André Lienhard

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Résumé : "En taule", émission temps présent du jeudi 17 février 2005, www.tsr.ch

Première constatation, les prisons suisses sont surpeuplées ! Le reportage conscerne deux prisons vaudoises, Bois-Mernet (VD) et la Croisée (VD). La situation dans les centres de détenssions préventifs la situation est particulièrement problèmatique. Le système judiciaire vaudois est très lent et les établissements doivent garder les prévenus en attente de jugement pour de longue période, et surtout les resortissants étrangés (le plus souvent d'afrique ou des balkans). La conséquence est une surpopulation, que l'on observe d'ailleurs dans toute les prisons suisses.

1er établissement : prison du Bois-Mernet (Lausanne, "prison ordinaire") Il y a plus de 1000 entrées par années. Les détenus sont enfermés 22 ou 23 heures par jour, les conditions de la détenssion préventive sont les plus difficile en suisse. Il y a beaucoup de jeune il ont presque tous entre 18 et 30 ans. Le reportage dans cette établissement nous montre presque exclusivement la vision des matons et du directeur, on n'a pas une image très objective. D'après les gardiens les détenus sont bien nourri et ils ne subissent pas de maltraitance. On ne nous montre rien du quotidien et des problèmes des détenus. Les gardes ne sont pas préoccupés par les problèmes des détenus il font juste leur travaille. On consacre tout de même quelque minutes à la parole d'un détenu. Il se plein de sa situation en prison, du divorce avec la société que cela signifie pour lui. Les détenus n'ont pas de moyen pour se motiver et la ré-intégration s'annonce mal.

2ème établissement : centre de détenssion La Croisée (VD) On laisse surtout la parole au détenus qui en profite pour exliquer leurs situations. Les détenus ont beaucoup plus de libertée, mais les barreaux sont toujours là. Ils ont des possibilitées de travailler, d'apprendre des choses, de faire du sport. On essaye de respnsabiliser les détenus, qui signe un contrat avec les éducateurs et qu'ils doivent respecter pour bénéficier des avantages (Contrat de prestation). Dans cette établissement il y a tout un programme pour eu, les éducateurs les surveillants et les détenus discutent à la même table. On veut donner de vrai possibilité de réinsertion et tenter d'éviter que les détenus ne refassent un passage par la case prison.

Résumé du livre "La maltraitance, regards pluridiciplinaires" sous la direction de Joseph Torrente,Revigny-sur-Ornan : Hommes et perspectives, 2001

Inrto. Chaque enfants vivra sa souffrence et répndra à la maltraitance à sa manière. Donc on ne peut pa sétablir de règles générales ou trouver de solution miracle. la maltraitance ne peut pas se réduire à un problème administratif ou judiciaire. C'est un problème sociale car la société doit clairement montrer son refus. La prise de position est de la société est indispensable au niveau de la morale et de celui du droit. La maltraitance doit être pris en charge par le juge, le psychiatre, le médecin, l'éducateur... Pour que celà fonctionne il faut coopération entre les acteurs. Le grand énnemi de la maltraitance est de rester dans l'inertie et de l'ignorer. La maltraitamce est un phénomène complexe, difficile à définir. Mais certains ont tenté d'établire des définitions.

Pour le conseil de l'Europe, la maltraitance s'entend comme "les actes et les manquements qui troublent gravement l'enfant, attentent à son intégrité corporelle, à un développement physique, affectif et moral, ces manifestations étant dues à la négligence et/ou aux lésions d'ordre physique et/ou sexuel de la part d'un proche ou autre personnes qui ont l'enfant à leur charge".

Pour l'observatoir de l'action sociale décentralisée (ODAS), "l'enfant maltraité est celui qui est victime de la violence physique, cruauté mentale, abus sexuel, négligence lourde ayant des conséquences graves sur son développementphysique et psychologique". La crauté mentale est définie par l'ODAS comme "l'exposition répétée d'un enfant à des situations dont l'impact émotionnel dépasse les capacités d'intégration psychologique : humiliation verbale ou non verbale, menace verbale répétée, marginalisation systématique, dévalorisation systématique, exigence excessive disproportionnée à l'âge de l'enfant, consignes et injonctions éducatives contradictoires à respecter".

Chapitre 1 : Les conséquences de la maltraitance sur le développement psychologique, par Isabelle Maillochon La vie cognitive se développe en même temps que le corps grandit, que l'affectivité et la socialisation évoluent. Les facteurs extérieurs à l'enfant ont beaucoup d'importance pour son développement. la maltraitance a donc une influence, les mauvais traitement modifie l'image que l'enfant a de son corps. Il peut être très tromatiser et peut aller jusqu'à l'automutilation et la sucide. La maltraitance peut pousser au repli sur soi même ou une agressivité excessive. L'agressivité de certains enfants ou adolescent peut s'exprimer par la reproduction de leur vécu. Les enfants maltraités ne vont pas être moins intelligent mais ils aurront plus de peine car leur apprentissage sera plus difficile.

Chapitre 4 : La violence chez les jeunes, par Michel Grappe Les actes violent sont généralement dirigés vers les autres (hétéro-agressifs). Peuvent prendre la forme de -crimes et délits -incivilités la pubeté est un temps de transformations et de bouleversement. On y trouve beaucoup d'excitation pulsionnelle. La violence se développe plus facilement chez les jeunes qui ont une histoire troublée par la maltraitance.

Chapitre 14 : La maltraitance, une histoire récente ?, par Marceline Gabel Depuis 15 ans les ouvrages traitent de la maltraitance des enfants et plus particulièrement des abus sexuels se multiplient. L'historique de l'enfance dans nos sociétés passées -l'enfance vagabond -l'enfance abandonnée -l'enfance au travail -l'enfance délinquante -l'enfance maltraitée ...

Ces historiques s'accompagnent d'une mise en relation avec l'évolution de la législation. La maltraitance existe depuis toujours, mais pourquoi un temps si long pour accepter cette réalité ? (En France)L'intervention de l'Etat débute à la philosophie des lumières, la révolution, le code Napoléon, l'enfant devient de plus en plus précieux. Mais le terme maltraitance n'apparet qu'en 1989. La prise de conscience prend du temps. L'illusion politique selon laquelle la loi serait la solution aux problèmes de la maltraitance est immense. On veut éradiquer les mauvais traitements faits aux enfants. Les médias prennent de plus en plus d'importance. Elle parvient a faire réagir l'opignion publique qui a son tour va mettre sous pression le politique. Cent ans pour accepter la réalité de la violence sur les enfants, et cent ans pour pouvoir la décrire et mieux la faire connaitre. Une critique de la législation française qui complique l'action par un excès de loi et de procédures bien trop lentes.