« Drogues » : différence entre les versions

De biorousso
Aller à la navigation Aller à la recherche
Ligne 127 : Ligne 127 :
Mais son emploi en tant que drogue au début du XXe siècle posa de nombreux problèmes dus à la dépendance qu'elle induit. Aussi est-elle listée comme stupéfiant au niveau international.<br>
Mais son emploi en tant que drogue au début du XXe siècle posa de nombreux problèmes dus à la dépendance qu'elle induit. Aussi est-elle listée comme stupéfiant au niveau international.<br>
Le mode d'action exact des opiacés (substances dérivées (au sens large) de l'opium) reste encore assez inconnu.On considère que la morphine agit sur le système nerveux central par saturation des récepteurs aux opiacés impliqués dans le phénomène de perception de la douleur.<br>
Le mode d'action exact des opiacés (substances dérivées (au sens large) de l'opium) reste encore assez inconnu.On considère que la morphine agit sur le système nerveux central par saturation des récepteurs aux opiacés impliqués dans le phénomène de perception de la douleur.<br>
La morphine possède de nombreux effets secondaires dont les plus fréquents sont la constipation, la somnolence, les nausées et vomissements. En cas d'administration sur une longue période, somnolence, nausées et vomissements disparaissent, la constipation ne régresse pas spontanément et doit être traitée.
La morphine possède de nombreux effets secondaires dont les plus fréquents sont la constipation, la somnolence, les nausées et vomissements. En cas d'administration sur une longue période, somnolence, nausées et vomissements disparaissent, la constipation ne régresse pas spontanément et doit être traitée.<br>
Sous contrôle médical, la prescription stipule des prises à heure fixe et contrôlées qui permettent la prise avant la réapparition de la douleur afin d'éviter toute association entre médication et soulagement immédiat ainsi qu'un arrêt progressif permettant d'éviter le syndrome de sevrage. Dans un cadre médical, la prescription de morphine n'entraîne de toxicomanie que dans 4 cas pour 10000. Mais dans certains contextes précis hors du contexte médical, une consommation régulière de morphine est susceptible de provoquer une dépendance psychologique et physique. La tolérance s'acquiert rapidement, nécessitant une augmentation des doses pour ressentir les mêmes effets et éviter les symptômes de sevrage. Parmi ces derniers, qui peuvent se manifester quatre ou cinq heures après la dernière dose jusqu'à sept à dix jours - avec une réaction plus intense entre 36 et 72 heures - on retrouve de l'anxiété, de l'insomnie, des frissons, des spasmes musculaires, des sueurs abondantes, de la diarrhée, de l' irritabilité, de la douleur et de l'hypertension. Il faut au moins six mois avant que les symptômes de sevrage ne disparaissent complètement.  
Sous contrôle médical, la prescription stipule des prises à heure fixe et contrôlées qui permettent la prise avant la réapparition de la douleur afin d'éviter toute association entre médication et soulagement immédiat ainsi qu'un arrêt progressif permettant d'éviter le syndrome de sevrage. Dans un cadre médical, la prescription de morphine n'entraîne de toxicomanie que dans 4 cas pour 10000. Mais dans certains contextes précis hors du contexte médical, une consommation régulière de morphine est susceptible de provoquer une dépendance psychologique et physique. La tolérance s'acquiert rapidement, nécessitant une augmentation des doses pour ressentir les mêmes effets et éviter les symptômes de sevrage. Parmi ces derniers, qui peuvent se manifester quatre ou cinq heures après la dernière dose jusqu'à sept à dix jours - avec une réaction plus intense entre 36 et 72 heures - on retrouve de l'anxiété, de l'insomnie, des frissons, des spasmes musculaires, des sueurs abondantes, de la diarrhée, de l' irritabilité, de la douleur et de l'hypertension. Il faut au moins six mois avant que les symptômes de sevrage ne disparaissent complètement. <br>
Différents produits peuvent être utilisés pour aider au sevrage des opiacés en modifiant l'expression des signes d'abstinence. Quatre produits seront envisagés. Trois analgésiques morphiniques synthétiques dont le mode d'action s'apparente à celui de la morphine : la méthadone, la benzitramide et la buprénorphine et une autre substance qui n'est pas de substitution car elle n'agit pas sur les récepteurs opioïdes : la clonidine (catapressan).
Différents produits peuvent être utilisés pour aider au sevrage des opiacés en modifiant l'expression des signes d'abstinence. Quatre produits seront envisagés. Trois analgésiques morphiniques synthétiques dont le mode d'action s'apparente à celui de la morphine : la méthadone, la benzitramide et la buprénorphine et une autre substance qui n'est pas de substitution car elle n'agit pas sur les récepteurs opioïdes : la clonidine (catapressan).



Version du 19 octobre 2006 à 14:27

PerrineP 5 octobre 2006 à 13:04 (MEST)
ThandizoH 5 octobre 2006 à 13:06 (MEST)
AudreyL 5 octobre 2006 à 13:19 (MEST)
SeverineB 5 octobre 2006 à 13:20 (MEST)

Thématique bien traitée, les paragraphes sont courts et pertinents et répondent aux questions posées. Votre propos est intéressant et bien organisé.


MarcB 19 octobre 2006 à 13:00 (MEST)
AurelieB 19 octobre 2006 à 13:01 (MEST)
NadiaV 19 octobre 2006 à 13:02 (MEST)
InesK 19 octobre 2006 à 13:03 (MEST)

Qu'est-ce qu'une drogue?

La drogue est un produit psychoactif naturel ou synthétique, utilisé par une personne en vue de modifier son état de conscience ou d’améliorer ses performances, ayant un potentiel d’usage nocif, d’abus ou de dépendance et dont l’usage peut être légal ou non.. Selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l'alcool et le tabac, produits d'usage légal en occident, sont des drogues .

Les drogues modifient la perception de la réalité et la façon de réagir face à cette réalité. Elles peuvent perturber gravement le comportement social. Il peut être générateur d’accidents. Il conduit généralement à la dépendance.

http://membres.lycos.fr/caat/drogues/drogues.htm

Dépression et antidépresseurs

SeverineB 5 octobre 2006 à 13:46 (MEST)

Quelle est la différence entre un psychotrope et un neuroléptique?

Un psychotrope est un synonyme plus scientifique pour désigner une drogue.

Les neuroleptiques ou antipsychotiques sont des psychotropes qui se caractérisent par leur activité thérapeutique dans les psychoses. Leur découverte a en effet imposé l'idée qu'une substance chimique pouvait être un médicament qui avait une indication spécifique dans la pathologie psychiatrique, ces médicament sont prescrit dans le cadre de maladies mentales où se manifestent des délires.

http://www.kb.u-psud.fr/niveau2/enseignements/niveau3/etudmed/cours-psyd3/chap18-4.html

SeverineB 11 octobre 2006 à 22:35 (MEST)

Comment une substances devient-elle une drogue?

Où les drogues agissent-elles?

Les drogues perturbent le fonctionnement normal du cerveau en agissant au niveau des neuromédiateurs. Rappelons qu’un neuromédiateur est une substance chimique qui assure la continuité de l’influx nerveux. Il est libéré dans la synapse, zone de jonction entre deux neurones ou entre un neurone et une autre cellule. Lorsque l'influx nerveux arrive depuis le neurone émetteur sur la synapse, il déclenche la libération du neuromédiateur. Celui-ci vient alors se fixer sur les récepteurs appropriés du neurone récepteur qui transmet à son tour l’influx nerveux.

Est-ce que les neuromédiateurs sont tous les même?

Les différentes zones du cerveau, sièges de nos facultés, de nos humeurs et de nos sentiments, sont plus ou moins sensibles à différents neuromédiateurs. En perturbant le fonctionnement d’un ou plusieurs neuromédiateurs déterminés, une drogue perturbera le fonctionnement des zones cervicales sensibles à ces neuromédiateurs. Les effets de cette drogue seront donc déterminés en fonction des zones du cerveau ainsi que de la façon dont elle les perturbe.

Pourquoi éprouve-t-on un besoin?

Les produits stupéfiants, qui entraînent une dépendance, ont un point commun : celui d'augmenter la quantité de dopamine, neuromédiateur agissant sur une zone du cerveau appelée le « circuit de récompense ». C’est cette zone qui est stimulée et nous donne du plaisir chaque fois que nous agissons dans le sens de notre conservation ou de la survie de l’espèce : le plaisir de manger ou le plaisir sexuel par exemple.

La stimulation des neurones à la dopamine produit une sensation de plaisir intense. L'individu cherchera alors à ressentir de nouveau ce plaisir avec le ou les produits utilisés. Ce mécanisme explique les comportements de consommation répétitive qui conduisent à la dépendance.

Mais toutes les drogues ne provoquent pas de la même façon l’élévation du taux de dopamine dans le cerveau :

  • certaines substances imitent les neuromédiateurs naturels et donc se substituent à eux dans les récepteurs ; la morphine, par exemple, s'installe dans les récepteurs à endorphine (une "morphine" naturelle produite par le cerveau)
  • certaines substances augmentent la sécrétion d'un neuromédiateur naturel ; la cocaïne, par exemple, augmente surtout la présence de dopamine dans les synapses, et l'ecstasy surtout celle de la sérotonine
  • certaines substances bloquent un neuromédiateur naturel

Les autres neuromédiateurs impliqués sont principalement les endomorphines, les endocannabinoïdes, la noradrénaline, la sérotonine, l’acétylcholine et le gaba.

http://membres.lycos.fr/caat/drogues/drogues.htm
http://www.lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i_03/i_03_m/i_03_m_par/i_03_m_par.html

SeverineB 5 octobre 2006 à 13:53 (MEST)
PerrineP 5 octobre 2006 à 14:11 (MEST)

Quelle est la différence entre la dépendance et l'accoutumance?

accoutumance : l'accoutumance est la tendance à augmenter les doses pour continuer d'obtenir les mêmes effets, le phénomène d'accoutumance existe pour tout, que ce soit une substance psycho-active (stupéfiant) ou un niveau sonore, notre corps est fait pour s'adapter et s'adapte à tout élément auquel il est régulièrement soumis. L'accoutumance n'induit pas nécessairement une dépendance physique mais souvent une dépendance psychique.

dépendance : le terme de dépendance sert à désigner un état où votre organisme a intégré la "drogue" comme étant un élément nécessaire à son fonctionnement. -Ce besoin de "drogue" peut être psychique car vous pensez que seul l'état second que vous procure la "drogue" est un état satisfaisant pour vous ; la prise de conscience aboutit souvent sur des états dépressifs et suicidaires. -Ce besoin de "drogue" peut devenir physique, votre corps considère l'apport de "drogue" comme un élément à part entière de son cycle au même titre que des substances qu'il fabrique lui-même, votre organisme vous fait donc sentir physiquement qu'il a besoin de la "drogue" pour fonctionner, le phénomène de dépendance physique est évidemment accompagné d'une dépendance psychique dont l'unique but tend à éviter la crise de manque ; prise de conscience difficile, prise en charge nécessaire. Tous les produits n'induisent pas une dépendance physique.

http://thecrobard.propagande.org/teufeur/prod/dico.html

SeverineB 11 octobre 2006 à 22:28 (MEST)

Pourquoi est-il si dur d'arrêter?

Le sevrage physique est une réaction du corps. Quand le toxicomane ne consomme plus de drogue, son corps , habitué à la drogue , ne se rend pas compte qu' il ne fabrique plus d' endorphines (voir les produits et leurs effets ) et la drogue , qui occupait la place, n 'est plus là. Alors chaque petite douleur , normalement atténuée par les endorphines ou par la drogue , provoque chez le toxicomane une véritable souffrance . C'est généralement la peur de ce manque qui dissuade les toxicomanes de se désintoxiquer. L ' intensité des souffrances dépend surtout des doses journalières qui sont prises . Mais ce sont surtout les premières heures de sevrage qui sont les plus difficiles . En effet, c 'est la première fois que l ' organisme ne reçoit plus de drogue. Il arrive fréquemment que le drogué, s ' il est accro à forte dose , s‘ évanouisse ou tombe dans le coma. Une fois le sevrage passé , c'est souvent, si le sujet n'est pas pris en charge médicalement et psychiquement, la rechute.

ThandizoH 10 octobre 2006 à 14:07 (MEST)
http://pierre.top.free.fr/drg/sevrage.htm

Quelles sont les différentes sortes de drogues et leurs effets?

Différence entre drogue douce et drogue dure?

Le terme de drogue douce est un terme qui s'emploie parfois, surtout par opposition au terme drogue dure, et qui désigne presque exclusivement le cannabis du fait que celui-ci induit une dépendance psychique moyenne et que le risque de décès soit quasi nul (néanmoins certains décès peuvent être indirectement lié à la consommation de drogue douce, par exemple un accident de la route).

Le terme de drogue dure est un terme qui qualifie des substances à même de provoquer une dépendance psychique et physique forte. Par extension, les cas de décès par abus de drogue dure sont fréquents. Exemple : la cocaïne, l'héroïne.

ThandizoH 5 octobre 2006 à 13:34 (MEST)

La classification des drogues et leur effet

En 1957, Jean Delay (un psychiatre français) a élaboré avec son assistant Pierre Deniker une classification des drogues qui sera validée par le congrès mondial de psychiatrie en 1961. Cette classification distingue les substances psychotropes en fonction de leur activité sur le système nerveux central (SNC) :

Les psycholeptiques ou sédatifs psychiques, ralentissant l'activité du système nerveux, comprennent :

  • les hypnotiques (barbituriques) ;
  • les neuroleptiques ;
  • les régulateurs de l'humeur tels que les sels de lithium ;
  • les psycholeptiques divers tels que les tranquillisants (anxiolytiques), les sédatifs classiques (benzodiazépines) et les antiépileptiques ;

Les psychoanaleptiques ou excitants psychiques, accélèrant l'activité du système nerveux, comprennent :

  • les stimulants de la vigilance (amphétamines) ;
  • les stimulants de l'humeur (antidépresseurs) ;
  • les stimulants divers tels que le khat et la caféine ;

Les psychodysleptiques ou perturbateurs psychiques, perturbant l'activité du système nerveux, comprennent :

  • les hallucinogènes (mescaline, peyotl, kétamine, phencyclidine, LSD) ;
  • les stupéfiants (morphine, héroïne, opium) ;
  • l'alcool et ses dérivés.

ThandizoH 5 octobre 2006 à 13:53 (MEST)
AurelieB 19 octobre 2006 à 13:35 (MEST)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Classification_des_psychotropes

Exemples concrets

Les effets de la morphine sur la douleur?

La morphine est une molécule utilisée comme médicament contre la douleur (analgésique). Mais son emploi en tant que drogue au début du XXe siècle posa de nombreux problèmes dus à la dépendance qu'elle induit. Aussi est-elle listée comme stupéfiant au niveau international.
Le mode d'action exact des opiacés (substances dérivées (au sens large) de l'opium) reste encore assez inconnu.On considère que la morphine agit sur le système nerveux central par saturation des récepteurs aux opiacés impliqués dans le phénomène de perception de la douleur.
La morphine possède de nombreux effets secondaires dont les plus fréquents sont la constipation, la somnolence, les nausées et vomissements. En cas d'administration sur une longue période, somnolence, nausées et vomissements disparaissent, la constipation ne régresse pas spontanément et doit être traitée.
Sous contrôle médical, la prescription stipule des prises à heure fixe et contrôlées qui permettent la prise avant la réapparition de la douleur afin d'éviter toute association entre médication et soulagement immédiat ainsi qu'un arrêt progressif permettant d'éviter le syndrome de sevrage. Dans un cadre médical, la prescription de morphine n'entraîne de toxicomanie que dans 4 cas pour 10000. Mais dans certains contextes précis hors du contexte médical, une consommation régulière de morphine est susceptible de provoquer une dépendance psychologique et physique. La tolérance s'acquiert rapidement, nécessitant une augmentation des doses pour ressentir les mêmes effets et éviter les symptômes de sevrage. Parmi ces derniers, qui peuvent se manifester quatre ou cinq heures après la dernière dose jusqu'à sept à dix jours - avec une réaction plus intense entre 36 et 72 heures - on retrouve de l'anxiété, de l'insomnie, des frissons, des spasmes musculaires, des sueurs abondantes, de la diarrhée, de l' irritabilité, de la douleur et de l'hypertension. Il faut au moins six mois avant que les symptômes de sevrage ne disparaissent complètement.
Différents produits peuvent être utilisés pour aider au sevrage des opiacés en modifiant l'expression des signes d'abstinence. Quatre produits seront envisagés. Trois analgésiques morphiniques synthétiques dont le mode d'action s'apparente à celui de la morphine : la méthadone, la benzitramide et la buprénorphine et une autre substance qui n'est pas de substitution car elle n'agit pas sur les récepteurs opioïdes : la clonidine (catapressan).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Morphine
http://www.etape.qc.ca/drogues/morphine.htm
http://www.servicevie.com/02sante/sante_ados/Ados16072001/morphine.html
http://users.skynet.be/toxicomanie/sevrage.htm

ThandizoH 10 octobre 2006 à 13:27 (MEST)
AurelieB 19 octobre 2006 à 14:26 (MEST)

La dépression et les antidépresseurs

NadiaV 19 octobre 2006 à 13:35 (MEST)
liens utils:
http://www.servicevie.com/02SANTE/Cle_des_maux/D/maux69.html
http://www.etat-depressif.com/
http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/deprime/ps_101_resseurs.htm
http://www.linternaute.com/sante/psychologie/dossiers/06/0609-psychotropes/3.shtml

dépression:

  • définition
  • symptomes
  • causes

anstidépresseurs:
Un antidépresseur est un médicaments psychotropes (substance agissant sur le psychisme avec des effets stimulants, tranquillisants ou hallucinogènes). L'action se fait spécifiquement sur l'activité cérébrale. On divise habituellement les antidépresseurs en trois groupes: les tricycliques inhibiteurs la monoamine oxydase, appelés également IMAO inhibiteurs de la sérotonine source: http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/antidepresseur-496.html A FINIR

Les amphétamines

InesK 19 octobre 2006 à 13:49 (MEST)

  • Qu'est-ce qu'une ampétamine

Les amphétamine sont des médicament stimulant.Elles sont utilisées par exemple: comme coupe faim,comme traitemnet de l'hyperactivité, mais aussi comme stimulant du système nerveux central.Elle est composée de α-méthyl-phényléthanamine (d'où a-m-phe-eth-amine = amphétamine).L'organisme peut développer une certaine dépendance après une fréquence d'utilisation élevée. Les métamphétamines se présente aussi sous forme de crisatux. Les métamphétamines restent volatiles et garde ses propriétés psycho-actives.

  • Effet à court terme

Les métamphétamine sont plus rapidement absorbées par le cerveau. L’effet chez le consommateur variera en fonction de la quantité absorbée et du mode d’administration, pouvant atteindre jusqu’à 12 heures(cf lien). Elle donne l'impression dêtre invincible, d'être le plus fort. Après une prise, tout semble être parfait(faculté intelectuelle épanoui, jugement rapide, compréhensions plus sures...) et supprime la fatigue. Une dose de "crystal ice"provoque: perte d'apétit, hausse de la pression sanguine, du rythme cardiaque et respiratoire, une dilatation des bronches,...La métamphétamine accélère le fonctionnement du corps et du cerveau.

  • Effet à long terme

Un usage régulier peut entraîner une action hallucinogène quand l'organisme est habitué à la fonction excitante du produit. Lorsqu'il y à dépendance, les effets rechercher au départ(supprimer la fatigue...) sont inversé chez le sujet si la prise n'est pas renouvelée. Par exemple:Le besoin de sommeil devient incoercible, le sujet devient irritable et hyperactif...

  • Dépendance

"L’utilisation chronique de la méthamphétamine peut causer de l’insomnie et une dépression extrême. Elle peut mener à des psychoses ressemblant à la schizophrénie; des comportements violents et paranoïaques, des modèles de comportement répétitifs et des hallucinations."La dépendance aux métamphétamines est semblable à celle de la cocaïne. L’usage chronique peut causer des dommages aux terminaisons des cellules du cerveau, les neutrons de dopamine s’épuisent et se détériorent. A long terme, le sujet peut développer une accoutumance et donc s'administer des surdoses. La prise prolongée des métamphétamines peut provoquer la mort(rupture d'un vaisseau dans le cerveau, convulsions épileptiformes...)

  • Sevrage

Le THC: effets, utilité,sevrage

Le THC (Tétrahydrocannabinol) est obtenu à partir de la plante "Cannabis sativa" qui pousse sous presque tous les climats.Le seul usage médical accepté est dans le cadre du traitement de nausées et de vomissements liés à la chimiothérapie anticancéreuse effectuée au moyen d'un produit composé connexe, le Nabilone ou bien pour les sidiéens en phase finale.

Effets à court terme:lorsque le cannabis est fumé, ses effets sont ressentis en quelques minutes et durent de deux à quatre heures;lorsqu'il est ingéré, les effets se présentent de façon plus progressive et durent plus longtemps,et le consommateur peut se sentir amorti et abattu pendant un certain temps par la suite.La concentration et la mémoire à court terme sont grandement altérées. La personne se sent calme,relaxée,volubile.Les perceptions sensorielles semblent accrues.L'appétit s'accroît surtout pour les friandises.D'autres ont des hallucinations lorsqu'elles prennent une dose importante.Parmi les effets physiques,notons une altération de la coordination et du sens de l'équilibre,un rythme cardiaque accéléré,une rougeur des yeux,une sécheresse de la bouche et de la gorge,un sentiment de somnolence.Des doses normales influencent les aptitudes motrices, surtout en combinaison avec l'alcool;il devient donc dangereux de conduire lorsqu'on a consommé du cannabis.

Effets à long terme: parmi les signes d'une consommation excessive régulière, on compte une perte de la motivation et de l'intérêt, ainsi que des difficultés sur le plan de la mémoire et de la concentration. Ces problèmes ont tendance à disparaître lorsque la personne cesse de consommer régulièrement cette substance. Le système respiratoire est endommagé par le fait de fumer : une simple cigarette de haschisch contient beaucoup plus de goudron qu'une cigarette forte. Le goudron présent dans la fumée de cannabis renferme une plus grande quantité d'agents cancérigènes que celui qui se trouve dans la fumée du tabac.Leur seuil de tolérance augmente, nécessitant davantage de drogue pour obtenir les effets escomptés.

Lorsqu'une personne en prend régulièrement ou beaucoup, il peut se produire une dépendance psychologique et physique à l'égard du cannabis. Les symptômes liés au sevrage comprennent l'angoisse, la nervosité, l'insomnie, des sueurs ainsi qu'une perte d'appétit.
http://www.etape.qc.ca/drogues/cannabis.htm
http://www.servicevie.com/02SANTE/Sante_ados/Ados10092001/THC.html
MarcB 19 octobre 2006 à 14:12 (MEST)

Quelques liens utiles

http://www.servicevie.com/02SANTE/Sante_ados/Ados10092001/THC.html
http://www.etape.qc.ca/drogues/amphet.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Amph%C3%A9tamine