« Le classement des données » : différence entre les versions

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==Historique et contexte==
==Historique et contexte==
L’utilisateur lambda est confronté à une masse de données personnelles de plus en plus importante et les pratiques autour de la gestion de ces données a évolué.
Plusieurs raisons expliquent cela. La première tient au fait que la capacité des disques durs est de plus en plus importante et a de fait occasionné un changement des habitudes : là où auparavant nous faisions un effort pour trier en amont ce qu’il était vraiment pertinent de garder, nous pouvons maintenant « stocker d’abord et voir plus tard ». Nous ne sommes plus obligés de régulièrement « faire de la place », ce qui fait que nous connaissons moins en détail le contenu de nos ordinateurs, car nous n’ouvrons plus certains répertoires et fichiers. D’autre part, le coût des supports de stockage n’agit plus comme limitateur des stocks. Nous pouvons rajouter des disques à notre configuration initiale, de même nous pouvons prendre des dizaines de photos d’une même scène en vue d’un choix ultérieur.
Le second changement important est la multiplication des espaces de stockage. Si l’on prend le cas des photos, il n’est pas rare de les trouver stockées sur différents supports physiques : disque dur interne ou externe, téléphone, Ipod, cartes, mais aussi espaces virtuels en ligne : Flikr, Picasa, blogs, sites, webmail, réseaux sociaux etc.  L’observation des pratiques montre que l’original d’une photo ne se trouve pas forcément sur le disque dur « parent », ce qui complique les procédures de classement. Certaines applications sur Internet ne permettent pas de récupérer des données contextualisées. C’est le cas de Facebook par exemple, on ne peut pas récupérer un fil de discussion ou son propre mur. D’autres applications offrent au contraire des possibilités de synchronisation entre espace de stockage sur son disque dur et stockage sur internet. C’est le cas de la plupart des webmail que l’on peut synchroniser avec son courrieleur. C’est le cas aussi de la plupart des outils de partage de signets (social bookmarks).
Cette remarque nous amène au troisième grand changement : avec l’avènement du Web 2.0 et l’explosion des réseaux sociaux, on stocke pour soi-même mais on stocke aussi pour partager. Les outils devenant de plus en plus interopérables, ceci tend maintenant à évoluer vers un partage direct, sans avoir préalablement stocké. Reprenons pour exemple le cas des photos : on peut maintenant envoyer une photo directement de son téléphone portable sur un réseau social, là où auparavant il eût fallu d’abord la transférer sur son ordinateur pour la rendre compatible avec le site receveur en taille, en poids etc.


==Définition et enjeux==
==Définition et enjeux==

Version du 3 mai 2010 à 15:38

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Resumé - Abstract

ici résumé français et anglais

mots clé : ...


Historique et contexte

L’utilisateur lambda est confronté à une masse de données personnelles de plus en plus importante et les pratiques autour de la gestion de ces données a évolué. Plusieurs raisons expliquent cela. La première tient au fait que la capacité des disques durs est de plus en plus importante et a de fait occasionné un changement des habitudes : là où auparavant nous faisions un effort pour trier en amont ce qu’il était vraiment pertinent de garder, nous pouvons maintenant « stocker d’abord et voir plus tard ». Nous ne sommes plus obligés de régulièrement « faire de la place », ce qui fait que nous connaissons moins en détail le contenu de nos ordinateurs, car nous n’ouvrons plus certains répertoires et fichiers. D’autre part, le coût des supports de stockage n’agit plus comme limitateur des stocks. Nous pouvons rajouter des disques à notre configuration initiale, de même nous pouvons prendre des dizaines de photos d’une même scène en vue d’un choix ultérieur.

Le second changement important est la multiplication des espaces de stockage. Si l’on prend le cas des photos, il n’est pas rare de les trouver stockées sur différents supports physiques : disque dur interne ou externe, téléphone, Ipod, cartes, mais aussi espaces virtuels en ligne : Flikr, Picasa, blogs, sites, webmail, réseaux sociaux etc. L’observation des pratiques montre que l’original d’une photo ne se trouve pas forcément sur le disque dur « parent », ce qui complique les procédures de classement. Certaines applications sur Internet ne permettent pas de récupérer des données contextualisées. C’est le cas de Facebook par exemple, on ne peut pas récupérer un fil de discussion ou son propre mur. D’autres applications offrent au contraire des possibilités de synchronisation entre espace de stockage sur son disque dur et stockage sur internet. C’est le cas de la plupart des webmail que l’on peut synchroniser avec son courrieleur. C’est le cas aussi de la plupart des outils de partage de signets (social bookmarks).

Cette remarque nous amène au troisième grand changement : avec l’avènement du Web 2.0 et l’explosion des réseaux sociaux, on stocke pour soi-même mais on stocke aussi pour partager. Les outils devenant de plus en plus interopérables, ceci tend maintenant à évoluer vers un partage direct, sans avoir préalablement stocké. Reprenons pour exemple le cas des photos : on peut maintenant envoyer une photo directement de son téléphone portable sur un réseau social, là où auparavant il eût fallu d’abord la transférer sur son ordinateur pour la rendre compatible avec le site receveur en taille, en poids etc.

Définition et enjeux

Critique de la littérature

Classement des données et formation

L'avis d'un chercheur

Conclusion

Références


Sylviane