Discerner la Vérité dans le Virtuel : Formation sur les deepfakes et les fake news en Intelligence Artificielle

Présentation de notre formation

Ce dispositif sert à former les étudiants et collégiens en recherche d’informations fiables. La formation mettra en avant le danger des fake news et deepfake et tendra à former les étudiants à les identifier et les éviter.

Pour ce faire, les étudiants seront invités à tester ChatGPT et la fiabilité de ses ressources en créant leur propre fake news ainsi que de créer un deepfake sur MidJourney.

Mots-clés

Recherche d’informations, deepfake, fake news, esprit critique

Public cible et contexte

La formation sur les risques des intelligences artificielles cible un public diversifié, comprenant des étudiants universitaires et des collégiens, avec une limite d'une trentaine de participants par session. L'approche vise à sensibiliser les collégiens aux risques des IA tout en les familiarisant avec la formation hybride, idéalement intégrée dans des cours à options. Nous envisageons de proposer des sessions pour les collégiens et d'autres pour les étudiants. En effet, les collégiens font face à des contraintes organisationnelles moins flexibles que les étudiants (horaires de cours fixes).

Pour les universitaires, la formation offre 3 ECTS en cours à choix, tandis que les collégiens peuvent obtenir une note. Aucun prérequis spécifique n'est requis, mais la possession d'un ordinateur à jour, d'une connexion internet stable, le téléchargement de Zoom, la création d'un compte sur ChatGPT, et au moins un compte sur un réseau social sont des contraintes nécessaires.

Environnement spatio-temporel

Accès : en voiture avec parking, en vélo ou trottinette, à pieds, tram 12 et 18 arrêt Rondeau, compliqué pour les personnes à mobilité réduite

Lieu : Genève, Villa Battelle

Temps, durée : 10 heures

Rythme : 5 séances, réparties sur deux semaines

Scénario d'apprentissage

Axe de connaissances et compétences

Objectifs

• Identifier et reconnaître une fake news ou un deepfake
• Définir ce que sont ces deux concepts
• Identifier les risques dans la recherches d’informations
• Développer des compétences dans la recherche d’informations fiables
• développer l'esprit critique, vérifier les sources d'information, et sensibiliser au phénomène des fake news et des deepfakes

Contenus d'apprentissage

1. Introduction pour déconstruire les préjugés
2. Apprendre à utiliser une IA et faire des prompts efficaces  
3. Rédiger une Fake news et la propager sur les réseaux
4. Concours de deepfake
5. Construire une fiche synthèse des bonnes pratiques concernant l’utilisation d’IA (tous ensemble)

Axe pédagogique

Approches et méthodes pédagogiques

• Learning by doing (John dewey) / apprentissage expérientiel
• Apprenant actif dans ses apprentissages ( béhaviorisme et constructivisme)
• Travail en collaboration permettant le conflit socio-cognitif (socio-constructivisme)

Activités et productions attendues

• Vidéos et quiz formatifs
• Concours de deepfake
• Rédaction d’une fake news publié sur ses réseaux sociaux
• Revue et analyse de fake News existantes
• Faire une fiche synthèse des bonnes pratiques

Évaluation de l’apprentissage

• Quiz formatifs
• Notation de la qualité de la fake news rédigé et de la deepfake
• Présentation orale sur les conséquences de la création de la fake News et de la deepfake (mobilisation de concepts vus au cours la formation)

Visualisation des activités et de leur enchaînement

Activité 1 - à distance synchrone :

• Introduction : Vidéo qui explique ce que sont les fake news, en soulignant leur nature délibérément trompeuse et leur présentation comme des faits véridiques. Démontre comment les fake news influencent la prise de décision et la formation de croyances. Explique comment la répétition et la familiarité peuvent augmenter la crédibilité perçue d'une affirmation, même fausse, et comment les réseaux sociaux facilitent cette exposition répétée.

• Quiz  formatif à la fin de la séance

Activité 2 - en présentiel :

• Apprendre à utiliser une IA faire des prompts efficaces  

Activité 3 - à distance asynchrone en individuel :

• Rédiger une fake News à l’aide de ChatGPT et la propager sur les réseaux

Activité 4 - à distance en asynchrone en groupe :

• Concours de deepfake, fabriquer à l’aide de Midjouney une deepfake

Activité 5 - en présentiel

• Séance de conclusion avec présentation orale sur les conséquences de la fake news, vote pour le concours de la deepfake la plus originale et réussie.

• Rédaction de la fiche synthèse des bonnes pratiques en séance plénière.

Scénario médiatique

Ressources associées à chaque activité (supports disciplinaires, supports procéduraux)

• Activité 1: Vidéos explicatives sur les fake news, Quiz sur une plateforme
• Activité 2: Slides PP sur les IA
• Activité 3: Consignes (PDF) et accès PP du cours sur plateforme
• Activité 4: Consignes (PDF), accès Midjourney, listes ressources de création de deepfake, vidéo tutorielle de MidJourney
• Activité 5: Bon pour impression des deepfake, liste des bonnes pratiques (PDF)

Outils pour la communication et la collaboration

• Zoom
• WhatsApp
• Forum sur plateforme (Moodle)

Outils pour la production

• GoogleDoc, Word (Pages,...), MidJourney, ChatGPT, réseaux

Outils pour l’autogestion, l’autorégulation

• Agenda numérique (Smartphone)
• Récapitulatif des tâches (PDF) /calendrier
• Grilles d’évaluation (PDF)
• Forum sur plateforme (Moodle)

Scénario d'accompagnement

Activités de l’équipe enseignante

• Création des ressources pdf (grilles d’évaluation, liste des bonnes pratiques, consignes, récapitulatif des tâches,...)
• Création des ressources visuelles (Vidéos explicatives, tutoriels, …)
• Animation des séances en présentiel
• Evaluation des travaux
• Supervision de la période à distance
• Suivi des apprenants
• Interaction via plateforme en cas de questions des apprenants

Interactions entre l’équipe enseignante et les apprenant.e.s

• Mail d'introduction pour donner accès à la plateforme

• Messages sur le Forum
• Consignes et feedbacks sur la Plateforme
• Animation et collaboration en présentiel

Interactions entre les apprenant.e.s

• “Icebreaker” pour faire connaissance début activité 2 ( en présentiel)
• Prise de contacte par messages ( Forum, Zoom , WhatsApp)
• Interactions sur Zoom pour le travail de groupe

Tutorat et évaluation par les pair.e.s

• Le concours d’affiche  deepfake

Outils numériques de suivi et d’accompagnement

• Forum et Plateforme Moodle
• Zoom (pour le synchrone distanciel)

Justifications

Choix de l'hybridation

Selon Nissen (2012), le format hybride d'une formation permet de combiner à la fois les avantages du présentiel en y apportant une certaine flexibilité.

En effet, pour ce dernier, l'hybridation est un format d'apprentissage offrant une centration sur l'apprenant lui permettant d'avancer à son rythme. De plus, cette méthode d'enseignement permet de développer des compétences telles que l'autonomie qui est "considérée comme l’aptitude à prendre en charge son propre apprentissage" (Holec, 1981) ou encore la responsabilisation.

En développant son sens de l'autonomie, l'apprenant développe des compétences de nature organisationnelle, informationnelle, méthodologique, sociale, psycho-affective et cognitive (Nissen,2012).

Une formation hybride permet une ouverture à un plus grand panel d’étudiants en réduisant leur temps de présence sur le campus. En instaurant une partie des enseignements à distance, possiblement de manière asynchrone, l’étudiant est plus autonome et libre d’organiser ses temps d’apprentissage. Cela est d’autant plus apprécié par les étudiants ayant des contraintes professionnelles ou géographiques (Pasquienséguy & Perez-Fragoso, 2011)

Le développement des dispositifs de formation hybride vise à répondre aux besoins d’individualisation et de flexibilisation de l’offre de formation (Peraya, Charlier, & Deschryver, 2014).

Justification des séances en présentiel

Notre formation s'articule donc entre des séances en présentiel et des séances en distanciel, que ce soit de façon synchrone ou asynchrone.

Les séances en présentiel permettent de faire connaissance, de pratiquer l’interaction orale, de donner des explications initiales sur le fonctionnement de la formation, les technologies qui vont être abordées.

“[...] La partie « en présentiel » d’un apprentissage hybride est essentielle, car elle permettrait bien plus que le simple maintien d’un contact humain.” (Parent et al., 2022)

Notre dispositif comporte quelques séances en présentiel, car nous sommes convaincus que le contact humain “en direct” est extrêmement important dans les apprentissages, notamment pour les questions de présence sociale et pour les conflits socio-cognitif. Le présentiel permet une fluidité des interactions et des négociations non négligeable. Nous avons choisi les activités 2 et 5 comme séance en présentiel pour les raisons suivantes: L’activité 2 comporte une introduction aux IAs et à leur prise en main qui est essentielle pour la suite de la formation, de ce fait, nous avons pensé qu’il est était important de le faire en présentiel afin que les enseignants puissent répondre directement aux questions et assister chaque élève dans les étapes d’utilisation. Cette partie du tutorat est bien plus simple à réaliser en présentiel qu’à distance. Cette séance permet également de faire plus ample connaissance avant l'activité en groupe (4). L’activité 5, elle, est la séance finale qui clôture la formation. Nous trouvions donc intéressant de finir tous ensemble en présentiel, d’autant plus que les apprenants doivent en profiter pour montrer leur production de Deep Fake et élire la meilleure. Le concours a donc plus de sens en présentiel, permettant de bien voir les deep fake et de faire une sorte d’exposition dans la classe. De plus, une synthèse et un retour sur les tâches effectuées est réalisée, le présentiel assure ici une bonne participation de chacun, hors des difficultés du distanciel pour ce qui est des prises de parole.

D’un point de vue socio- cognitif, être en présence, c’est s’engager dans l’interaction, c’est faire montre d’attention intellectuelle envers l’autre et soutenir son engagement. La présence porte en elle une fonction relationnelle et régulatrice permettant de structurer les échanges et de les transformer; elle se concrétise par des actions visibles, parfois silencieuses. (Androwkha & Jézégou, 2019)

Justification des séances en distanciel

Notre dispositif étant au format hybride, dispose en plus des séances en présentiel, de séances en distanciel.

Nous pouvons distinguer deux modalités différentes pour les séances à distance.

La première activité se déroule en format distanciel synchrone, afin d’introduire la formation dans une classe virtuelle. Le but de cette activité est de présenter la formation, ses objectifs, son calendrier et les tâches à effectuer. Réaliser cette séance en synchrone permet “de faciliter une reconstruction temporelle des activités d’apprentissage.” (Teutsch, Bourdet & Salam, 2017) C’est pour cette raison que cette activité 1 est dispensée sous forme synchrone alors que les activités 3 et 4 sont en asynchrone. De plus, au sein d’un dispositif hybride, il peut être intéressant d’ “intégrer des rencontres synchrones au sein d’un scénario majoritairement asynchrone [...]” et ce, afin de “[...] répondre à différentes faiblesses caractéristiques de la formation à distance.” (Teutsch, Bourdet & Salam, 2017)

Cette rencontre synchrone permettra également de faire connaissance ensemble, de faire un tour de "table" et de pouvoir répondre au éventuels questionnements. Cela nous semblait plus chaleureux de débuter de manière synchrone.

Deux des activités proposées dans notre dispositif de formation se présentent sous la forme d'activités à distance asynchrone. Ce format-ci vient compléter les deux précédents, soit le présentiel et le distanciel synchrone. En effet, l'objectif ici est de fixer une date de rendu, et de laisser les apprenants autonomes dans la gestion de leur organisation. Cette modalité offre une plus grande flexibilité pour les étudiants. Les activités 3 et 4 proposées sous se format s’y prête particulièrement bien. La première demande aux participants de créer une fake news et de la publier. En asynchrone, ils peuvent réaliser l’activité quand ils le souhaitent et peuvent avant tout prendre le temps qu’ils leur faut. Ce format permet une adaptation de l’activité au rythme de l’apprenant. La deuxième activité, elle, se réalise en groupe et propose de créer un deep fake en vue du concours de l'activité 5. Réaliser ce travail en asynchrone donne la liberté au groupe de s’organiser comme il le souhaite et de se répartir le travail à sa guise. Elle demande donc des compétences d'organisation, de planification et de communication afin de s'organiser en groupe.

Une « présence à distance » au service de l’apprentissage peut correspondre au maintien d’une relation significative avec les personnes apprenantes. Le maintien d’une relation significative comprend l’établissement d’un rapport de confiance, la connaissance des caractéristiques étudiantes et de leurs besoins ainsi que la prise en compte de leurs réactions (Alexandre, 2020).

Justification du recours au travail collaboratif

Selon l'ouvrage de Molinari, G., Mirza, N. & Tartas, V. (2021), l'apprentissage collaboratif repose sur un échange mutuel, où l'individu contribue au groupe, tout en bénéficiant des apports du groupe. Ces interactions entre le système cognitif d'un côté et le système social de l'autre sont rendus possibles grâce à l'utilisation du langage et est nommé le conflit socio-cognitif. C’est le conflit socio-cognitif qui va rendre la collaboration riche d’apprentissage.

C'est pourquoi, il nous a semblé important d'apporter une phase collaborative au sein de notre dispositif. Par ailleurs, la formation se clôturera par une séance plénière durant laquelle chacun des apprenants pourra participer à l'élaboration d'une fiche synthèse visant à résumer les apprentissages abordés au cours de la formation.

La présence en e-learning résulte de certaines formes d’interactions sociales entre les apprenants, entre le formateur et les apprenants lorsque ces derniers sont engagés dans une démarche de collaboration à distance au sein d’un espace numérique de communication (Jézégou, 2010).

Le bien-être dans notre formation

• autonomie
• motivation
• flexibilité

Détail de l'activité 3

Activité Asynchrone Individuelle : Création et Diffusion d'une Fake News avec l'IA

Objectif : Sensibiliser les participants à l'impact et aux techniques des fausses nouvelles (fake news) en utilisant l'intelligence artificielle.

Matériel Nécessaire :

• Un ordinateur avec accès à Internet.
• Un logiciel ou une plateforme en ligne capable de générer des textes via l'IA (par exemple, un générateur de texte basé sur GPT-3).

Consignes et Déroulement : Étape 1 : Recherche et Inspiration (Durée estimée : 20 minutes)

• Les participants recherchent des exemples réels de fake news qui ont été largement diffusées.
• Ils notent les caractéristiques communes : style d'écriture, sujets abordés, émotions ciblées (peur, colère, surprise).
• Ils peuvent se référer aux vidéos qui expliquent ce que sont les fake news ( activité 1) et aux présentations de sur les principes de l'IA dans la création de contenu ( activité 2)

Étape 2 : Génération de la Fake News (Durée estimée : 40 minutes)

• Utiliser le logiciel ou la plateforme IA pour créer une fake news. Le sujet doit être fictif mais plausible.
• Le texte doit être sous forme d’article de journal court et incorporer les techniques observées lors de la recherche (Étape 1).
• Rédiger dans un premier temps votre propre prompt et constater la réponse de ChatGPT.

(Objectif : lorsque l’on demande à ChatGPT de créer une fake news, il répond qu’il ne peut pas car “ la création et la diffusion de fausses informations (fake news) peuvent avoir des conséquences négatives importantes, contribuant à la désinformation et nuisant à la confiance du public. En tant que modèle d'IA, je ne peux pas encourager ou soutenir des activités qui impliquent la propagation de fausses informations.”)

• Prompt conseillé pour l'IA : "Générer un article court sur [sujet choisi] qui semble crédible mais est complètement fictif, en utilisant un style d'écriture persuasif et engageant."

Étape 3 : Préparation à la Diffusion (Durée estimée : 30 minutes)

• Préparer un post pour accompagner la fake news, en incluant un titre accrocheur et une brève introduction.
• Les formateurs créent un site web (type une page de news RTS, journal d’informations) sur lequel ils publient la production des élèves une fois qu’elle est validée.
• Les élèves partagent ensuite le lien de ce site web sur leur réseau personnel.

Étape 4 : Réflexion et Discussion (Durée estimée : 30 minutes)

• Rédiger une brève réflexion sur l'expérience : difficultés rencontrées, sentiments éprouvés en créant de fausses informations, et prise de conscience des impacts potentiels.
• Jeter un œil sur les statistiques du réseau social utilisé et prendre note de la propagation du post (public touché, nombre de clics, partage, j’aime, réactions etc ). Consulter régulièrement les statistiques afin d’en débriefer lors de la dernière séance en présentiel. Vous pouvez tenir un journal de bord (facultatif) afin de garder une trace de l’évolution de la propagation de votre fake news.
• La fake news sera démentie et supprimée du réseau social lors de la dernière séance.

Étape 5 : Dates de rendus A COMPLETER

Bibliographie

Alexandre, M. (2020). L’enjeu relationnel de la présence en formation à distance. Le Tableau, 9(6).

Amadieu, F., & Tricot, A. (2020). Apprendre avec le numérique (Nouvelle éd.). Retz.

Anctil, D. (2023). L’éducation supérieure à l’ère de l’IA générative. Pédagogie collégiale vol. 36, no 3, printemps-été 2023.

Androwkha, S. & Jézégou, A. (2019). Présence socio-cognitive lors d’une activité collective et à distance synchrone : une étude empirique réalisée auprès de trois groupes d’enseignants en situation de formation. Revue internationale des technologies en pédagogie universitaire / International Journal of Technologies in Higher Education, 16(3), 22–38. https://doi.org/10.18162/ritpu-2019-v16n3-02

Charlton, E. (2019, May). How Finland is fighting fake news-in the classroom. In World Economic Forum (Vol. 21).

France-Presse, A. (2019). Les géants de la technologie lancent le «deepfake challenge» pour contrer la désinformation. Radio-Canada.

Garrison, D. R. et Vaughan, N. D. (2007). Blended learning in Higher Education. Jossey-Bass. https://doi.org/fxvbrj

Jézégou, A. (2010). Créer de la présence à distance en e-learning. Distances et savoirs, 8(2), 257-274

Lépine, M. (2023). Réponse à la consultation sur l’utilisation des systèmes d’intelligence artificielle générative en enseignement supérieur: enjeux pédagogiques et éthiques.

Molinari, G., Muller Mirza, N., et Tartas, V. (2021). Regards croisés des approches cognitives et socioculturelles sur l’apprentissage collaboratif : Quelles contributions dans le domaine de l’éducation ?: Raisons éducatives, N° 25(1) 41‑64. https://doi.org/10.3917/raised.025.0041

Nissen, E. (2012). Autonomie dans une formation hybride: qu'en dit l'apprenant?. Les langues modernes, (3), 18-27.

Paquienseguy, F., & Perez-Fragoso, C. (2011). L’hybridation des cours et l’intégration de l’injonction à produire. Distances et savoirs, 9(4), 515-540.

Parent, S., Poellhuber, B., Johnson, N. et Seaman, J. (2021). L’apprentissage numérique dans les établissements postsecondaires canadiens. Rapport du Québec 2021. Association canadienne de recherche sur la formation en ligne (ACRFL). http://cdlra-acrfl.ca/…

Peraya, D., Charlier, B., & Deschryver, N. (2014). Une première approche de l'hybridation. Etudier les dispositifs hybrides de formation. Pourquoi? Comment? Education & Formation(e-301), 15-34.

Teutsch, Ph., Bourdet, J-F. & Salam, P. (2017). Intégration de moments synchrones dans une formation à distance: choix pédagogique et vécu étudiant. In L. Massou & N. Lavielle-Gutnik (Ed.), Enseigner à l'université avec le numérique: Savoirs, ressources, médiations. (pp. 65-79). De Boeck Supérieur. https://doi.org/10.3917/dbu.masso.2017.01