« Technologies éducatives et handicap mental » : différence entre les versions
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Wehmeyer (1998) parle de deux obstacles majeurs à l'utilisation d'appareils d'assistance par des personnes avec un retard intellectuel: Peu d’appareils spécifiques pour de personnes avec un un retrad mental sur le marché et la difficulté de conception de ces appareils pour les accommoder à des capacités cognitives affectées. En plus ils auront des difficultés pour assurer une maintenance. | Wehmeyer (1998) parle de deux obstacles majeurs à l'utilisation d'appareils d'assistance par des personnes avec un retard intellectuel: Peu d’appareils spécifiques pour de personnes avec un un retrad mental sur le marché et la difficulté de conception de ces appareils pour les accommoder à des capacités cognitives affectées. En plus ils auront des difficultés pour assurer une maintenance. | ||
Au cours d'une enquête auprès de 1218 familles aux Etats Unis, Wehmeyer (1998) a constaté qu'il y a une sous utilisation des outils technologiques (<10% de cette population). La première barrière pour l’utilisation est le manque d’information de l’entourage sur les disponibilités, les couts et les aides. La deuxième, la non adéquation à un [[Accès universel|"universal desing"]], c'est à dire, faire des produits qui soient accessibles à tout le monde. En ce qui concerne l'ordinateur, les utilisations les plus fréquentes étaient pour les loisirs et les suivis d’objectifs éducatifs. La dificulté principale étant qu'ils étaient peux exercés à la complexité de l'outil" il n'existe que peu de programmes qui sont conçus pour l'utilisation par des adultes avec un retard menta. Les programmes existants sont soi trop complexes, ou s'ils ne les sont pas, il ne sont pas adapté à l'age de l'utilisateur. Souvent, quand le software est disponible, les systèmes d'opération existants créent des barrières pour des individus avec un retard mental. L'adaptation pour chaque personne dans l'utilisation de l'ordinateur doit inclure le développement de software avec une navigation et recherche de l'information sous un format non textuel (graphique, vidéo, audio), une minisation du nombre et complexité des points de décision, présentation de l'information | Au cours d'une enquête auprès de 1218 familles aux Etats Unis, Wehmeyer (1998) a constaté qu'il y a une sous utilisation des outils technologiques (<10% de cette population). La première barrière pour l’utilisation est le manque d’information de l’entourage sur les disponibilités, les couts et les aides. La deuxième, la non adéquation à un [[Accès universel|"universal desing"]], c'est à dire, faire des produits qui soient accessibles à tout le monde. En ce qui concerne l'ordinateur, les utilisations les plus fréquentes étaient pour les loisirs et les suivis d’objectifs éducatifs. La dificulté principale étant qu'ils étaient peux exercés à la complexité de l'outil" il n'existe que peu de programmes qui sont conçus pour l'utilisation par des adultes avec un retard menta. Les programmes existants sont soi trop complexes, ou s'ils ne les sont pas, il ne sont pas adapté à l'age de l'utilisateur. Souvent, quand le software est disponible, les systèmes d'opération existants créent des barrières pour des individus avec un retard mental. L'adaptation pour chaque personne dans l'utilisation de l'ordinateur doit inclure le développement de software avec une navigation et recherche de l'information sous un format non textuel (graphique, vidéo, audio), une minisation du nombre et complexité des points de décision, une présentation séquentielle de l'information, et une faible dépendance de la mémoire" (Wehmeyer 1998). Ces principes découlent des connaissances actuelles sur le [[Hnadicap mental: approche cognitive|fonctionnement cognitif]] de personnes avec une déficience intellectuelle. | ||
==Références== | ==Références== | ||
*Wallace, J.F. Flippo, K.F. Barcus,J.M. et Behrmann,M.M. (1995) Legislative foundation of assistive technology policy in United States. K.F. Flipo. K.J. inge et J.M. Barcus (Eds.) Assistive technology: A ressource for school, work and community (pp 3-22) Baltimore Brookes. | *Wallace, J.F. Flippo, K.F. Barcus,J.M. et Behrmann,M.M. (1995) Legislative foundation of assistive technology policy in United States. K.F. Flipo. K.J. inge et J.M. Barcus (Eds.) Assistive technology: A ressource for school, work and community (pp 3-22) Baltimore Brookes. | ||
*Wehmeyer, Michael L. (1998). National Survey of the Use of Assistive Technology by Adults With Mental Retardation. Mentalé retardation Vol. 36, No. 1, 44-51, February 1988 | *Wehmeyer, Michael L. (1998). National Survey of the Use of Assistive Technology by Adults With Mental Retardation. Mentalé retardation Vol. 36, No. 1, 44-51, February 1988 |
Version du 12 septembre 2008 à 10:56
Le droit d'accès aux nouvelles technologies par la totalité de la populations est aujourd'hui reconu par la législation d'un grand nombre de pais. Dans le cas de personnes présentant un handicap, psychique ou physique, on parle de technologie d'assistance (assistive technology): "tout outil, équipement ou système de production, acquis commercialement ou élaboré ou transformé par soi même qui est utilisé pour accroitre, maintenir ou améliorer des capacités fonctionnelles ou individuelles de personnes avec handicap." (Wallace, Flippo Barcus Behrmann, 1995, p3).
Wehmeyer (1998) parle de deux obstacles majeurs à l'utilisation d'appareils d'assistance par des personnes avec un retard intellectuel: Peu d’appareils spécifiques pour de personnes avec un un retrad mental sur le marché et la difficulté de conception de ces appareils pour les accommoder à des capacités cognitives affectées. En plus ils auront des difficultés pour assurer une maintenance.
Au cours d'une enquête auprès de 1218 familles aux Etats Unis, Wehmeyer (1998) a constaté qu'il y a une sous utilisation des outils technologiques (<10% de cette population). La première barrière pour l’utilisation est le manque d’information de l’entourage sur les disponibilités, les couts et les aides. La deuxième, la non adéquation à un "universal desing", c'est à dire, faire des produits qui soient accessibles à tout le monde. En ce qui concerne l'ordinateur, les utilisations les plus fréquentes étaient pour les loisirs et les suivis d’objectifs éducatifs. La dificulté principale étant qu'ils étaient peux exercés à la complexité de l'outil" il n'existe que peu de programmes qui sont conçus pour l'utilisation par des adultes avec un retard menta. Les programmes existants sont soi trop complexes, ou s'ils ne les sont pas, il ne sont pas adapté à l'age de l'utilisateur. Souvent, quand le software est disponible, les systèmes d'opération existants créent des barrières pour des individus avec un retard mental. L'adaptation pour chaque personne dans l'utilisation de l'ordinateur doit inclure le développement de software avec une navigation et recherche de l'information sous un format non textuel (graphique, vidéo, audio), une minisation du nombre et complexité des points de décision, une présentation séquentielle de l'information, et une faible dépendance de la mémoire" (Wehmeyer 1998). Ces principes découlent des connaissances actuelles sur le fonctionnement cognitif de personnes avec une déficience intellectuelle.
Références
- Wallace, J.F. Flippo, K.F. Barcus,J.M. et Behrmann,M.M. (1995) Legislative foundation of assistive technology policy in United States. K.F. Flipo. K.J. inge et J.M. Barcus (Eds.) Assistive technology: A ressource for school, work and community (pp 3-22) Baltimore Brookes.
- Wehmeyer, Michael L. (1998). National Survey of the Use of Assistive Technology by Adults With Mental Retardation. Mentalé retardation Vol. 36, No. 1, 44-51, February 1988