Discussion:Transmission des valeurs de la culture sportive à travers les générations

-- Johanna 24 mars 2009 à 12:17 (UTC)

Je vous propose le plan suivant.

En guise d´introduction, ou pourrait recenser les valeurs véhiculées par le sport, situer l´origine de ces valeurs dans un contexte historique (principalement naissance de l´olympisme), pour ensuite évaluer ses modes de transmission (chartes, réglements, athlètes, jeux olympiques, cérémonies d´ouverture des JO...etc.).

Dans la problématique, nous pourrions parler de ce défaut de transmission, du décalage entre valeurs idéales du sport et les réalités sportives, des objectifs du sport selon les différentes générations.

Nous poserions ensuite nos questions de recherche et nous tenterons de répondre à ces questions par l´élaboration d´un questionnaire reprennant toutes les problématiques évoquées dans notre démarche.

Est-ce que ca vous convient ? Je vous propose de modifier directement mon texte avec vos remarques.

Johanna

Re: -- Caroline G. 26 mars 2009 à 20:01 (UTC)

C'est bien, toutefois, est-ce dans les premiers paragraphes du développement que tu penses décrire les trois générations ou ailleurs?

-- Ruchat 27 mars 2009 à 15:24 (UTC)

Pour se placer dans le cadre du cours (voir son intitulé), je pense qu'il est judicieux de nous centrer sur un problème social qui est celui de la non transmission des valeurs sportives entre les génération ou/et de l'écart entre valeurs idéales ou idéalisées (quasi anhistorique), notamment autour de la naissance de l'olympisme, et les pratiques sportives. Je trouve que poser ainsi le problème est une bonne introduction.

Puis tenter dans des textes de trouver ce qui est dit autour des valeurs sportives dans les trois générations. Peut-être faudrait-il ici élargir un peu et voir si il y a ou non volonté (donc consciemment dans des objectifs éducatifs) de transmettre ces valeurs et comment. Il s'agirait, peut-être, de voir la place du sport dans les programme de cours pendant cette période. le sport a-t-il pris moins de place dans les programmes ou plus de place? favorise-t-on le sport à l'extérieure de la famille? Le sport est-il devenu une question d'éducation familiale (ou extra scolaire) et non d'instruction publique? il faudrait trouver un ouvrage ou article sur cette question la place du sport à l'école entre 1945 et 1995!

Il s'agit de ne pas nous perdre et je pense qu'il faut rester dans  l'univers de la transmission dans l'éducation (famille, handicap, club). Est-ce que les acteurs/actrices de nos trois champs ont consciences même de ces valeurs. Il faut toujours imaginer que les personnes interrogées n'ont pas réfléchi à l'objet que nous sommes en train d'étudier.

Il est toujours difficile d'articuler le niveau des idées, le discours sur les valeurs et les pratiques sportives qui incarnent ces valeurs (fair-play par exemple). Nous ajoutons une difficulté qui est la question de la transmission. Y a-t-il eu volonté de transmettre? chez les parents? dans les pratiques éducatives d'enfants handicapés? dans l'histoire d'un club sportif?

Les concepts de culture postfigurative et cofigurative sont intéressants je trouve car il montre bien que nous sommes depuis assez longtemps sorti de modèles coutumiers et de traditions pour des cultures créatives contemporaines qui ne se préoccupent nullement du passé. Alors dans ce cadre, il serait intéressant de faire l'hypothèse que le sport qui sont des pratiques ancestrales pourrait être vecteur de cette "tradition" et donc de valeurs qui traverseraient les temps. Le sport comme conservatoire d'une certaine culture.

Mais il est aussi vrai comme le dit Thomas Raymond que le sport permet aussi la mobilité.

Qu'en dites-vous les sportives?

Re: Re: -- Johanna 30 mars 2009 à 18:04 (UTC)

Je suis tout à fait d'accord avec la problématique posée par Mme Ruchat. Pour répondre à Caroline, je pense qu'il faut décrire les trois générations dans la définition de génération (rattachée au texte).

Je pense qu'il est tout à fait judicieux de faire l'hypothèse du sport comme conservateur d'une culture (voir mon résumé).

-- Ruchat 27 mars 2009 à 22:21 (UTC)

 En lisant vos résumés, je pense que la question des valeurs est lié fortement à celle de la fonction du sport, car on voit bien que les contextes générationnels mettent en jeu des réalités démographiques, socio-économiques, culturelles qui interfèrent (mais comment?) sur la place occupée par le sport (fonction) et sur les valeurs véhiculées. Ainsi par exemple le développement du sport comme moyen de contrôler la jeunesse (de l'embrigader)  dans un but de constituer une force nationale, ou la pratique du sport comme fonction intégratrice dans une société dans lequel il y a une immigration à laquelle la génération précédente laisse une place ou alors où le manque de travail en laisse certains sur le bas côté (et en particulier des jeunes). Le sport vient-il jouer alors des rôles différents (raisons politiques, des raisons morales, raison policière, etc.) porté d'ailleurs par des acteurs différents. Il y aurait ainsi diverses "raisons sportives": celles de santé et d'hygiène portées par l'école, celle des loisir et du jeu par la famille, celle de l'intégration par les travailleurs sociaux, celle du lien social par les tenants des clubs sportifs (jouant un rôle dans la communauté), etc.

Peut-être serait-il nécessaire d'y mettre la dimension genre aussi.

-- Ruchat 30 mars 2009 à 19:38 (UTC)
Et bien on ne répond pas? Et aucune d'entre vous ne s'est laissé aller à ajouter des phrases dans le texte de l'article!

-- Ruchat 2 avril 2009 à 14:19 (UTC)

 Attention la revue de la littérature n'est pas un compte-rendu de ce qui a été fait, mais bien le développement du cadre théorique dans lequel se situe notre propre recherche

-- Ruchat 2 avril 2009 à 14:19 (UTC)

Je me suis lancée à récrire le texte concernant la revue de  la littérature en espérant que vous remplirez les manques. Il s'agit bien de développer les propos des auteurs et de nous situer dans ces références.

4ème génération et rupture -- Caroline G. 4 avril 2009 à 14:22 (UTC)

Bonjour,

je crois que nous devrions nous concentrer sur les trois générations uniquement et éventuellement suggérer une prochaine étude, dans la conclusion, portant les effets de cr brassage des valeurs sportives sur la génération z, par exemple...mais, je ne pense pas que l'on devrait s'étendre davantage.

Par ailleurs, en mettant ainsi en troisième paragraphe un positionnement sur la rupture de transmission, ne sommes-nous pas déjà en train de répondre à la problématique alors que deux paragraphes plus haut, on émet l'hypothèse qu'on ne sait pas s'il y a transmission ou pas?!

Caroline

-- Ruchat 5 avril 2009 à 20:08 (UTC)
Intervenez directement sur le texte pour l'améliorer.

-- Ruchat 20 avril 2009 à 14:36 (UTC)

 Il me semble que le texte n'a pas tellement bouger et la proposition de Johanna de faire les entretiens la semaine prochaine me paraît un peu cavalier.

Il faut s'assurer des questions même générales et c'est à vous de les définir.

-- Ruchat 11 mai 2009 à 07:23 (UTC)

 Cette introduction à belle allure. Pourrait-on avoir les référence des photographies? (ou alors les liens avec les ouvrages dans lesquels elles ont été prise)

-- Johanna 11 mai 2009 à 17:38 (UTC)

Oui je vais mettre les liens des sites internet.

A mardi prochain

Analyse -- Johanna 16 mai 2009 à 08:16 (UTC)

Bonjour à vous deux,

J'ai décidé de commencer un peu l'analyse. C'est vraiment un premier jet et je vous laisse continuer.

Crise et résumé de Silvia -- Caroline G. 21 mai 2009 à 09:32 (UTC)

Bonjour,

en regardant/relisant les résumés, je suis tombée sur ceux de Silvia, car ces références n'avaient pas encore été enlevés. Nous pensions qu'elle n'avait rien écrit, mais si vous regardez dans le lien en bas (Bibliographie:...), on tombe sur ces résumés. Johanna, veux-tu à ce moment que nous les conservions ou on en dispose comme si aucun travail n'a été effectué dans cette lignée?

Par ailleurs, mme Ruchat, j'au relu dans la revue de littérature la section introduisant la section de définition de génération avec l'ouvrage de Margaret Mead et vous parlez d'une crise économique après la Seconde Guerre mondiale...Heu, de quelle crise parle-t-on? Car, ce que j'ai lu c'est que la génération baby-boom a surtout connu les Trentes Glorieuses, période de prospérité après une très courte période de resserrement de la ceinture (économique). Mais cette période courte fut telle d'une si grande importance pour parler d'une crise économique alors que la société était en reconstruction?!

Bonne journée, Caroline

Re: Crise et résumé de Silvia -- Johanna 1 juin 2009 à 19:27 (UTC)

Coucou, je viens de les effacer, car on n y a pas fait référence dans le texte, ça ne sert à rien...j'espère que tu es d'accord avec moi.