BASES:Cours BASES 2021-22/Comment les outils numériques permettent d’évaluer les membres d’un groupe, dans le cadre d’une évaluation formative à distance effectuée dans un cours hybride ?

De EduTech Wiki
< BASES:Cours BASES 2021-22
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à la navigation Aller à la recherche

Auteur-e : Tamara Crétard

Mon groupe de travail

Mon groupe de travail prénommé "Cassatt" est composé de Tamara Crétard (moi-même), Rima Achour Rahmani et Kenneth Rioja. Cette année, la thématique du cours BASES est "l'évaluation dans et des dispositifs de formation". Dans notre cas, notre intérêt s'est porté sur le travail à distance, le travail en groupe, l'engagement ainsi que les différents outils disponibles pour travailler en collaboration. Après réflexions, une question est ressortie: Comment évaluer les membres d’un groupe en évaluation formative à distance dans le cadre d’un cours hybride ?

Problématique et questions de recherches

Problématique

Depuis plusieurs années, on observe une utilisation du numérique de plus en plus massive dans l'éducation. Avec la pandémie mondiale actuelle, il a fallu s'adapter. De nombreux cours et examens ont été ainsi basculés en distanciel. Les enseignants ont alors eu à se former rapidement à certaines technologies. Les élèves, eux, ont dû acquérir une certaine autonomie pour répondre à la demande de leurs enseignants. Ces changements ayant été rapides, malgré la prise de conscience de certains bénéfices, de nombreuses questions restent sans réponses. L'une d'elles pourrait concerner la prise en compte de l'implication de chaque élève dans un travail de groupe. En effet, il est déjà assez compliqué de noter les élèves lors d'un travail en groupe en présentiel. Pour ce qui est d'un travail en distanciel, cela l'est encore plus, car on ne peut pas voir les interactions entre les élèves et noter si certains sont plus engagés que d'autres ou non. C'est pour cela que notre groupe va s'intéresser à la question:

Comment les outils numériques permettent d’évaluer les membres d’un groupe, dans le cadre d’une évaluation formative à distance effectuée dans un cours hybride ?

Y répondre permettra de mieux noter les élèves lors d'un travail de groupe à distance, pour que la notation reflète plus l'implication de chaque élève. Comme vu précédemment, la thématique du cours BASES porte sur "l'évaluation dans et des dispositifs de formation". Dans notre cas, nous nous intéressons au travail à distance, au travail en groupe, à l'engagement et aux différents outils disponibles pour travailler en collaboration. Pour répondre à notre problématique, nous allons traiter deux sous-questions:

Dans la première, nous aborderons la question de qui évaluer? et quoi évaluer?, tandis que la seconde portera plus sur comment évaluer?, notamment grâce aux outils numériques.

Questions de recherche

Dimension Question de recherche associée Pertinence de la question de recherche
Psychologique L’outil numérique choisi par l'enseignant a-t-il un effet sur l’engagement des apprenants ? Pour terminer une tâche avec efficacité et pour que le rendu soit qualitatif, il faut la plupart du temps que l'apprenant soit impliqué, engagé dans cette tâche. Il serait intéressant de savoir si un outil numérique peut faire en sorte qu'une personne soit plus engagée, car de plus en plus, on a tendance à faire usage du numérique dans le contexte de l'éducation.
Pédagogique Quels sont les effets d’un outil de collaboration utilisé lors d’une évaluation formative en groupe, sur la façon de corriger cette évaluation par l’enseignant, dans le cadre d’un cours hybride ? Il est vrai que les travaux de groupe impliquent de nombreux éléments à prendre en compte lorsqu'on veut les évaluer. L'idée serait de savoir si cette évaluation est impactée par les outils de collaboration, qui sont de plus en plus mis à disposition par les enseignants.
Numérique Comment l’outil numérique modifie les interactions en ligne entre les apprenants? Souvent, les apprenants mentionnent une préférence pour le numérique, celui-ci étant plus attractif et facilitant les échanges. Il serait intéressant de se questionner sur ces échanges, ces interactions et en quoi ils changent avec l'utilisation des outils numériques.

Définitions

Outil de collaboration

Dans le terme "outil de collaboration", nous retrouvons l'idée de collaboration. Pour celle-ci, nous pouvons trouver diverses définitions mettant en avant des critères plus ou moins différents. Dans notre cas, il semble intéressant de prendre en compte celle de Schrage (1990) que l'on retrouve dans Frayret et al. (2003). Frayet et al. (2003) utilisent donc la définition de Schrage (1990) qui insiste plus sur la notion de relation intensionnelle (c’est à dire ayant un but): "la collaboration est une relation intentionnelle crée dans le but de résoudre un problème, créer ou découvrir quelque chose, dans le cadre d’une situation soumise à un ensemble de contraintes". Nous pouvons donc comprendre que le terme "outil de collaboration" désigne un outil par lequel la collaboration se crée ou bien est facilitée.

Interaction

Lorsque l'on parle d'outil de collaboration, on peut penser à de multiples interactions entre plusieurs personnes. Mais qu'est-ce qu'est réellement une interaction? Pour Pruvost (2015), c'est une "action réciproque au sens large. […] Elle n’est pas nécessairement rencontre physique, elle peut être une interaction d’évitement. Dans tous les cas, l’interaction suppose que l’on agit comme si on était sous le regard d’autrui, impliquant un ajustement de son action dans l’interrelation".

Réponses aux questions de recherche

L’outil numérique choisi a-t-il un effet sur l’engagement des apprenants ?

L'engagement fait l'objet de multiples définitions, plus ou moins similaires. Pour Molinari et al. (2016), il a trois composantes : l'engagement cognitif, l'engagement comportemental et l'engagement émotionnel.

L’engagement comportemental "se fonde sur l’idée de participation et d’indicateurs observables de cette participation" (Molinari & al. 2016). Ce sont donc des manifestations directement observables et leur évaluation est objective. On peut par exemple observer si l’apprenant respecte les règles de la classe, s’il participe à des activités ou bien s’il fournit des efforts.

L’engagement cognitif caractérise l’effort mental fourni par l’apprenant pour réaliser une tâche. Son évaluation est subjective (Molinari, 2021).

L’engagement émotionnel "se réfère aux émotions positives ou négatives (par exemple, l’intérêt, la tristesse ou l’anxiété) que les apprenants ressentent à l’égard de l’école, de leurs enseignants et leurs pairs, ou encore du contenu à apprendre voire de l’acte même d’apprendre" (Molinari & al. 2016). Son évaluation est également subjective (Molinari, 2021).

Finalement, l’engagement, la motivation et l’auto-régulation sont en lien. En effet, plus l’apprenant a un sentiment d’efficacité personnel élevé et plus ses attentes de succès seront élevées, plus il sera "susceptible de s’engager dans une activité, de persévérer et de déployer des stratégies cognitives et métacognitives appropriées" (Molinari, 2016).

Ce n'est pas exagérer de dire qu'aujourd'hui, le numérique occupe une place très importante dans la société. D'après Brülhart (2019), "parmi les dix centres d’intérêts préférés des 16-25 ans, sept sont issues du domaine du numérique" (p. 16). Elle met aussi en avant que les outils numériques peuvent favoriser l'implication de l’élève dans ses apprentissages. Ces outils peuvent être des "agents de motivation" (p. 26) et faire en sorte que l'apprenant s'implique plus et soit engagé. Pour Viau (1996), "(...) un élève motivé a des aspirations claires qui l'amènent à percevoir l'importance l'utilité et l'intérêt des activités qu'on lui propose; il se perçoit capable de les accomplir et, enfin, il perçoit qu'il a un certain contrôle sur leur déroulement" (p. 2). Cela montre bien que l'engagement a un lien avec la motivation et qu'un apprenant motivé aura plus de chances d'être engagé. Viau (1994) utilise des indicateurs de motivation pour mesurer cette dernière. Parmi ces indicateurs, on retrouve notamment l'engagement cognitif. En effet, "un élève motivé aura une plus grande capacité d’attention et de concentration qu’un élève démotivé, et cherchera également à mettre en place des stratégies d’apprentissage et d’autorégulation" (Brülhart, 2019, p.28). Il faudrait donc choisir des activités motivantes pour que l'apprenant soit engagé. Pour Viau (2000), une activité doit remplir certains critères pour être motivante. Un de ces critères est que l'activité soit signifiante aux yeux de l'apprenant. Elle le sera si elle fait écho à ses intérêts. Comme vu précédemment, le numérique fait partie des domaines d'intérêt des jeunes. Cela signifierait que choisir des outils numériques pour une tâche serait plus motivant, l'apprenant lui accordant plus de valeur (Viau, 2000). Ainsi, il faudrait choisir des outils numériques motivants afin de favoriser l'engagement.

Quels sont les effets d’un outil de collaboration utilisé lors d’une évaluation formative en groupe, sur la façon de corriger cette évaluation par l’enseignant, dans le cadre d’un cours hybride ?

Les travaux de groupes, notés ou non, posent souvent soucis que ce soit du côté des apprenants, ou bien du côté des enseignants. Dans le premier cas, il est possible que le travail se passe bien, c'est-à-dire sans disputes et avec une répartition égale des tâches à réaliser. Cependant, ce n'est pas toujours le cas et certains apprenants ont peur du groupe et des conflits qui vont avec (Pavard & Briaud, 2016). Parfois, le travail n'est pas forcément réparti, certains apprenants ne sont pas motivés, engagés… et une personne se retrouve à réaliser en grande partie le travail demandé. L'évaluation est notée, la personne a un sentiment d'injustice car tous vont recevoir la même note, mais l'implication n'est pas la même… Une question se pose alors pour l'enseignant: comment évaluer de manière juste, de façon à prendre en compte le travail de chacun?

D'après Bamieh (2018), les Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Enseignement (TICE) assurent le bon déroulement d'un travail collaboratif et l'efficacité de ce dernier. Les outils pour le travail collaboratif sont nombreux. On peut retrouver Teams, Framapad, Moodle, MindMup, Beekast, Padlet... Avec ces outils, l'enseignant va pouvoir avoir une meilleure vision de l'avancée des travaux. En effet, beaucoup d'outils de collaboration utilisent un système où l'on peut voir les apports de chaque apprenant que ce soit de manière directe (visible sans manipulation) ou bien par exemple, grâce à un historique (Google Docs p.ex.). Si on prend par exemple, le cas de "Framapad, un éditeur de texte collaboratif en ligne, [...] les contributions de chaque utilisateur sont signalées par un code couleur. Elles apparaissent à l’écran en temps réel et sont enregistrées au fur et à mesure qu’elles sont saisies" (Bamieh, 2018, p. 69). L'enseignant peut donc bien voir l'avancée du travail et les contributions de chaque apprenant, afin de fournir un feedback approprié.

Cependant, observer seulement ce qui se passe sur la plateforme collaborative n'est parfois pas suffisant. En effet, d'après la recherche de Martin et Paye (2020), les apprenants utilisent souvent des plateformes autres que celles préconisées par les enseignants (Facebook/Messenger, Discord, WhatsApp…), notamment à des fins de communication. Cela signifie qu'une partie des informations en lien avec le travail n'est pas accessible par l'enseignant et cela rend plus compliquée l'évaluation. L'enseignant pourrait pour éviter cela, proposer plusieurs outils sur lesquels avancer le travail , mais aussi communiquer. Cela permettrait un meilleur feedback et une meilleure mesure de l'engagement de chaque apprenant.

Comment l’outil numérique modifie les interactions entre les apprenants?

Par expérience, certains élèves disent préférer travailler et préparer des travaux de groupes en ligne. Cela vient du fait que la communication est plus "facile". En effet, nombreux sont ceux qui n'osent pas forcément s'exprimer à l'oral, donner leur avis et faire valoir leur opinion (Jeanmaire, 2020; Bompas). Cela peut être dû au fait de redouter de parler devant d'autres personnes à l'oral par peur d'être jugés sur l'apparence par exemple. Passer par des outils numériques peut ainsi "libérer" l'apprenant et lui permettre de s'exprimer, d'interagir avec ses camarades et d'accomplir une tâche sans problèmes occasionnés autres que par le contenu de celle-ci (Jeanmaire, 2020; Bompas).

Cependant, il ne faut pas penser que chaque outil est similaire et permet le même type d'interactions. En effet, d'après Micholet et Duthoit (2014), "les interactions langagières médiées peuvent être différentes en fonction des interactants mais également en fonction des moyens de communication utilisés" (p. 177). Comme vu précédemment, la communication peut se mettre plus difficilement en place lorsque les outils utilisés sont peu connus des apprenants ou "imposés" par l'enseignant. Effectivement, ils ont plus tendance à avoir recours aux outils qu'ils connaissent déjà et utilisent quotidiennement. Cela est dû au fait que les outils choisis obéissent parfois à "des règles établies et structurées, à un protocole préétabli" (Micholet & Duthoit, 2014) et cela peut être le cas notamment avec les outils préconisés par les enseignants. Les apprenants ont tendance à choisir leur vocabulaire et leur expression lorsque le contenu est destiné ou bien accessible à des personnes supérieures dans la hiérarchie. Avec des outils plus "personnels", permettant une communication entre apprenants, les interactions peuvent être plus nombreuses et peut-être plus riches , car il n'y a pas de restrictions au niveau de l'échange. Les apprenants vont dans ce cas ne pas hésiter à échanger et dire ce qu'ils pensent et cela est une très bonne chose, car cela peut faire avancer le travail. En effet, d'après Mechekour (2006), "les échanges informels entre [apprenants] permettent de construire un référentiel commun indispensable au travail collaboratif en équipe. Les moments d’échanges informels comportent entre autres les opportunités de collaboration qui font avancer le travail [...], en partageant des informations ou en prenant des décisions".

Micholet et Duthoit (2014) mettent aussi en avant que "parmi les outils numériques mobilisés au service de la communication, [on peut observer] un recourt massif au courrier électronique, aux forums et autres types de communication synchrones" (p. 177). Pour ce qui est du forum, "son rôle va de la création de liens sociaux, aux activités de partage, à la coopération et à la collaboration en passant par la création de communautés d’apprentissage, lieu de co-construction des connaissances" (Micholet & Duthoit, 2014, p. 177). Malgré ces aspects positifs, "le caractère public du forum peut représenter un frein à la participation" (Micholet & Duthoit, 2014, p. 177). C'est pour cela que souvent les apprenants vont aussi préférer utiliser les mails, ceux-ci permettant "justement un contact individuel avec les [autres] apprenants, direct sans envahir l’espace personnel" (Micholet & Duthoit, 2014, p. 177). Le mail peut également être utilisé par l’apprenant pour interagir avec l'enseignant.

Discussion

Evaluer les membres d'un groupe en évaluation formative à distance dans le cadre d’un cours hybride n'est pas chose aisée. Il est évident que l’enseignant doit évaluer le travail collectif, mais il doit également prendre en compte l’apport de chaque apprenant. Pour ce faire, il n'y a pas de liste à suivre sur "comment évaluer?", mais il y a des éléments auxquels il faut prêter attention, encore plus lorsque des outils numériques sont mis à disposition. Tout d’abord, il faut savoir que même si le numérique a tendance à faire plus « participer » les apprenants, selon l’outil, les interactions ne vont pas être les mêmes.  Parfois elles vont être plus ou moins nombreuses et plus ou moins formelles. De plus, les apprenants vont souvent interagir avec des outils propres à eux, auxquels l’enseignant ne va pas forcément avoir accès. Il va donc être difficile de prendre en compte les idées de chacun si celles-ci ont été émises dans un cadre "privé". Avec certains outils tels que Framapad par exemple, il est possible de voir l'avancée d'un travail et la contribution de chacun notamment. Cela permet de donner un feedback plus juste à chacun et s'il y a une note, que celle-ci soit plus représentative. Pour finir, l'idéal serait de prendre en compte l'engagement de chaque apprenant. L'engagement et la motivation sont liés. Cela signifie que pour être engagé, un apprenant doit la plupart du temps être motivé. Une tâche est motivante si elle a de l'intérêt et de la valeur pour l'apprenant. Le numérique étant important pour la plupart des jeunes, il serait intéressant d'utiliser des outils numériques pour favoriser l'engagement et ainsi obtenir plus d'interactions.

Références

  • Bamieh, D. (2018). Repenser l’évaluation de la traduction pédagogique avec les TICE.
  • Bompas, E. L'impact du travail de groupe sur la créativité des élèves. https://www.pedagogie.ac-nantes.fr/arts-plastiques-insitu/l-impact-du-travail-de-groupe- sur-la-creativite-des-eleves-902160.kjsp?RH=1417345336720.
  • Brülhart, J. (2019). L’intégration des outils numériques en classe d’arts visuels et leur impact sur la motivation. Mémoire de Master en enseignement secondaire I, Haute Ecole Pédagogique de Vaud.
  • Frayret, J. M., D’Amours, F., & D’Amours, S. (2003). Collaboration et outils collaboratifs pour la PME manufacturière. Cerfio, Telus.
  • Jeanmaire, J. (2020). Problématique: en quoi les travaux de groupe favorisent-ils la construction personnelle et les activités de production d’un élève introverti en classe d’espagnol? (Doctoral dissertation, Université de lorraine).
  • Martin, E., & Paye, S. (2020). Le travail étudiant en période de confinement. Nancy, Université de Lorraine.
  • Mechekour, E. H. (2006). Etude des aspects informels en conception collaborative à distance; Propositions pour des outils supports aux activités synchrones (Doctoral dissertation, Institut National Polytechnique de Grenoble-INPG).
  • Micholet, M., & Duthoit, E. (2014). À chaque interaction asynchrone, son outil pour communiquer au travers d’un écran. IMPEC: Interactions Multimodales Par ECran, 175-188.
  • Molinari, G. (2021). (MA75314 Apprentissage digital et formation à  distance) [Présentations Moodle]. Genève : Université de Genève. Repéré sur la plateforme Moodle.
  • Molinari, G., Poellhuber, B., Heutte, J., Lavoué, E., Widmer, D. S., et Caron, P. A. (2016). L’engagement et la persistance dans les dispositifs de formation en ligne: regards croisés. Distances et médiations des savoirs, (13), 2-17.
  • Pavard, J., & Briaud, P. (2016). Le travail de groupe: une méthode favorisant l'apprentissage des matières scientifiques.
  • Pruvost, G. (2015). « Interaction », in Paugam Serge (dir.), Les 100 mots de la sociologie, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Que Sais-Je ? », pp. 17-18.
  • Viau, R. (1994), La motivation en contexte scolaire. St-Laurent, France: Éditions du Renouveau pédagogique
  • Viau, R. (1996), La motivation, condition essentielle de la réussite. Pédagogies et apprentissages (2) / Doc. 17.
  • Viau, R. (2000), Des conditions à respecter pour susciter la motivation des élèves. Correspondance (5:3)