One Flew Over the Cuckoo's
Vol au-dessus d'un nid de coucou
Film de Milos Forman sortie en 1975 selon l'adaptation du livre de Ken Kesey intitulé « One Flew Over the Cuckoo's »
Dans cet établissement psychiatrique les prisonniers y sont transférés lorsque l’on suspecte qu’ils ont une maladie mentale. Si le diagnostique est avéré par le psychiatre de l’établissement, les prisonniers purgent leur peine dans cet endroit au lieu de rester dans une prison ordinaire.
Le personnage principal Randle P. McMurphy alias Jacques Nicholson âgé de 38 ans est arrêté 5 fois par les autorités pour agression. Lors de la dernière arrestation il est emprisonné pour viol aggravé sur une mineure. En prison, il est belliqueux, refuse de travailler et de suivre, les consignes. Le directeur pénitencier pense qu’il simule une maladie mentale, afin de ne pas se soustraire au travail carcérale. C’est pourquoi, il est transféré dans cet établissement psychiatrique afin d’y être évalué.
Dans cet institut psychiatrique tous les jours se ressemblent. En effet, il y a une véritable marche de travail avec des horaires bien spécifiques Les patients font un peu de fitness. Chaque cours est dispensé par les infirmières puis suite à l’exercice physique, les résidants passe à des exercices psychique par des discussions de groupe autour de thématique précises : Pourquoi sont-ils sont là? Les réunions partent dans tous les sens, car au final toutes les personnes vont de leur propre anecdote et leur ressenti du moment. Les discussions dégénèrent et les gardiens de l’établissement interviennent régulièrement. Il y a également journalièrement l’heure des médicaments, une musique routière donnée par un gramophone avertissent les patients de faire s'approcher en fil indienne à tour de rôle pour venir prendre leurs médicaments devant le bureau des infirmières. Elles vérifient que chaque résident ait bien pris sa prescription. A la suite de ce rituel, les patients ont tous l’air d’être stones leurs regards sont vides et ils déambulent les couloirs sans but précis, d’autres par contre, s'essayent aux jeux de cartes. Selon le type de pathologique, le soir, certains patients sont enchaînés à leurs lits. Quant aux gardiens, et infirmières, qui sont tous vêtus d'habits blanc, ils rentrent chez eux. L'effectif est réduit seul un surveillant reste dans la même aile que les résidents. L'infirmière de garde est dans le pavillon et intervient seulement en cas de problèmes.
Randle P. McMurphy tente de casser cette routine ennuyante à plusieurs reprises en proposant lors des réunions de groupe un autre type d’activité. L’infirmière propose de voté mais les autres résidents sous l’emprise des multiples médicaments donnés quotidiennement ne répondent très peu aux sollicitations, donc celle-ci continue d’instiguer le même emploi du temps inlassablement. Cependant, le jour d’après les résidents du groupe changent d’avis. Ils sont tous unanimes pour un changement d’horaire afin de pouvoir regarder les matchs néanmoins l’infirmière qui avait proposé le vote n’en prend pas compte puisse qu’il s’agit d’un choix de groupe mais pas l’entièreté de l’établissement. En effet lors de discussion de groupe ils sont 9 individus alors que l’établissement en compte 18.
Lors d’une discussion de groupe ont apprend que Billy un résident de l’établissement était éperdument amoureux de sa petit amie Célia qu’il a demandé au mariage mais à la suite d’une réponse négative il a tenté pour la première fois de se suicider. Lors de ses thérapies l’infirmière est à la limite de la persécution, car elle s’acharne sur un patient et elle lui pose sans cesse des questions pour comprendre les agissements qui l’ont amené ici. Même si la personne en question ne veut pas rentrer en communication sur le sujet.
Un jour Randle P. McMurphy pendant une sortie de groupe de 8 résidents, il arrive à rentrer dans le bus et à s’en emparer de celui-ci devant les gardiens stupéfait. Ils s’échappent de l’établissement psychiatrique. Randle P. Murphy les amène dans une marina et prend un bateau. A bord de celui-ci il leur apprend à la pêche. Ils font de bonnes prises et ils rentrent au port où ils sont accueillis par la police et rentre à leur établissement psychiatrique. Les médecins de l’institut se réunissent pour discuter à propos de Randle P. McMurphy. L’un pense qu’il est dangereux mais pas fou, l’autre ne pense pas qu’il soit psychotique au sens strict, mais il le croit néanmoins malade et dangereux au regard de la société. Le médecin principal aimerait bien le renvoyer en prison pénitentiaire mais il décide de le garder pour comprendre son comportement. L’infirmière principale s’occupera de l’analyser. Il s’agit de celle qui dirigeait les discussions de groupe et avec laquelle il avait de la rancœur. Elle n’ont plu ne l’aime pas, car il défie son autorité et il arrive à avoir des liens forts avec les membres de son groupe de travail alors qu’elle même n’arrive pas à avoir. Elle est ravie à l’idée que s’occuper de lui et elle dit même qu’il est nécessaire qu’il reste dans cet établissement.
Randle P. McMurphy arrive même à rentrer en interaction avec un résident qui est sourd muet en lui apprenant le basket. Randle P. McMurphy est heureux, car il ne lui reste plus que 68 jours de peine privative, mais ce qui n’est sait pas et qu’un gardien lui apprend la prison et l’institut psychiatrique pour malades mentaux n’est pas la même chose. Maintenant ce sont aux infirmières et médecins de choisir quant est-ce qu’il sera bon de relâcher Randle P. McMurphy afin qu’il ne représente plus une menace pour la société. Les routines avec les groupes de parole recommencent durant une grande partie de la journée. Il apprend lors d’une discussion qu’ils sont en réalité très peu d’internés. Ce qui veut dire qu’une majorité sont volontaire et peuvent rentrer chez eux, quand bon leur semble ce qui n’est pas le cas pour Randle P. McMurphy qui est à présent perçu comme une menace pour la société. Cette triste révélation il ne la connaissait pas et en tombe dénu. L’infirmière à cette thématique reprend la discussion avec un certain sourire. Elle rappellent que ses discussions avec autrui ont une valeur thérapeutique alors que le temps à être seul ne peut que accroître le temps d’être séparer des autres (la société). De cette discussion, certains volontaires expriment leur désir d’avoir une cigarette. L’infirmière principale juge qu’il ne s’agit pas du moment opportun. Les situations éclatent et Randle P. McMurphy voyant le climat s’envenimer casse la vitre du bureau et lui donne les cigarettes, mais les gardiens viennent en renfort. Randle P. McMurphy est alors maîtrisé à même titre les volontaires désirant les cigarettes et ceux qui se mêlent à la bagarre. Ils sont tous menottés et attendent leur sanction, Randle P. McMurphy seul avec la personne malentendant découvre que en réalité celle-ci parle et entend. La sanction est en réalité une décharge électrique au niveau des tempes du cerveau. On lui met au préalable des sangles pour éviter qu’ils bougent dans tous les sens et une gouttière aux dents pour éviter qu’ils se mordent la langue. Le choc électrique bien que violant sur le moment n’altère pas par la suite les facultés des patients qu’ils l’ont reçu. Ils reviennent comme d’habitude dans le groupe de parole.
Un soir Randle. P. McMurphy arrive à soudoyer le gardien et parvient à faire venir deux filles et l’alcool. Nous sommes pendant les fêtes de Noël et l’ambiance y est très festive. Les patients sont heureux. A la fin de la soirée, Randle P. McMurphy désir s’évader en saluant son groupe patient. Billy l’un des patients est attristé de la voir partir. Voyant sa tristesse et connaissant son attirance pour les femmes. Il lui propose à l’un des deux femmes de lui faire connaître les plaisirs charnels. Le lendemain, lorsque le personnel est de retour, personne s’est évadé Randle P. Murphy s’est endormi comme les autres. Billy est retrouvé avec la femme dans le lit, l’infirmière chef n’est pas contente et elle le met en garde qu’elle va le dire à sa maman qu’elle connaît bien. A ses paroles Billy est lors de lui et il se suicide. Randle P. McMurphy est fou de rage contre l’infirmière chef qui a causé se triste dessein. Il tente de l’étranglé un gardien lui en empêche de justesse. Randle P. McMurphy est emmené à l’écart des autres lorsqu’il revient quelques jours plus tard, il a l’air complètement lobotomisé cette fois-ci. Il présente des cicatrises sur la tête. Le prisonnier qui n’est pas sourd muet, lui dit qu’il est tant à présent de s’évader, mais voyant qu’il n’a plus du tout sa tête. Par conséquent refusant qu’il termine ses jours comme un légume il le libère en l’étouffant et quant à lui il se libère de cet institut psychiatrique en s’évadant.