Discussion:Chromosome 16
Notes
Cela signifie, que nous avons dans notre génome des gènes inutiles, qui ne nous servent plus à rien. Bien entendu ces gènes, qui étaient actifs à l'époque et qui ne le sont plus, restent intéressants car ils nous fournissent d'importants renseignements sur le passé de l'espèce humaine.
bien mais un peu la paraphrase du document...Pierre.brawand 23 septembre 2008 à 21:18 (MEST)
- Traquer les gènes inactifs
Les gènes inutiles, inactifs peuvent être traqué, en comparant notre ADN avec celui d'une autre espèce comme la souris. Le procédé est simple: Il suffit de comparer un gène humain avec le même gène chez la souris. Si le gène fonctionne normalement chez la souris et ne semble plus actif chez l'homme, alors c'est un gène fossile chez l'homme. Grâce à ce procédé, nous avons pu constater que la plupart des gènes utilisés dans la perception des phéromones chez les mammifères ne sont plus actif chez l'homme. Ils sont tout de même présents, car nos ancêtres, il y a bien longtemps, utilisaient ces messages chimiques pour communiquer entre eux, comme le font toujours une grande partie des animaux.
bien mais un peu la paraphrase du document...Pierre.brawand 23 septembre 2008 à 21:18 (MEST)
- Sentir notre prochain
Nous sommes toujours sensibles aux phéromones. D'abord nous produisons encore des phéromones, dans notre salive par exemple, mais nous avons des restes d'un tout petit organe, dans notre nez, qui est chez les animaux l'organe principal pour la perception des phéromones. Chez nous cet organe semble inactif, nous n'en savons pas plus en ce jour...
bien mais un peu la paraphrase du document...Pierre.brawand 23 septembre 2008 à 21:18 (MEST)
- Influence des phéromones
Les phéromones peuvent affecter plusieurs comportements chez l'homme, le plus connu étant la synchronisation des cycles menstruels des femmes d'une même communauté. IL existe d'importants phéromones qui permettent de créer les premier liens entre une mère et son enfant, juste après sa naissance. D'autres phéromones vont stimuler l'appétit du nouveau-né lors de la tétée. Finalement on peut aussi trouver des phéromones influant notre comportement dans nos relations sociales.
bien mais un peu la paraphrase du document...Pierre.brawand 23 septembre 2008 à 21:18 (MEST)
Il serait bien de travailler par questionnement: en gros, réduire la taille de la partie Concept pour aller à l'essentiel, puis ensuite, il faudra vous poser des questions pour aller plus loin... ok?Pierre.brawand 23 septembre 2008 à 21:18 (MEST)
Des gènes échoués Dans une société où la productivité est de mise, savez-vous que nous possédons des gènes qui a priori ne servent plus à rien ? Ils sont là dans notre génome, tels des épaves échouées sur une plage. Tout comme des navires naufragés, ils sont la mémoire d’un autre temps. Et si aujourd’hui ce ne sont plus que des gènes inactifs, ils nous donnent malgré tout de précieux renseignements sur le passé de l’espèce humaine. Traquer les gènes inactifs Comment repère-t-on ces gènes fossiles ? Il est possible de les traquer dans notre génome en comparant notre ADN avec celui d’une autre espèce, la souris par exemple. La règle est simple : si le même gène fonctionne chez la souris et n’est de toute évidence plus actif chez l’homme, il s’agit d’un gène fossile chez l’homme. De cette manière, on a pu mettre en évidence que la grande majorité des gènes impliqués dans la perception des phéromones chez les mammifères sont inactifs chez l’homme. Ils ne sont que le souvenir d’une époque lointaine où nos ancêtres recouraient à ces messages chimiques pour communiquer entre eux comme le font aujourd’hui de nombreux animaux.
Sentir notre prochain Sommes-nous vraiment devenus insensibles aux phéromones ? Non. Non seulement nous en émettons - dans la salive et diverses sécrétions - mais de plus nous y réagissons. Comment les percevons-nous ? Dans notre nez, nous conservons le vestige d’un minuscule organe, siège de la perception des phéromones chez de nombreux animaux, mais qui semble inactif chez l’homme. Le mystère reste entier... Sous influence ? Chez les humains, l’effet le plus connu des phéromones est la synchronisation des cycles menstruels de femmes vivant en communauté. Les phéromones influenceraient aussi nos relations sociales. Elles seraient importantes dans l’établissement des premiers liens entre la mère et son nouveau-né et stimuleraient l’appétit du nourrisson au moment de la tétée. Un zeste de séduction ? Il existe aujourd’hui des parfums et des déodorants enrichis de phéromones dont les fabricants vantent les vertus séductrices et même aphrodisiaques. Pourtant les effets des phéromones sur notre désir et notre comportement sexuel sont loin d’être prouvés...