Idées reçues quant aux marqueurs corporels ostentatoires (piercings, tatouages)

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Proposition des étudiantes

  • Pedrant Maëlig
  • Borel Ninosca
  • Bauer stéphanie
  • Kuzbari Rime

Thématique

S'elles nous viennent de populations lointaines où ils constituaient à la fois des rites de passage et des symboles d'appartenance, les marques corporelles ont longtemps, dans les sociétés occidentales, été l'apange des marges. Aujourd'hui, cependant, piercings et tatouages semblent avoir été "normalisés" et relever d'une sous-culture aux contours mal définis que l'on pourrait qualifier de "culture jeune". Il y a pourtant des limites à ne pas franchir et ceux qui érigent la modification del eur corps au rang dde mode de vie doivent faire face à la stigmatisation et à la marginalisation.

Comment cette évolution s'est-elle produite? Quel regard les parents posent-ils sur cette mode qui n'est pas sans évoquer, pour eux, les mouvements punks des années 70? Quelle est le seuil de tolérance aux marques corporelles dans notre société? Autant de questions que nous nous proposons d'explorer. --Ninosca 23 mar 2006 à 11:56 (MET)

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Références bibliographiques

  • Becker, H.S. (1963). Outsiders. Etudes de sociologie de la déviance. Métaillé.

Références bibliographiques

  • Brion, F., & Tulkens, F. (1998). Conflit de culture et délinquance. Interroger l’évidence. Déviance et société, 22 (3), 235-262