'une manière imagée, du deuxième déluge. Le Déluge d'informations. Pour le meilleur ou pour le pire, ce Déluge-là ne sera suivi d'aucune décrue. Nous devons nous habituer à cette profusion et à ce désordre. Sauf catastrophe culturelle, aucune grande remise en ordre, aucune autorité centrale ne nous ramènera à la terre ferme ni aux paysages stables et bien balisés d'avant l'inondation.

Le point de basculement historique du rapport au savoir se situe sans doute à la fin du XVIIIe siècle, en ce moment d'équilibre fragile où l'ancien monde jetait ses plus beaux feux tandis que les fumées de la révolution industrielle commençaient à changer la couleur du ciel. Quand Diderot et d'Alembert publiaient leur grande Encyclopédie. Jusqu'à ce temps, un petit groupe d'hommes pouvait espérer maîtriser l'ensemble des savoirs (ou tout au moins les principaux) et proposer aux autres l'idéal de cette maîtrise. La connaissance était encore totalisable, sommable. À partir du XIXe siècle, avec l'élargissement du monde, la découverte progressive de sa diversité, la croissance toujours plus rapide des connaissances scientifiques et techniques, le projet de maîtrise du savoir par un individu ou un petit groupe devint de plus en plus illusoire. Aujourd'hui, il est devenu évident, tangible pour tous, que la connaissance est définitivement passée du côté de l'intotalisable, de l'immaîtrisable.

L'émergence du cyberespace ne signifie nullement que "tout" est enfin accessible, mais bien plutôt que le Tout est définitivement hors d'atteinte. Que sauver du déluge? Penser que nous pourrions construire une arche contenant le "principal" serait justement céder à l'illusion de la totalité. Nous avons tous besoin, institutions, communautés, groupes humains, individus, de construire du sens, de nous aménager des zones de familiarité, d'apprivoiser le chaos ambiant. Mais, d'une part, chacun doit reconstruire des totalités partielles à sa manière, suivant ses propres critères de pertinence. D'autre part, ces zones de signification appropriées devront forcément être mobiles, changeantes, en devenir. Si bien qu'à l'image de la grande Arche nous devons substituer celle d'une flottille de petites arches, barques ou sampans, une myriade de petites totalités, différentes, ouvertes et provisoires, sécrétées par filtrage actif, perpétuellement remises sur le métier par les collectifs intelligents qui se croisent, se hèlent, se heurtent ou se mêlent sur les grandes eaux du Déluge informationnel.

Les métaphores centrales du rapport au savoir sont donc aujourd'hui la navigation et le surf, qui impliquent une capacité d'affronter les vagues, les remous, les courants et les vents contraires sur une étendue plane, sans frontières et toujours changeante. En revanche, les vieilles métaphores de la pyramide (gravir la pyramide du savoir) de l'échelle ou du cursus (déjà tout tracé) fleurent bon les hiérarchies immobiles de jadis.


Qui sait? La réincarnation du savoir Les pages Web expriment les idées, les désirs, les savoirs, les offres de transaction de personnes et de groupes humains. Derrière le grand hypertexte grouille la multitude et ses rapports. Dans le cyberespace, le savoir ne peut plus être conçu comme quelque chose d'abstrait ou de transcendant. Il devient de plus en plus visible et même tangible en temps réel qu'il exprime une population. Les pages Web sont non seulement signées, comme les pages de papier, mais elles débouchent souvent sur une communication directe, interactive, par courrier numérique, forum électronique, ou autres formes de communication par mondes virtuels comme les MUDs ou les MOOs. Ainsi, contrairement à ce que laisse croire la vulgate médiatique sur la prétendue "froideur" du cyberespace, les réseaux numériques interactifs sont des facteurs puissants de personnalisation ou d'incarnation de la connaissance.

De même que la communication par téléphone n'a pas empêché les gens de se rencontrer physiquement, puisqu'on se téléphone pour prendre rendez-vous, la communication par messages électroniques prépare bien souvent des voyages physiques, des colloques ou des réunions d'affaires. Même lorsqu'elle n'accompagne pas de rencontre matérielle, l'interaction dans le cyberespace reste une forme de communication. Mais, entend-on parfois argumenter, "certaines personnes restent des heures devant leur écran", s'isolant ainsi des autres. Les excès ne doivent certes pas être encouragés. Mais dit-on de quelqu'un qui lit qu'il "reste des heures devant du papier". Non. Parce que la personne qui lit n'est pas en rapport avec une feuille de cellulose, elle est en contact avec un discours, des voix, un univers de signification qu'elle contribue à construire, à habiter par sa lecture. Que le texte s'affiche sur un écran ne change rien au fond de cette affaire. Il s'agit toujours de lecture, même si, comme nous l'avons vu, avec les hyperdocuments et l'interconnexion générale, les modalités de la lecture tendent à se transformer.

Extraits de Cyberculture, rapport au Conseil de l'Europe de Pierre Lévy. Paris, Odile Jacob, 1998.

Compétences des participants -- Pierre-Alain Luthi 14 novembre 2009 à 16:43 (CET)

Compétences acquises ou requises des participants

Daele et Lusalusa (2003) 27 quels apprentissages à distance ?

apprentissages techniques apprentissage de la communication à distance (dimensions sociales et affectives) apprentissage de la collaboration (négociation, organisation…) apprentissages liés au métier visé apprentissages d’ordre « culturel »

technique : agilité, gestion de l’information… communication : cordialité compréhension (empathie) flexibilité responsabilité tolérance, patience…

Jones et Issroff (2005) curiosité challenge confiance (technique et autrui) et sécurité contrôle sur l’environnement et la tâche sentiment de transférabilité affinités sociales entre étudiants représentations des compétences cognitives de soi et d’autrui feedback régulier (awareness) gestion du temps

Apprentissage d'une écriture co-élaborative -- Pierre-Alain Luthi 15 novembre 2009 à 11:49 (CET)

Peut-être une thématique pour la suite ....

-- Pierre-Alain Luthi 9 décembre 2009 à 11:27 (CET)

Synthèse

systématiquement il faut un point après la date ....

Italique

chapitre du bouquin initiale du prénom dans le texte et mais hors du texte

Patrice Grevet ... pour la suite ... écrire à Daniel Peraya ...

voir la bibliographie ....

Synthèse du document et idée principale on est plus dans la revue de littérature...pas votre avis

Organiser la liste ...

Ecologie d'insertion d'un dispositif ... attention à la question des usages ...

Comment construire un modèle ...

Interaction sur l'influence des forums sur le tuteurat...

cadre pédagogique ....

Qcm ...

compréhension travail de groupe ....