« Thomas Szasz » : différence entre les versions

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'''Qui est-il ?''' : Il est avant tout un psychiatre et par la suite un professeur qui enseigne la psychiatrie à l’Université de New York. Il est l’inventeur du mouvement de l’antipsychiatrie et reconnu comme « l’homme qui a contraint la psychiatrie à admettre l’existence et l’importance des confits moraux et éthiques ».  
'''Qui est-il ?''' : Il est avant tout un psychiatre et par la suite un professeur qui enseigne la psychiatrie à l’Université de New York. Il est l’inventeur du mouvement de l’antipsychiatrie et reconnu comme « l’homme qui a contraint la psychiatrie à admettre l’existence et l’importance des confits moraux et éthiques ».  


''Szasz et la psychiatrie'':  
'''Szasz et la psychiatrie''':  
"Il dénonce l’utilisation de la psychiatrie comme moyen de contrôle social, comparant le rôle du psychiatre envers les déviants à celui des inquisiteurs face aux hérétiques. Toute déviance est, socialement et politiquement, folie et félonie. Selon lui, la maladie mentale n’est pas un problème médical, mais un problème de pouvoir."
"Il dénonce l’utilisation de la psychiatrie comme moyen de contrôle social, comparant le rôle du psychiatre envers les déviants à celui des inquisiteurs face aux hérétiques. Toute déviance est, socialement et politiquement, folie et félonie. Selon lui, la maladie mentale n’est pas un problème médical, mais un problème de pouvoir."

Version du 27 octobre 2013 à 13:18

Date : Né le 15 avril 1920 à Budapest, décédé le 8 septembre 2012

Qui est-il ? : Il est avant tout un psychiatre et par la suite un professeur qui enseigne la psychiatrie à l’Université de New York. Il est l’inventeur du mouvement de l’antipsychiatrie et reconnu comme « l’homme qui a contraint la psychiatrie à admettre l’existence et l’importance des confits moraux et éthiques ».

Szasz et la psychiatrie: "Il dénonce l’utilisation de la psychiatrie comme moyen de contrôle social, comparant le rôle du psychiatre envers les déviants à celui des inquisiteurs face aux hérétiques. Toute déviance est, socialement et politiquement, folie et félonie. Selon lui, la maladie mentale n’est pas un problème médical, mais un problème de pouvoir."