La maltraitance sur les mineurs en prison

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thème choisi Le traitement des mineurs délinquants a évolué dans le temps, du travail agricole à l'incarcération. A l'heure actuelle, peu de structures carcérales prennent en charge les mineurs de manière adéquate. Etant donné que nous partons du principe qu'un mineur n'a pas sa place en prison, nous pouvons parler de maltraitance lorsqu'il est placé dans une structure d'enfermement. (problématique choisie)Nous avons donc choisi de centrer notre problématique autour des différentes facettes du problème social actuel qu'est la maltraitance des mineurs dans les prisonsromandes. (limites de la problématique) Cette problématique ..... En partant de cela, nous avons voulu en savoir plus sur la situation actuelle des mineurs incarcérés dans des prisons romandes. (structure de l'article) Nous avons comencé par définir quelques concepts clés, après quoi nous nous sommes intéressés à la construction du problème social de la maltraitance des mineurs dans les prisons romandes. Puis, nous nous sommes appuyés sur l'actualité afin de panser les tableau de la situation actuelle en Suisse romande, en évoquant toutes formes de maltraitance subies par les mineurs incarcérés, notamment le mélange adulte/mineur. Nous nous sommes également intéressés aux événements récents à Champ-Dollon et à leur raison d'être. (A VOIR)

  • Petites idées de questionnement notamment pour la conlusion

Faut-il renoncer définitivement à toute incarcération de mineurs, en faire un principe absolu? décriminaliser les délits commis par les mineurs pour privilégier l'éducation? On éviterait ainsi de placer le mineur dans une situation où il risquerait de sombrer au contact des délinquants plus profonds que lui. Cependant, la délinquance chez les mineurs existe, et elle va parfois très loin. Il existe réellement des jeunes délinquants dont rien n'assure l'ancrage social, à qui aucune solution alternative ne convient. Solutions alternatives souvent insuffisantes, pas assez souples Peut on vraiment se résoudre à soumettre des jeunes à cette torture qu'est la prison qui non seulement ne rectifie pas mais au contraire, fige, pétrifie, ou aggrave? Quelques idées d'alternatives à l'incarcération: familles d accueil


De leurs prise en charge à leur maltraitance

Les prisons pour mineurs prennent en charge les jeunes délinquants et criminels. Les centres de détention ont comme but de protéger les mineurs, pour cela on a jugé bon de les séparer de la société. Elle a peur que le jeunes délinquent infecte le reste de la société qui est encore saine. Pour suivre cet objectif la société mis en place des lois. En Suisse le code pénal pose les exigences pour les peines de prison. L'article 37 du code pénal suisse stipule,"la privation de libeté doit exercer une action éducative sur les personnes privée de liberté et préparer le retour à la vie libre. Enfermement doit être un moyen a l'humain de changer. Cela doit lui permettre de retourner dans le droit chemin.

Dans les années 60 on crée les premières prisons pour mineur. On tente de séparer les détenus mineurs des majeurs. Une chose qui n'était que bien trop rarement respecté jusqu'a ces années. Avant les mineurs étaient enfermés avec les adultes. Dans la prison St-Antoine les détenus étaient mélangé. St-Antoine était la prison utilisé à Genève depuis le début du 20ème siècle et passa le relait à Champ-Dollon dans les années 70. Depuis le début du 20ème siècle jusqu'a dans la fin des années 60, les mineurs étaient incarsérés dans les mêmes lieux.

En 1963 on crée "La Clairière", un centre éducatif pour adolescents. Les mineurs y sont détenu pour des périodes allant de 1 jours à 1 ans. La création de la Clairière ne résoud pas le problème, car on retrouve systhématiquement des mineurs dans les établissements pour majeurs comme Champ-Dollon.

Comme nous l'avons déjà exliqué l'enfermement de mineurs dans des prisons pour mineurs et encore plus pour majeurs constitue une sorte de maltraitance.

Depuis quelque années la situation c'est sensiblement dégradé dans les lieux de détentions pouir mineur. Dans l'article du Courrier du 10 février 2003, le directeur de l'établissement pour mineurs la Clairière accorde une interview. Il revient sur les problèmes de discipline que l'on trouve dans son établissement. Les jeunes se mettent en bande et font reigner la terreur. La maltraitance qui en découlle se retrouve entre les détenus. Les leadeurs n'esitent pas a monter certain détenus contre d'autres. On retrouve aussi de la maltraitanc contre les éducateurs. Ils subissent les agressions verbales et parfois même physiques, des jeunes détenus. Les jeunes se sentent tout puissant et n'ont plus de limites dans leur paroles et leur agissement physique. Cette maltraitance également raporté par M. Aeby (directeur de la préventive la Croisée VD et ancien educateur à la Clairière), est un problème important mais que nous n'allons pas traiter dans se travaille. Les débordements en question ont poussé la direction de la Clairère à faire venir des gardiens de Champ-Dollon(il faudra préciser dans une autre partie les différentes structures en place acctuellement en Suisse, comme Champ dollon...). L'expérience inverse est une réalité depuis une trentaine d'années. On enferme des mineurs dans les prisons pour mageurs comme Champ-Dollon à Genève. Ces prisons peuvent acceuillir des adolescents après une demande du tribunal de la jeunesse. Se sont souvent les cas les plus difficile qui sont devenu ingérrable, qui sont sont transférés. Ils seront dans un cadre qui ne leur permettra plus les débordements qu'ils avaient causé dans des établissements moins strictes. La sécurité dans ces prisons pour majeurs est bien plus grande, mais la répression et l'isolement également. On sait pourtemps que l'isolement est néfaste pour les jeunes. Surtout pour les adolescents qui sont en plein développement cognitif et physique. La strucure de ces prisons pour "grand" n'est vraiment pas conçu pour le suivi de mineurs. Les structures dont les mineurs auraient tant besoin sont absentes. On tente de limiter tout les contactes et ainsi augmenter l'issolation. Mais comme le rappel la planification pénitentière. Depuis de nombreuses années des mineurs sont détenus tant dans la prisons de Champ-Dollon qu'à la maison d'arrêt pour femme de Riant-Parc (GE). Cette situation qui devait demeurer exceptionnelle est aujourd'hui devenue la règle. La présence de détenus mineurs incarcérés dans des établissemnet privatif de liberté pour adultes contrevient directement à plusieurs conventions internationnales dont la Suisse est signataire, qui imposent de séparer les détenus majeurs et mineurs.

Le nouveau code pénal prévoit des mineurs prévoit des durées d'incarcération beaucoup plus longues pour les jeunes dès 16 ans. Avec ces nouvelles normes nous allons vers plus de problèmes de maltraitance du à l'isolement prolongé. Cette révision ne va pas aider à résoudre le problème de la surpopulation.

La surpopulation est un problème que l'on retrouve dans toute les prisons de Suisse, aussi bien dans les établissement pour mineurs que pour majeurs. L'état endémique de surpopulation pousse les médias à enfin parler de cette problématique. Comme nous l'avons vu avec les événements survenus dédut mai 2006 la surpopulation est devenu intolérable. Les conditions des détenus devient vraiment problématique. Champ-Dollon à depuis longtemps dépassé sa capacité de base de 270 détenus, ils sont acctuellement autour des 500 détenus. Une situation devenu explosive et de plus en plus incontrolable. Pour répndre à se problème on prévoit de construire de nouvelles prisons. La nouvelle Clairière a été inauguré le 27 mai 2005, cette nouvelle structure est pourtant de nouveau pleine. Le problème n'est donc pas resoud.