« La délinquance juvénile stigmatisée » : différence entre les versions

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Didier Pingeon, professeur à la faculté des sciences de l’éducation à Genève, débat sur la définition même de la délinquance à travers son écrit « La délinquance juvénile stigmatisée » paru en mai 1982 dans le 27ème cahier de la Section des Sciences de l’Education.
Didier Pingeon, professeur à la faculté des sciences de l’éducation à Genève, débat sur la définition même de la délinquance à travers son écrit « La délinquance juvénile stigmatisée » paru en mai 1982 dans le 27ème cahier de la Section des Sciences de l’Education.
Pour cet auteur, « la délinquance puise sa légitimité dans la dévalorisation, la frustration et l’injustice ». C’est ainsi qu’il essaye de nous convaincre que « la délinquance n’existe qu’au travers une définition juridique » à l’aide d’un inventaire des processus de stigmatisation. Il souligne 10 stigmates qu’il développe un à un.
Pour cet auteur, « la délinquance puise sa légitimité dans la dévalorisation, la frustration et l’injustice ». C’est ainsi qu’il essaye de nous convaincre que « la délinquance n’existe qu’au travers une définition juridique » à l’aide d’un inventaire des processus de stigmatisation. Il souligne 10 stigmates qu’il développe un à un.
# du conformisme
 
[[Catégorie: Résumé]]

Version du 4 juin 2009 à 17:08

La délinquance juvénile stigmatisée Didier Pingeon

Didier Pingeon, professeur à la faculté des sciences de l’éducation à Genève, débat sur la définition même de la délinquance à travers son écrit « La délinquance juvénile stigmatisée » paru en mai 1982 dans le 27ème cahier de la Section des Sciences de l’Education. Pour cet auteur, « la délinquance puise sa légitimité dans la dévalorisation, la frustration et l’injustice ». C’est ainsi qu’il essaye de nous convaincre que « la délinquance n’existe qu’au travers une définition juridique » à l’aide d’un inventaire des processus de stigmatisation. Il souligne 10 stigmates qu’il développe un à un.