J'aime les patates

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Page réalisée dans le cadre du cours Jeux Vidéo Pédagogiques (VIP)
(volée "Drakkar" 2023-2024) de la formation maltt, au TECFA.

Cette page est une ébauche en cours de réalisation. Ne pas citer.


Fiche réalisée dans le cadre du cours Jeux Vidéo Pédagogiques (VIP)

Description

Description du jeu:

  • Contenu enseigné: J’aime les patates est un jeu sérieux d’aventure qui enseigne l'importance de l’innovation, de l’entraide pour mettre en place le changement social. Dans un monde où les ressources sont finies, il promeut la réflexion sur les comportements de surconsommation et de gaspillage, ainsi que sur le développement durable et le travail d’équipe pour résoudre ces problèmes. En d’autres termes, ce jeu permet d'éveiller la part de responsabilité du joueur en le sensibilisant à plusieurs aspects problématiques rencontrés au sein de la société.
  • Mécanique de jeu: 1.2. Mécanique de jeu

1.2.1. Mécaniques principales Comportement des entités / gestion des ressources Mécanique d’exploration Déplacement du(des) personnage(s) : Chips, le personnage principal, peut se balader à travers Patateland. Il se déplace en direction de là où le joueur appuie sur l’écran. S’il est accompagné d’amis, ces derniers le suivent.

Mécanique des missions Ramasser des objets (patates, pelures): Si Chips se rapproche d’une patate ou d’une pile de pelure, il les ramasse automatiquement. Dépenser ses ressources : Chips peut aller vers le monstre et lui donner des patates ou des pelures pour acheter des objets. La patate est la monnaie de Patateland. Des patates flottent dans Patateland et peuvent être collectées en les visant lors des déplacements. Une fois l’accès au bas-village débloqué, on découvre que ses habitants utilisent les pelures de patates produites par le monstre comme “monnaie” pour faire fonctionner leurs robots. Le monstre patatosaure produit les choses dont les habitants ont besoin mais aussi du “bling-bling” (items superflus comme des télés, des consoles, etc). En se plaçant sur la croix devant le monstre, on accède au catalogue de choses que le monstre peut créer (briques, gâteaux, télé bling-bling etc…) avec le nombre de patates nécessaire pour les produire. Une fois l’objet sélectionné, le système se charge de donner les patates et de fournir l’objet sans qu’on ait besoin de toucher l’écran. Dialogues : Chips peut parler avec les autres personnages en s’approchant d’eux et en leur cliquant dessus. Pour aider le joueur à interagir avec les personnages du jeu, des indices visuels sont disponibles tels qu’une main symbolique pointant du doigt vers les zones où il faut appuyer pour engager la conversation avec les personnages. De plus, des points d'exclamation placés au-dessus des personnages indiquent clairement lesquels sont pertinents pour la progression du joueur, l’orientant ainsi vers les interactions essentielles.

Recruter des amis : De temps en temps dans l’histoire, Chips peut aller parler à d’autres personnages et leur demander de l’aide. Une fois qu’ils acceptent, ils suivent Chips automatiquement. Entraide : Les amis de Chips peuvent l’aider à accomplir des tâches comme soulever des objets lourds ou détruire des obstacles. Objectif du jeu L’objectif du jeu est de sauver Patateland en complétant les missions qui apparaissent en haut de l’écran et en suivant le récit. Il y a différents types de missions comme parler à certains personnages, récolter des ressources pour les donner au monstre, travailler en équipe pour accomplir certaines tâches, etc. Nombre de joueur : Un joueur Actions du joueur En dehors des cinématiques et des dialogues, le joueur peut contrôler les déplacements de Chips en appuyant sur l’écran. Pendant les dialogues ou les cinématiques, le joueur doit cliquer sur l’écran pour passer à la suite. Le joueur peut cliquer sur les objets ou personnages marqués par un point d’exclamation ou l’icône de main pour interagir avec.

Mécaniques secondaires 

Bulles de texte des PNJ (personnages non-joueur) : Lorsque Chips se rapproche de certains PNJ, des bulles de texte s’affichent temporairement. Changement de langue : Dans les paramètres, le joueur peut changer la langue du jeu. Les langues disponibles sont l’anglais, le français, l’allemand, l’italien, le portugais, l’espagnol et le québécois. Ajustement des volumes : Cette option est accessible via les paramètres.

1.2.3. Mécanique annexe Sauvegarde automatique : Lorsque le joueur quitte le jeu et y revient après un certain temps, la partie reprend à la dernière sauvegarde. Les sauvegardes sont effectueés à la fin de chaque “chapitre" du récit, l’écran devient noir, parfois en incluant du récit (par exemple: rêve de la solution, leçons de vie de Mamidon, etc.). Niveaux : Les niveaux ne sont pas explicitement indiqués au joueur, mais leur présence se révèle progressivement à mesure que la carte du monde s’étend. En accomplissant des missions, la carte s'étend pour révéler la prochaine étape du voyage, ou offre la possibilité de détruire des obstacles, ouvrant ainsi la voie vers de nouveaux endroits.


  • Copies d'écran éventuelles
  • Environnement informatique (exécutable / web, Système d'exploitation, éventuellement langage de développement)
  • Accès (lien, éditeur, prix)

Principes pédagogiques

Analyse de l'approche pédagogique du jeu. Se référer à certains principes et théories connus.

Intégration du contenu enseigné dans le jeu

Analyse de la capacité du jeu à intégrer le contenu enseigné dans la mécanique de jeu. Voici quelques types d'intégration qui pourront être cités:

  • intégration dans la mécanique: apprentissage d'un système, stratégie gagnante
  • intégration par les obstacles
  • intégration via le contexte
  • intégration au niveau de la fiction
  • etc.

Points forts et point faibles

Développer ici une point de vue critique global sur le logiciel. Faire figurer ici les critiques ergonomiques éventuelles.

Logiciels similaires

Iceflows et Foodforce sont deux jeux qui sont similaire à J'aime les patates.

Le premier inspire le joueur à prendre des initiatives pour sauver notre planète et le sensibiliser aux thématiques environnementales.

Le second aborde une thématique sociale.  Il a pour but de nous faire connaître les activités et modes d'intervention du WFP (World food programme)  en cas de crise alimentaire et nous met également en avant notre capacité à agir et à faire changer les choses.