Désintitutionnalisation

La désinstitutionnalisation est apparu dans les années 1960 et concerne avant tout les établissements hospitaliers. La littérature à ce sujet se réfère le plus souvent aux hôpitaux psychiatrique. Ce mouvement a eu beaucoup d'effets dans certains pays tels que l'Italie comme le révèle les ouvrage de Franco Basaglia. Cette action n'a eu peu d'effet directe sur l'éducation spéciale à Genève (Vaney et Chatelanat, Témoignages récoltés en 2010).

La mouvement de désintitutionnalisation, comme son nom l'indique signifie le mouvement visant à sortir les malades des institutions. « Il s'appuie avant tout sur une philosophie qui met l'accent sur les droits et libertés des individus et elle vise à humaniser les soins de santé mentale » (Curateur public Québec, 2006) bibliographie . Cette idée est apparue suite aux constats quant à la prise en charge considérée non adéquate. Certains patients étaient hospitalisés sans réelle raison d'être et les interventions pour les soigner étaient souvent inefficaces et agressives, par exemple, ils étaient attachés toute la journée. L'idée de la désintitutionnalisation est donc de permettre aux patients de sortir des institutions, si possible, et d'être pris en charge par les familles ou dans des communautés thérapeutiques. Pour ceux qui restent, ou viennent temporairement en institution, leur soumettre des traitement plus adéquats et visant à les aider plus efficacement grâce, par exemple, à une plus grande considération de la personne tel que le préconise la VRS.