Transport interne 2BIDF06 10
COMMENTAIRE GÉNÉRAL : Travail insuffisant, vous devez rapidement poser des questions générales sur le transport interne puis attaquer la description des différents groupes d'animaux... AU BOULOT!! Alexandre Zimmerli 1 février 2010 à 22:26 (UTC)
COMMENTAIRE GÉNÉRAL : Pas beaucoup de progression dans le travail, tout ceci est insuffisant! --Alexandre Zimmerli 15 février 2010 à 22:12 (UTC)
COMMENTAIRE GÉNÉRAL : Un petit progrès... Comment faites vous pour écrire si peu ??? Alexandre Zimmerli 1 mars 2010 à 23:03 (UTC)
Comment définir le transport interne ?
Le transport interne permet l'échange et le transport des nutriments, du sang, de l'oxygène ainsi que les déchets vers les cellules de l'organisme. Ce sont, donc, tous les moyens dont disposent les animaux pour faire circuler l'eau, les déchets, l'oxygène, les gaz carbonique et la nourriture. L'oxygène est un élément indispensable à la vie de la plupart des animaux. L'acquisition de celui-ci, qui sert à oxyder des hydrates de carbones pour produire de l'énergie chimique ou musculaire, est donc une priorité. Le système respiratoire est l'ensemble des tissus ou organes qui vont permettre à l'animal de se procurer l'oxygène dont il en a besoin. http://www.colvir.net/prof/chantal.proulx/Theorie/circ-animaux.html
Beaucoup trop simpliste, l'introduction doit être développée. Alexandre Zimmerli 1 mars 2010 à 22:50 (UTC)
Quelles sont les différents transports internes chez les animaux?
Les spongiaires
Les éponges ont un transport externe. La circulation de l'eau traverse l'éponge de tous les côtés. Cette circulation amène de la nourriture (bactéries, débris organiques et algues unicellulaires) et de l'oxygène et elle est assurée par des cellules spéciales appelées les choanocytes. La respiration s'effectue par toutes les cellules baignées par l'eau. Nous constatons que l'appareil circulatoire est inexistant car chaque cellule est au contact de son milieu et puisent directement dans celui-ci ce dont elle a besoin. L'appareil respiratoire est aussi inexistant car la respiration est de type aérobie. Il y a cependant beaucoup plus d'eau aspirée qu'il n'est nécessaire pour la respiration. C'est le besoin de nourriture, non celui d'oxygène qui commanderait la quantité d'eau pompée chez les spongiaires.
Les cnidaires
Les cnidaires ont plutôt un mouvement interne, car on ne peut pas appeler cela un transport interne. Leur cavité centrale communique avec l'extérieur, par un seul orifice (bouche et anus). Les cnidaires dépendent principalement de la diffusion pour obtenir l'oxygène dont ils ont besoin. Leur corps est formé de deux couches. L'une d'elle est à l'extérieur et l'autre recouvre la cavité gastro-vasculaire, ils n'ont pas vraiment besoin de système circulatoire. Les cellules amiboïdes de la mésoglée s'occupent du transport des éléments nutritifs des cellules du gastroderme vers celles de l'épiderme.
Les vers
Les vers dépendent uniquement de la diffusion pour la respiration. Ils ne possèdent pas de système circulatoire. La diffusion se fait grâce aux déplacements de l'animal. Le tube digestif des vers est incomplet. Les aliments sont agités par des cils à l'intérieur du tube digestif. Les enzymes digestives sont produit par le pharynx. Chez les espèces parasites, le tube digestif est souvent absent. Les éléments nutritifs sont absorbés par diffusion au travers de l'épiderme.
Les Plathelminthes
Les Plathelminthes sont des animaux tribloblastiques, c'est à dire qu'ils sont formés de trois chouches de véritable tissus: ectoderme (couche de cellules la plux externe qui forme le système nerveux),endoderme (couche de cellules la plus interne qui forme le tube digestif) et mésoderme (donne naissance aux muscles, os ainsi qu'au sang et aux autres composants du système vasculaire). Les vers plats dépendent uniquement de la diffusion pour la respiration. Il n'ont pas de véritable système circulatoire. Les déplacements de l'animal agitent les fluides interstitiels et favorisent la diffusion. L'épaisseur des vers plats est sans doute dû à l'absence du système circulatoire.
Les Némathelminthes
Les Némathelminthes ou vers ronds sont des animaux triploblastiques, possédant une cavité interne qui n'est pas entièrement entourée du mésoderme. Ils sont dépourvus du système circulatoire et respiratoire. La respiration se fait grâce à la diffusion grâce aux pores qui percent la cuticule (couche externe, non vivante et non cellulaire, d'un organisme) imperméable. La circulation sanguine se fait grâce au fluide contenu dans le pseudocoelome (cavité du corps qui n'est pas complètement tapissée par le mésoderme).
Les Annélides
Les Annélides sont le groupe d'animaux vermiformes qui ont la plus grande taille. Ils possèdent un corps segmenté. Leur paroi corporelle est formée de plusieurs couches. La respiration se fait par diffusion grâce à travers la cuticule cireuse. Le mucus produit par les glandes de l'épiderme permet à l'oxygène de diffuser à l'intérieur de l'animal grâce à la maintenance de la suface humide. Ils sont un système circulatoire fermé qui transporte le sang par des vaisseaux sanguins longitudinaux qui parcours tous le corps.
Les mollusques
Les mollusques possèdent un appareil circulatoire en partie vasculaire et en partie lacunaire. Le coeur comporte deux oreillettes qui a le sang artériel en provenance des branchies et une ventricule qui chasse le sang dans l'aorte dorsale. Le sang contient à l'état dissous un pigment respiratoire à base de cuivre : l'hémocyanine. Ce sang baigne les tissus et revient dans la cavité qui entoure le coeur, la cavité péricardique pour être pompé à nouveau. Le système circulatoire de la plupart des mollusques est ouvert et ressemble à celui des Arthropodes. Les Céphalopodes ont cependant un système circulatoire fermé qui est beaucoup plus efficace et peut supporter les taux métaboliques élevés associés à la nage rapide. Cet arrangement permet de maximiser la redistribution de l'oxygène en éliminant le mélange de sang oxygéné avec celui qui est chargé de gaz carbonique. La majorité des mollusques possèdent une coquille externe, mais, dans certains groupes elle est interne voire absente. Le système circulatoire est divisé en ventricule; par des vaisseaux à parois propres et par des sinus creusés dans les tissus : il n'est pas clos; l'eau peut s'y introduire, soit par des pores spéciaux, soit par l'appareil rénal. Le sang des Mollusques est généralement incolore; cependant, chez quelques Gastéropodes, il est blanchâtre, et chez un Pulmoné (planorbe) il est faiblement rougeâtre. La respiration a lieu par l'intermédiaire de branchies chez les mollusques vivant dans les eaux douces ou salées. Pour les Bivalves, les branchies se présentent sous la forme de deux lames placées de chaque côté du corps; en arrière se trouvent deux tubes nommés siphons, dont l'un est destiné à amener aux branchies l'eau nécessaire à la respiration et l'autre à rejeter le liquide aspiré du dehors. L'appareil circulatoire des Mollusques n'est pas clos. Il tend à l'être seulement chez les Céphalopodes.
Les arthropodes
Les arthropodes sont munis d'organes spéciaux pour avoir de l'oxygène car leur cuticule réduit les échanges gazeux. Leur appareil circulatoire est en partie vasculaire et en partie lacunaire. Les arthropodes ont un système circulatoire ouvert, le sang n'est donc pas tout le temps dans les vaisseaux mais plutôt dans les organes internes. Le coeur pompe le sang dans la cavité péricardique et le conduit dans tout le corps. Leur cavité interne est divisée en plusieurs diaphragmes, ce qui provoque des courants et empêche ou évite les mélanges entre le sang fraichement pompé et celui déjà présent dans l'organisme.
Les vertébrés
les poissons
Les poissons se procurent l'oxygène dont ils ont besoin grâce à leurs branchies qui sont des structures très élaborées et fragiles. La ventilation des branchies est assurée par l'ouverture de la bouche et l'eau qui y passe ainsi que les mouvements des arches branchiales. Les poissons ont un système circulatoire clos avec une pompe cardiaque. Le sang va du coeur aux branchies en une boucle unique tout en irriguant le reste du corps. Le coeur n'est irrigué que par du sang veineux. Certains déchets sont directement éliminés par les branchies. Les autres sont éliminés par les reins, qui s'occupent de filtrer les déchets du sang. Les poissons rejètent leurs déchets azotés sous forme d'ions, ammonium (NH4+). Les poissons d'eau douce et ceux de la mer sont différents ; ceux de la mer subissent l'osmose et ceux d'eau douce, la diffusion. L'osmose transporte l'eau et la diffusion, des solutés (ions).
Les amphibiens
C'est chez les Amphibiens qu'on voit apparaître les caractéristiques importantes des Vertébrés terrestres, tel que des poumons ainsi que d'un double système circulatoire.
Il n'y a pas de branchies chez les vertébrés terrestres car ce sont des structures délicates qui sont supportées par l'eau. Les surfaces respiratoires doivent donc être internes et protégées de la dessiccation. La présence de pattes qui permettent de soulever le corps évite également que les organes internes, spécialement les poumons, soient écrasés par le poids de l'animal.
Cependant, les formes aquatiques d'amphibiens possèdent des branchies, elles peuvent être externes, comme chez le triton, ou internes, comme chez le têtard. Lorsque ce dernier se métamorphose en grenouille, il a des changements respiratoires importants : les branchies disparaissent, et sont remplacés par des poumons simples mais bien vascularisés. Ces poumons sont ventilés par une pompe buccale actionnée par les muscles de la gorge. Ce mécanisme de ventilation est relativement inefficace comparé à celui des mammifères et surtout des oiseaux.
Ces poumons sont ventilés par une pompe buccale actionnée par les muscles de la gorge. Ce mécanisme de ventilation est relativement inefficace comparé à celui des Mammifères et surtout des oiseaux. Contrairement aux poissons, le sang des Amphibiens qui vient d'être oxygéné dans les organes respiratoires retourne au coeur pour être pompé à nouveau avant d'être envoyé vers la tête et le reste du corps. Ce circuit permet au sang de mieux oxygéner les tissus puisque la pression sanguine est plus élevée dans les artères systémiques. En effet, le passage dans les capillaires des organes respiratoires réduit énormément la pression sanguine, et donc la rapidité avec laquelle le sang peut circuler dans les vaisseaux sanguins après avoir été oxygéné. Le repompage du sang par le coeur permet d'élever la pression sanguine à nouveau. Les Amphibiens ne possèdent toutefois qu'un seul ventricule, et il y a un certain mélange du sang nouvellement oxygéné et du sang désoxygéné qui est inévitable, ce qui réduit l'efficacité du système circulatoire. L'intérieur du ventricule des Amphibiens contient cependant des fibres et des cordons musculaires qui réduisent le mélange du sang provenant des deux oreillettes.
Les reptiles
La présence d'une peau imperméable empêche la respiration cutanée chez les Reptiles, donc ils ont amélioré l'efficacité du poumon et du système circulatoire pour compensé cette perte. Chez la majorité des reptiles, la respiration est faite par la contraction des muscles intercostaux et abdominaux. La surface interne des poumons est augmentée par la présence de plusieurs membranes. L'évolution du coeur se fait grâce à un cloisonnement longitidunal qui assure une meilleure répartion du sang. Or, chez la majorité des reptiles, ce cloisonnement est partiel.
Les oiseaux
Chez les oiseaux, la présence de plumes réduit la ventilation de l'épiderme et empêche les oiseaux d'avoir une respiration cutanée. Leurs grands besoins métaboliques ont entraîné des modifications au niveau des systèmes respiratoire et circulatoire. Les poumons des oiseaux ne sont pas des sacs aveugles (culs-de-sac), mais plutôt des conduits dans lesquels l'air circule à sens unique. Les oiseaux ne possèdent pas d'alvéoles, mais plutôt des parabronches, c'est-à-dire que la ventilation de ces dernières est assurée par l'entremise de sacs aériens qui sont situés à l'avant et à l'arrière des poumons, et qui agissent à la manière de pompes. L'air passe de la bouche directement aux sacs aériens postérieurs, puis aux parabronches, puis aux sacs aériens antérieurs, pour être finalement exhalé. Il n'y a donc pas de mélange entre l'air frais et l'air résiduel. La présence de valves empêche l'air de revenir vers l'arrière. On considère que le système respiratoire des oiseaux est le plus perfectionné et le plus efficace du règne animal. La ventilation des poumons peut également servir à éliminer les surplus de chaleur (la sudation est impossible à cause de la présence des plumes). Le coeur des oiseaux a quatre chambres séparées (comme chez les crocodiliens), ce qui prévient le mélange entre le sang veineux et artériel. Chez les oiseaux nordiques, la circulation est à contre-courant dans les pattes, de manière à réduire les pertes de chaleur.
Les mammifères
Les mammifères possèdent plusieurs couches de cellules mortes sur leur peau qui réduit la perte d'eau, mais limite les échanges gazeux cutanés. L'air aspiré passe d'abord dans les fosses nasales où il est réchauffé, humecté et filtré grâce aux cils, avant d'arriver au poumon. Là, une partie de l'air est capté par le sang et l'autre parti est rejeté sous forme de CO2 par l'expiration. Donc, chez les mammifères, le sang doit d'abord passer dans les poumon afin d'être oxygéné avant d'être repompé dans tous les corps. La respiration joue un rôle essentiel pour la circulation sanguine.