Toucher Pathologie 13/14
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Qu'est-ce qu'une pathologie ?
La pathologie est une science qui étudie les maladies, leurs causes et mécanismes. Le sens de pathologie qui a été galvaudé, est maintenant utilisé et par la même occasion, est synonyme de maladie. Une pathologie de la peau est la même chose qu'une maladie de la peau.
Comment les pathologies altèrent-elles le toucher ?
Une pathologie peut venir de facteurs variés. Un accident, une maladie et l'âge peuvent changer la perception du toucher tandis qu'une anomalie génétique peut le perturber à vie.
Quelles sont les différentes causes de ces pathologies du toucher ?
- Maladies:syndrome de Little(paralysie cérébrale)
- Âge:diminution de la sensibilité des récepteurs au niveau tactile, thermique(la circulation au niveau des capillaires diminue, ce qui rendra la personne plus frileuse ou sensible au changement de température), vibratoire (petit changement de la circulation sanguine au niveau des jambes et/ou de la moelle épinière), ainsi qu'à la douleur (dégénérescence au niveau des récepteurs et du SNC). ===> Perte de sensibilité liée au vieillissement cellulaire.
- Accidents: Lors des accidents, par exemple accident de voiture, brûlure, etc. il est fort possible que des neurones transmetteurs, capteurs sensitifs soient lésés. Par exemple la colonne vertébrale est cassée et ça fait une lésion au niveau de la moelle épinière, donc une paralysie ce qui induit une perte de sensibilité dans une partie du corps.
Quelles sont les pathologies qui affectent les sensations du toucher ?
Thermique: Il y a une altération du sens toucher à cause de la chaleur par divers biais : L'eau chaude, flamme, soleil , etc. Les brûlures liées au froid sont du même effet.
Brûlures au premier degré : Un coup de soleil par exemple. Cela attaque seulement les couches supérieures de la peau et ne sont pas bien grave. Cela ne fait qu'une petite rougeur sur la peau et on se régénère très facilement.
Brûlures au second degré : Elles se voient grâce aux cloques ou aux ampoules. La cicatrisation se fait assez facilement. Un liquide provient du derme et soulève les cellules de l’épiderme qui ont été lésées Avec la cicatrisation de la peau, le liquide se résorbe et les cellules mortes sont remplacées. C'est un processus qui peu prendre un certains temps, jusqu'à plusieurs semaines.
Il est important de savoir qu'à partir du troisième degré, les séquelles sont irréversibles.
Brûlures au troisième degré : Ce sont les brûlures les plus graves, elles affectent l'épiderme et le derme. Détruisant tout, capteurs sensitifs, glandes sudoripares, etc. Ce sont des lésions irrémédiables. Pour éviter les infections et la perte importante d'eau, vitale pour notre corps, on pratique une auto-greffe de peau sur la partie lésée. Pour cela, on prélève des cellules épithéliales saines du patients qu'on cultive puis que l'on dépose sur les parties détruites. Malheureusement, il est seulement possible de reproduire la couche externe de la peau ce qui implique que les zones greffées ne ressentent rien, elles sont anesthésiées. Elles ne transpirent pas non plus car les glandes sudoripares sont inexistantes.
Brûlure au quatrième degré: appelée aussi carbonisation, dans ce cas-là, la brûlure est si profonde qu'elle atteint les couches sous-cutanées comme les os et les muscles. La peau en plus d'être carbonisée, à un aspect cartonné.
la partie ci-dessous n'est pas claire... à finaliser. Pour la régénéresense des tissus une couche de sang protège la partie lésée. Puis, il y a une reformation de la peau qui laisse par la suite une cicatrice.
Contact:
Pression: La dégradation d’une zone corticale peux entraîner la perte de sensations dans tout le corps, ce qui risque de causer une perte de contrôle au niveau de la pression. Par exemple si une personne souhaite prendre un verre, elle peut mettre trop de pression et le casser. Inversement, si elle n'en met pas assez, elle le laissera tomber.
Douleur: La sensibilité touche particulièrement les personnes âgées. Cela serait du à une dégénérescence au niveau des récepteurs et du système nerveux central.
Diminution du toucher : hypoesthésie
Absence du toucher : Anesthésie
Augmentation du toucher : Hyperesthésie
Quand le toucher se trompe : dysesthésie ou paresthésie (ex : picotements, démangeaison, courant électrique, fourmis, etc.)
Que ce soit pour la sensibilité au contact, au thermique à la pression ou à la douleur, il peut se produire soit une augmentation soit une diminution partielle ou totale de la sensibilité. Lorsque la sensibilité est augmentée, on parle d'hyperesthésie tandis que l’hypoesthésie est la diminution de la sensibilité. L’absence totale de sensibilité s’appelle une anesthésie.
Les causes plus fréquentes :
Problème vasculaire, donc mauvaise oxygénation des capteurs. (artrite)
Maladie des nerfs périphériques, lésions d'un nerf, de la colonne ou au cerveau, maladie dégénérative (sclérose en plaques, lèpre), intoxication, maladie métabolique (diabète).
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