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=LA NAISSANCE=
=LA NAISSANCE=
== Qu'est-ce que la naissance? ==
== Qu'est-ce que la naissance? ==
La naissance est le moment du début de la vie d'un être vivant.La naissance est l'aboutissement de la grossesse. Après une période d'environ neuf mois, le bébé ayant évolué durant toute la grossesse dans l'utérus de la mère, naît enfin.
La naissance est l'aboutissement de la grossesse, d'environ 9 mois, c'est le début de la vie d'un être humain.Après une période d'environ neuf mois, le bébé ayant évolué durant toute la grossesse dans l'utérus de la mère, naît enfin.
=== 1.Comment débute le travail?===
=== 1.Comment débute le travail?===
Suite aux premières contractions, survient la perte des eaux (le liquide amniotique dans lequel baigne le foetus). Ensuite, vient la dilatation du col de l'utérus qui se fait sur une durée plus ou moins longue selon les femmes.
Suite aux premières contractions, survient la perte des eaux (le liquide amniotique dans lequel baigne le foetus). Ensuite, vient la dilatation du col de l'utérus qui se fait sur une durée plus ou moins longue selon les femmes.

Version du 20 novembre 2008 à 23:50

LES DIFFÉRENTS TYPES DE CONTRACEPTION

  • Médical : (Frédéric, Liliana)
  • Mécanique : (Pauline, Gaelle)
  • Chimique : (Lucie, Séverine)
  • Comportementale : (Luca, Illan)

LA GESTATION

(Dani, Ilda)

LA NAISSANCE

Qu'est-ce que la naissance?

La naissance est l'aboutissement de la grossesse, d'environ 9 mois, c'est le début de la vie d'un être humain.Après une période d'environ neuf mois, le bébé ayant évolué durant toute la grossesse dans l'utérus de la mère, naît enfin.

1.Comment débute le travail?

Suite aux premières contractions, survient la perte des eaux (le liquide amniotique dans lequel baigne le foetus). Ensuite, vient la dilatation du col de l'utérus qui se fait sur une durée plus ou moins longue selon les femmes. Les contractions sont souvent plus fréquentes en fin de grossesse, mais si elles deviennent douloureuses et régulières toutes les 20 mn puis toutes les 3 à 5 mn c'est probablement que le travail débute (la douleur et ressentie dans le ventre dans la plupart des cas mais aussi au niveau des reins chez certaines).

1.1. Quelles complications pré-natales peuvent survenir?

Il arrive parfois que le bébé naisse trop rapidement ce qui ne laisse pas le temps à la mère de se rendre à l'hôpital et donc de se fait, l'expose à d'éventuelles infections dû aux mauvaises conditions d'hygiènes suivant le lieu où elle se trouve. Le bébé peut aussi arriver avant terme (prématurément) et donc, suivant le degré de prématuration, la mère peut faire une fausse couche (perte d'un embryon ou d'un foetus). Une fausse couche, qu’on appelle aussi un avortement spontané, est une grossesse interrompue de façon naturelle au cours des 20 premières semaines. « Avortement » est le mot utilisé par les professionnels pour décrire l’interruption volontaire ou involontaire d’une grossesse, qui a lieu avant que le fœtus puisse survivre à l’extérieur du corps de la femme. Environ 10 % à 20 % des grossesses confirmées se terminent en fausses couches. Les fausses couches se produisent en général au cours des 12 premières semaines de grossesse, mais elles peuvent aussi avoir lieu au cours des deuxième et troisième trimestres. Dans la plupart des cas, il n’y a pas de cause précise. Une fausse couche peut être causée par un problème de développement du fœtus, un problème dans l’utérus ou le col de l’utérus ou un problème lié aux hormones secrétées par le corps.

2. Comment se déroule l'accouchement?

Une fois le col dilaté au maximum, c'est à dire 10 centimètre, les conditions sont optimalles pour commencer l'accouchement. En raison de la douleur engendrée par l'accouchement, la sage-femme ou le médecin présent fait un péridurale (une anesthésie loco-régionale c’est à dire une insensibilisation d’une région du corps) pour soulager la femme. C'est la tête qui vient généralement en premier et au rythme des contractions, le reste du corps suit naturellement. Une fois le bébé sortit, il faut alors isolé une partie du cordon ombilical, pour le sectionner en toute sécurité. Le placenta suivra après la sortie du nourrison.

2.1. Quelles sont les complications possibles?

Il arrive que le bébé sorte le cordon ombilical autour du coup, ce qui peut l'étrangler. Il faut donc réagire très rapidemment, la sage-femme ou le gynécologue va simplement faire passer le cordon par-dessus la tête du bébé ou le couper, ce qui est plus inquiétant, c’est lorsque le cordon sort le premier de l’utérus parce qu’il risque d’être comprimé par la tête du bébé. Ce qui entraînerait une diminution de l’apport en oxygène pour le bébé et par conséquent un recours obligatoire à la césarienne pour sortir celui-ci au plus vite. Pour aider le bébé à sortir, la sage-femme utilise parfois les forceps. Le forceps se compose de 2 grandes cuillères réunies et articulées en leur milieu. Il est destiné à saisir la tête du bébé lors qu’elle est suffisamment engagée dans le bassin pour l’aider à descendre et à sortir. Il réduit donc le temps de la phase d’expulsion de l’accouchement, mais il ne diminue pas la douleur de l'accouchement. Le forceps ne peut être utilisé que si le bébé présente sa tête, en aucun cas s’il présente son siège. Parfois le nourrison se présente dans une position inadéquate (par le siège, par les pieds...) ce qui rend l'accouchement dangeureux.

2.2. Quels sont les différents types d'accouchements?

Il y a deux types d'accouchement: par voie naturel ou par césarienne. Le premier est l'accouchement le plus commun, alors que le second, qui est une pratique chirurgical consistant à ouvrir le ventre de la mère et à extraire l'enfant, est pratiqué soit en cas de complications, soit sur demande de la mère.

2.3. Quels sont les différents milieux d'accouchement?

Généralment les femmes accouchent dans un hopital ou une maternité, mais certaines décident d'accoucher dans l'eau. Ces accouchements sont dit aquatiques.

-Les accouchements dans l'eau augmentent réellement et il y a à cela de bonnes raisons. Cette forme d'accouchement laisse beaucoup de liberté aux couples et assure une expérience moins violente et moins frustrante de la naissance de leur enfant. Il se pratique sans risque, notamment d'infection ou d'inhalation, si toutefois les mesures d'hygiène et de sécurité sont respectées. Brièvement, voici comment se déroule un accouchement dans l'eau: Dans un premier temps, lorsque les contractions deviennent douloureuses, la future maman se plonge dans un bain à env. 37° (bain de dilatation) qui a un effet antispasmodique et relaxant. Une fois dans l'eau, le col se dilate plus facilement et les douleurs sont moins fortes. L'accouchement aquatique se fait dans une baignoire transparente. La salle d'accouchement aquatique est spécialement aménagée pour suggérer une totale décontraction et éviter le rappel de la médicalisation. La future maman peut choisir d'expulser son bébé hors de l'eau ou bien, si elle s'y sent bien, elle peut accoucher dans l'eau. Avec l'accouchement aquatique, il y a une forte diminution du taux de césariennes et d'autres interventions médicales. Pour les futures maman désireuse d'accoucher de cette manière, il faut savoir que la préparation prénatale aquatique est indispensable pour mieux vivre sa grossesse et l'accouchement dans l'eau. L'haptonomie(discipline définie comme la science de l'affectivité. Elle vise à relaxer et faciliter la guérison et la compréhension par le toucher. Elle est surtout pratiquée dans le cadre néo-natal, accompagnement périnatal, premiers contacts du nouveau-né), est également indiquée pour l'accouchement dans l'eau.

-Il existe aussi l'accouchement à domicile. L'accouchement à domicile est de plus en plus demandé par des parents désirant quitter les milieux hospitalières classiques. Les parents se tournent donc de plus en plus vers un accouchement à la maison, accompagnée par des Sages-femmes. Cependant, l'accouchement à domicile est risquée. Bien entendu, neuf fois sur dix, un accouchement se passe parfaitement bien, mais on ne pourra jamais en être sûr, il peut toujours se produire des complications qui imposent une action immédiate pour sauver l'enfant, parfois la mère : cette action rapide et efficace n'est envisageable que dans un établissement équipé pour cela en matériel et en personnel spécialisés (clinique ou service hospitalier) ; il ne faut pas que dans ces moments d'urgence on ait à perdre du temps pour un transport de la future mère ou du nouveau-né.

3. Quels sont les contrôles post-natals?

Dès la venue au monde d'un enfant, qu'il soit prématuré ou à terme, la sage-femme ou gynécologue doit, dans un premier temps, couper le cordon. Ensuite elle doit s'assurer des premiers mouvements respiratoires (le premier cri permet le déplissement des alvéoles pulmonaires). C'est par la suite que l'enfant subit de rapides évaluations de son état, appellées : score d'APGAR. Il est généralement présenté sous forme de tableau, et consiste à noter le cri, la respiration de l'enfant ainsi que la coloration de ses cheveux, son tonus ou encore son coeur avec la note de 0, 1 ou 2. Par exemple, concernant le cri du bébé, celui-ci est perçu vigoureux si il obtient la note de 2, faible si il obtient 1 et absent si il obtient la note de 0. Après ces évaluations, on évite le refroidissement du bébé en le séchant et en l'entourant d'un lange chaud (on peut le poser sur la mère si elle le désire). Ce n'est que par la suite que l'on pratique une désobstruction au moyen d'une sonde d'aspiration pédiatrique des voies bucco-pharyngées, de l'œsophage et enfin de l'anus (sans aspiration). Vient alors l'identification de l'enfant: pose d'un bracelet (nom, date, heure de la naissance, sexe, numéro d'accouchement) et à la pesée, la taille ainsi qu'au périmètre céphalique. Le nouveau-né est aussi examiné concernant les points suivants:

- Auscultation cardio-pulmonaire

- Pouls fémoraux

- Vérifier qu'il n'y a pas de luxation congénitale de la hanche

- Étude des réflexes archaïques (marche automatique)

Et pour terminer lors du bain du nouveau-né, la sage-femme prend soin du cordon(pose d'un clamp de Barre) et procède aussi à l'injection de vitamine K1 (indispensable à certains facteurs de la coagulation.)

Concernant la mère l'examen post-natal s'effectue à la fin de la 8ème semaine après l'accouchement. Elle doit subir deux examens:

- examen général

- examen gynécologique: appareil génital en place, contraception, seins, frottis du col de l'utérus et rééducation.

3.1. Quelles sont les complications post-natales possibles?

Il existe plusieurs types de complications post-natals. Il y a celles liées à la mère et celles liées au nouveau-né.

-Complications affectant la mère:

Syndrome du troisième jour, dépression et psychose postnatales dépression postnatale psychose postnatale hémorragie postnatale tardive infection puerpérale/Endométrite postnatale

-Complications courantes affectant le nouveau-né :

Détresse respiratoire hypoglycémie déshydratation et équilibre hydro-électrolytique ictère(ou jaunisse correspond à la coloration jaune de la peau ou des muqueuses) risque de septicémie(infection du sang) effets de l'exposition à des substances intoxicantes

3.2. Comment y remédier?

Lors de détresse respiratoire, le médecin est amené à la réanimation du nouveau né le plus rapidement possible. Même après une grossesse sans problème, des nouveau-nés peuvent quelques minutes après la naissance, éprouver des difficultés soudaines et non prévues à respirer qui exigent l'intervention immédiate d'un personnel compétent. Il se peut aussi, et surtout par prévention, que le médecin procède à l'administration intramusculaire de vitamine K (méthode de prévention la plus efficace du syndrome hémorragique du nouveau-né.) Après la stabilisation initiale du bébé et une période suffisante d'interaction mère-enfant, il faut administrer les doses suivantes par voie intramusculaire, dans les six heures après la naissance : 1,0 mg de vitamine K1 pour les bébés pesant 1500 g ou plus à la naissance; 0,5 mg pour ceux pesant moins de 1500 g à la naissance. Il n'est pas recommandé d'administrer la vitamine K par voie orale, puisque cette méthode est moins efficace pour la prévention du syndrome hémorragique du nouveau-né.

3.3. Quelles sont les conséquences négatives liées à un accouchement?

Il y a deux types de conséquences négatives liées à un accouchement: des conséquences phisiques, et des conséquences psycologiques.

Au niveau des séquelles physiques liées au nouveau-né.

Juste après la naissance, l’enfant peut avoir des séquelles douloureuses qui affectent son sommeil. L’accouchement constitue un moment fort, qui laisse une empreinte sur le corps de la mère comme sur celui de l’enfant. Suivant la façon dont celui-ci s’est déroulé, l’enfant risque d’en garder des souffrances éphémères ou persistantes. Un nouveau-né qui pleure quand on le manipule peut avoir des céphalées(un symptôme subjectif se définissant comme des douleurs locales ressenties au niveau de la boîte crânienne) dues par exemple à l’utilisation de forceps à l’accouchement ou de petites lésions corporelles liées à la façon dont il a été extrait du corps de la mère. Il s’agit le plus souvent de légers problèmes musculaires ou osseux, mais qui constituent une entrave au bien-être de l’enfant.

Au niveau des séquelles physiques liées à la mère.

La mère, après un accouchement peut alors avoir des problèmes d'incontinences. En effet la femme est plus touchée par l'incontinence principalement du fait des traumatismes obtétricaux liés aux accouchements.

Au niveau des séquelles psycologiques liées à la mère.

Il existe le syndrome du troisième jour qui touche 45 à 80 femmes sur 100 après un accouchement qu'il soit difficile ou pas. Parmi les symptômes les plus communs, on retrouve l'insom-nie, la tristesse, les sautes d'humeur, la tendance à pleurer constamment, la fatigue, les maux de tête, les difficultés de concentration et la confusion. Ces symptômes sont habituellement passagers. Ils se font sentir le troisième ou le quatrième jour après la naissance, durent d'une à deux semaines et se dissipent sans traitement. La femme peut aussi être atteinte de dépression post-natale. 10 à 20 % des femmes vivent une dépression durant la première année après avoir donné naissance. D'habitude, cela commence de deux semaines à six mois après la naissance. Bien qu'il s'agisse d'une forme de dépression clinique, elle n'est pas de nature psychotique. Parmi les symptômes communs, on note les suivants : la mère est constamment au bord des larmes, elle manifeste des sentiments d'abattement et de culpabilité, une labilité émotionnelle(c'est-à-dire un changement rapide et important de l'humeur qui peut être suscité facilement et disparaître rapidement) de l'anorexie, de l'insomnie, le sentiment de ne pas être à la hauteur, elle est incapable de s'adapter, effectue un retrait social et s'inquiète de « ne pas aimer le bébé». Parmi les nombreux symptômes physiques, on constate une faiblesse de concentration, de l'irritabilité, une perte de mémoire et de la fatigue Il existe encore une forme de séquelle psycologique appellée psychose post-natale. La psychose postnatale est la forme la plus grave des affections mentales de la période postnatale. Elle peut se manifester à n'importe quel moment à partir de la deuxième ou troisième semaine après la naissance jusqu'à six à douze mois plus tard. Cette psychose est relativement peu commune, l'incidence étant évaluée à 1 ou 2 femmes sur 1 000 qui ont donné naissance. Il s'agit toutefois d'une psychose très dangereuse, tant pour la mère que pour le bébé, compte tenu de la présence d'idées de suicide et d'infanticide. La mère perd contact avec la réalité; elle peut avoir des idées délirantes ou des hallucinations, accuser un sérieux désordre cognitif et éprouver de la difficulté à s'occuper de son bébé; elle peut également être confuse et distraite. La maladie apparaît souvent de façon soudaine et peut se présenter sous forme de profonde dépression, de manie, de schizophrénie ou de confusion grave. Les femmes qui sont atteintes d'un désordre affectif bipolaire ou qui ont un parent proche qui en est atteint courent un plus grand risque de développer une psychose postnatale. En dépit des nombreuses études, on n'a pas encore trouvéd'anomalie hormonale chez les femmes atteintes de psychose postnatale. Toutefois, comme ces femmes ont des problèmes de jugement, elles ne devraient pas être laissées seules avec leur bébé. Les femmes atteintes de psychose postnatale doivent être placées sous surveillance étroite à l'hôpital, de préférence avec leur bébé. On peut encore parler du baby blues chez la femme après un accouchement. Cette réaction est beaucoup moins importante que les précédantes ci-dessus mais elle reste "désagréable" ou perturbante pour la femme quila vit. Les symptômes du baby blues varient d'une femme à l'autre : mélancolie, sautes d'humeur, perte d'appétit, insomnies, difficultés à se concentrer. Après l'accouchement, certaines mamans deviennent tout à coup hypersensibles, la moindre contrariété et parfois même un compliment, provoque une crise de larmes ou de colère. Résultat, elles n'arrivent plus à contrôler leurs émotions et se sentent peut-être un peu ridicules.


(Stéphanie, Jéromine, Alix)

LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES

1) Qu'est-ce qu'une infection sexuellement transmissible?

Une infection sexuellement transmissible (IST) est une infection qui se transmet par contact génital, vaginal ou anal, donc par les muqueuses et les fluides corporels par le biais d'un virus. Les scientifiques ont longtemps utilisé le terme de "maladies sexuellement transmissible", les MST, mais le terme n'était pas totalement correct, car les IST se transmettent d'un partenaire à un autre et, de plus, certaines de ces infections sont asymptomatiques. Les hépatites et le SIDA se transmettent par le sang, mais on peut les catégoriser dans les infections sexuellement transmissibles, car elles se transmettent généralement par le contact des fluides génitaux avec le sang d'une autre personne.

2) Quelles sont les IST les plus resensée?

Il existe principalement deux types d'infections sexuellement transmissibles, les infections bactérielles et les infections virales. On rencontre également des infections protozoaires, mais ces dernières sont moins fréquentes.

2.1 Une infection bactérielle?

Parmi les nombreuses infections bactérielles, on recense principalement les suivantes :

a. La syphilis

La syphilis est causée par des bactéries spiroïdales et se développe, quand elle n'est pas traitée, en quatres stades. L'infection a généralement lieu sur le pénis ou la vulve. Lors du premier stade, un chancre, qui ne fait pas mal, apparaît sur le lieu même de l'infection. Il est probable que ce chancre disparaisse de lui-même. Quand l'infection atteint le deuxième stade, les bactéries se répendent. Il s'en suit des irruptions cutanées, de la fièvre et des tuméfactions des ganglions lymphatiques. Ces manifestations peuvent resurgir pendant des années si l'infection n'est pas soignée. Dans le cas où la maladie se répendrait encore, elle atteindrait les organes internes, notamment le système nerveux et la moelle épinière. Le quatrième stade atteint directement le cerveau. Les deux derniers stades causent des lésions parfois irréversibles. Il faut toutefois noter qu'il y a plusieurs genres de syphilis.

b. La gonorrhée

La gonorrhée peut infecter le col de l'utérus, l'urètre et le rectum. Elle se manifeste par des écoulements du pénis, du vagin ou de l'anus. Elle peut causer des douleurs lors de l'urination et peut entraîner la stérilité. Elle peut être transmise d'une mère à son enfant.

c. La chlamydia

La chlamydia entraine les mêmes conséquences que la gonorhée, à la différence que le nouveau-né pourra développer en plus une infection des yeux ou des poumons.

2.2 Une infection virale?

Voila quelques-unes des infections virales les plus connues :

a. Le SIDA

Le SIDA est une maladie causée par le virus de l'immunodéficience humaine, le VIH. C'est un virus qui se transmet par sa concentration très forte dans le sang. Il peut se dérouler plusieurs années entre la contamination et le déclenchement de la maladie. Le Sida est une maladie qui détruit le mécanisme qui sert à contrôler les infections humaines, notamment deux sortes de globules blans, les cellules B et les lymphocytes T. Les cellules B créent des protéines appelées anticorps et les cellules T activent les cellules B. Les symptomes de la maladie sont des poussées de fièvre, l'enflure des ganglions lymphatiques dans le cou et aux aisselles, la transpiration, la douleur, la lassitude, la perte de poids inopinée et la diarrhée. Le sida entraine parfois des démences psycologiques. Il n'existe aujourd'hui aucune solution de guérison de la maladie.

b. L' hépatite B

L'hépatite B est une infection virale entraînant une inflammation du foie, des nausées, des vomissements et des troubles digestifs. Fortement dévoloppée, elle peut devenir mortelle. C'est une infection qui ne se guérit souvent pas et qui devient chronique. Si l'infection chronique devient active, elle peut être ressentie par des fièvres, par la fatigue, des urines foncées, des selles décolorées où la personne infectée peut attraper la jaunisse. L'infection chronique peut entraîner une cirrhose ou un cancer du foie.

c. L'herpès génital

L'herpès peut se transmettre lors de rapports sexuels ou lors d'un contact de la peau avec une zone infectée. L'herpès se traduit par des boursouflures douloureuses et irritantes. Il n'est pas guerrissable et réapparaît périodiquement, notamment quand la personne infectée subit un grand stress. Une mère infectée lors de la grossesse peut le transmettre à son enfant. Un enfant né dans ces conditions peut avoir une lésion cérébrale ou d'autres maladies graves.

d. Le condylome génital

Le condylome génitale est une muqueuse virale se manifestant par des verrues sur le col de l'utérus, le vagin, la vulve, la verge, les testicules et l'anus. La gène, le suintement et les mauvaises odeurs en sont les symptomes. Son infection par le papillomavirus favorise le développement du cancer du col de l'utérus.

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(Axelle, Ludovic)