Discussion:Article 2011

-- Ruchat 14 octobre 2010 à 14:54 (CEST)

Je pense que les questions sont mieux placées dans la page discussion, c'est pourquoi je me suis permises de les déplacer.

Questions au groupe:

• J'ai eu un doute à la rédaction: pouvons nous parler de philanthropes lorsque l'on décrit ces "pioniers"? Il est vrai qu'ils ont dans l'idée d'aider leur prochain, mais est-ce dans le même but et avec les même méthodes qu'utilisaient ceux qu'on décrivait comme philanthropes? (aider et faire travailler les enfants pour les aider, ainsi que la conservation du statut de chacun)

• Les capacités exigées à l'époque étaient-elles bien avant tout physiques?

-- Ruchat 20 octobre 2010 à 11:40 (CEST)

Je ne vois guère le texte avancer! N'oubliez pas d'écrire directement dans le texte pour articuler au mieux cette intelligence collective qui se construit.Il ne s'agit pas de faire des couper/coller avec word, mais bien d'introduire votre pensée, vos références, vos idées, vos analyses dans le texte même.

Re: -- AdelinaGjini 27 octobre 2010 à 10:30 (CEST)

Je me retrouve avec le même sentiment que mon collègue de vouloir reflechir à la formulation des idées sorties des lectures. Mais l'élaboration est en train se faire. Au sujet des revues sur l'éducation spéciale dans les années 70-80 demande du temps et il est possible de consulter que dans la bibliothèque pas d'autre possibilité.

== D'accord, il n'est pas facile d'entrer dans une démarche "work in progress" mais c'est le challenge justement. Sans écriture pas de connaissance partagée. Il faut vous lancer.

-- Ruchat 29 octobre 2010 à 12:28 (CEST)

D'accord, il n'est pas facile d'entrer dans une démarche "work in progress" mais c'est le challenge justement. Sans écriture pas de connaissance partagée. Il faut vous lancer.

-- Ruchat 14 novembre 2010 à 14:35 (CET)

Il faudrait lorsque vous écrivez toujours dire comment vous vous y êtes pris (question de méthode): pour le contexte par exemple. Comment Aurore s'y est-elle prise pour faire cet inventaire tout à fait intéressant? J'attends aussi de connaître comment vous allez relier cet inventaire d'événements à la question du handicap et de l'intégration.

Re: -- Eggerau2 16 novembre 2010 à 15:06 (CET)

EN ce qui concerne la question de la méthode, je comprends son importance et ferai les modifications nécessaires. En ce qui concerne le développement sur le contexte et le concept d'intégration, je continue la démarche de work in progress et au cours de mes nombreuses lectures, suis tombée sur un livre très intéressant donnant de nombreuses pistes et indications sur les problématiques que se propose de traiter cet article. Travaillant donc avec ces livres, dont un en particulier, j'ai l'impression que le puzzle prend enfin forme dnas ma tête et je pense qu'en continuant la partie crée "Développements sur l'intégration...", je vais pouvoir apporter d'autres données me permettant de relier le tout... et notamment de relier cela au fameux contexte !! de sorte qu'il ne soit plus qu'un inventaire de faits mais qu'il prenne un sens... Enfin, j'espère... WORK IN PROGRESS !!!! En tous les cas, passionnant !!

-- AdelinaGjini 17 novembre 2010 à 09:54 (CET)

Juste je ne trouve plus le lien du résumé de Mendel dans l'article ? Pour cette raison là que j'ai pas pu faire les modifications. Où le chercher ? Merci

-- Ruchat 23 novembre 2010 à 09:22 (CET)

QUELQUES REMARQUES APRES LECTURE:

Le chapitre sur le concept de génération est vraiment très intéressant. Je pense qu'il faudrait en effet peaufiner une conclusion comme a commencé à le faire Fabien (j'ai d'ailleurs déplacer ce paragraphe "conclusif" à son propos sur l'histoire littéraire) à moins que ce paragraphe soit glisser dans le chapitre suivant sur les générations dans l'éducation spécialisée. Il faut être attentif désormais à la construction de l'article.

Techniquement, il faudrait faire des liens avec la bibliographique et non mettre la référence dans le texte mais que le lien (Mendel, ATTIAS, Morard, etc.)

Le résumé du mémoire sur Clair-Bois nécessite une présentation qui le lie avec la démarche de recherche. J'ai commencé à l'écrire, mais je compte sur Fabien pour faire ce qui est nécessaire pour optimaliser l'intérêt de cet article.

-- Tcheraz4 23 novembre 2010 à 17:37 (CET)

Encore désolé de ne pouvoir être avec vous demain. Je vous transmets par écrit, comme promis, ma question.

Introduction : Vous avez été et êtes toujours pour certains d'entre vous des acteurs importants en ce qui concerne l'intégration des personnes avec un handicap. Vous n'avez pourtant pas le même parcours : certains d'entre vous se sont tournés vers ce "combat" dans un premier temps parce que cela concernait vos propres enfants, d'autres d'entre vous sont des professionnels qu'une certaine pratique du terrain a sensibilisé à la cause... Nous avons essayé cette année de travailler avec la notion de génération, et de voir dans quelle mesure ce concept pourrait être utile à l'écriture d'une histoire des "pionniers de l'intégration" en Suisse Romande. Il s'agissait de chercher à voir si la diversité des acteurs inclus dans la problématique de l'intégration (parents, professionnels, militants, "notables"...) rendait caduque l'emploi d'un concept comme celui de génération ou si, malgré cette diversité, les différents acteurs concernés avaient pu se sentir appartenir à une "génération". ...

Question à poser : Est-ce que vous vous êtes sentis appartenir à une génération? Ou alors, du fait d'une certaine diversité d'acteurs (et peut être aussi d'une différences d'âge) cette conscience vous est-elle plutôt étrangère ?

Voilà, j'ai fait le plus compact possible en restant sur la problématique qui m'avait été assignée. L'idée est de faire parler les gens et d'écouter ce qu'ils ont à dire sur le sujet pour constater si l'optique de la "génération" leur parle.

Pas forcément facile de faire simple. J'attends vos commentaires pour savoir si cette question a sa place parmi les autres ou si elle nécessite une reformulation.

Re: -- KLopez 23 novembre 2010 à 21:36 (CET)

Cette année, nous avons décidé de traiter la notion de génération, mais également celle de la désinstitutionnalisation que j'ai moi-même tenté d'approfondir. Je me suis aperçue que dans les années 70, un mouvement vers la désinstitutionnalisation a eu lieu parallèlement dans divers pays. J'ai également constaté que malgré certaines différences dans les buts visés, puisque l'objectif italien, et plus précisément de Basaglia, est d'offrir aux patients des institutions psychiatriques de nouvelles possibilités: comme l'expression libre, la mise en place d'activités et même la possibilité de retourner vivre en extérieur dans le meilleur des cas, alors que cette idée de faire sortir les malades des institutions ne semble pas réellement défendue en Angleterre. Les acteurs ayants agit pour l'amélioration des conditions de vie des malades psychiques semblent s'être inspirés des différents courants, comme Basaglia qui a voyagé dans le but de rapporter en Italie de nouvelles solutions pour ces personnes comme la médication.

Les changements apportés aux institutions semblent donc avoir été possibles grâce aux diverses générations et luttes que des pionniers ont menées afin de défendre leurs idéaux. N'ayant pas traité la désinstitutionnalisation en Suisse et les différents mouvement défendus par ses pionniers, j'aurais souhaité que vous partagiez avec nous ce qu'il se vivait, ainsi que les discussion ou débat, en Suisse part rapport à la désinstitutionnalisation à cette même époque?

-- AdelinaGjini 23 novembre 2010 à 20:57 (CET)

Le lundi passé j'avais mis la question et l'introduction qui allait avec dans l'angle "discussion répondre aux questions". Ce soir je ne les trouve plus, l'angle discussion a été retiré. Où est-ce que je peux les retrouver ?

Suite? MartineRuchat

J'attends avec impatience l'adjonction de certains éléments, comme prévu, après les entretiens qui ont eu lieu. Je vous propose de réécouter ces entretiens si vos notes ou mémoire sont insuffisantes pour faire ce travail. J'ai aussi besoin de savoir combien de temps est nécessaire pour finaliser l'article, afin de fixer une date pour l'évaluation: pensez-y.

=Re: Suite? MartineRuchat -- Eggerau2 13 décembre 2010 à 23:35 (CET)

Je me suis mise à mettre en relation par écrit ce qui a été discuté et appris durant les entretiens avec le travail de recherche et de questionnement effectué auparavant... En ce qui concerne la finalisation de l'article, j'imagine que lorsque tout le monde aura fini de metrtre ce qu'il avait envie de mettre, il faut qu'on puisse tous les 4 lire la même "dernière version" et dire si on sarrête là pour cette année... !! Je ne sais pas ce qu'en pensent les autres... J'attends leur avis ;-))!!

relecture

Je pense en effet qu'il faut une relecture afin de rendre le texte le plus cohérent possible. J'ai déplacé déjà un paragraphe et changé le titre du chapitre sur l'intégration. je le trouve d'ailleurs un peu long et ne saisis pas bien sa structure et l'apport essentiel à notre objet. Pourrait-on retravailler ce "morceau"? Par ailleurs, il faut revoir la structure afin que la succession des chapitres aient aussi une cohérence dans la démonstration qui veut être faite: pour l'heure, cela fait "aguillage de noix sur un bâton"...

Re: relecture -- Eggerau2 20 décembre 2010 à 18:31 (CET)

OK...je pensais que vu la thématique de l'intégration notamment en milieu ordinaire, de décloisonnement, de ressenti des divers acteurs dans les années 1970-80, (dans la mesure aussi ou il fallait poser des jalons sur ce thème et que pas grand chose n'existe concernant la Suisse)... c'était bien dans le sujet, mais je peux revoir tout ça...

-- KLopez 13 janvier 2011 à 11:33 (CET)

Bonjour et bonne année à tous!

Je n'ai pas pu venir au dernier cours de l'année 2010, mais comme vous avez dû le voir, j'ai introduit une partie sur la VRS pour créer un lien avec la table ronde.

Je viens de mettre en ligne la définition de la VRS, mais également celle de la désintitutionnalisation.

J'espère avoir répondu aux attentes! Je relirais le tout le 25 au plus tard.

Commentaire de DKS -- DSchneider 21 septembre 2011 à 11:46 (CEST)

 Je trouve que le résultat.

-- Natalina m 27 septembre 2011 à 21:21 (CEST)

J'ai trouvé le questionnement de génération très intéressant et le le terme d'unités générationnelles m'a semblé bien trouvé! Quand à l'intégration des élèves en situation de handicap, c'est un vaste domaine de questionnement que j'ai eu l'occasion de traiter durant mon mémoire de licence. Si l'intégration physique des élèves à besoins spécifiques dans un environnement ordinaire est vivement contestée parce qu'inefficace, l'intégration sociale ou scolaire voire même l'inclusion sont des choix qui impliquent un grand nombre de mises en place pour les équipes professionnelles et les familles. Dans ma pratique actuelle, je suis confrontée à des situations d'intégration scolaire qui me questionnent quand à leur rôle et à leur sens. Et là encore, les unités générationnelles au sain de l'équipe se retrouvent dans la confrontation des points de vue.

Quelques questions en suspens... -- Cécilia Zuccone 27 septembre 2011 à 23:39 (CEST)

• Le terme de "génération" défini comme une unité générationnelle pourrait-il être rapproché de l'idée d'une culture commune, où les acteurs de cette génération porteraient et véhiculeraient des idées communes construites dans des temps et lieux diférents?
• Je suis actuellement des cours sur l'intégration/inclusion et me rend compte de l'importance du retour au passé dans l'élaboration de nouveaux projets. Certains éléments ont déjà largement été questionnés, alors que d'autres sont toujours d'actualité et posent toujours autant de difficultés. Notamment le fait que la scolarisation en classe spéciale ou en classe ressource est parfois bénéfique pour répondre aux besoins spécifiques des élèves alors qu'on prône et que l'on souhaite une intégration en ordinaire très forte.
• A la suite de la lecture de cet article, je me demande alors comment s'est passé la désinstitutionnalisation dans les années 1960-70, heures où l'intégration faisait son apparition?

-- Ruchat 28 septembre 2011 à 08:48 (CEST)

Construire un objet de recherche? Merci pour vos remarques qui permettent déjà d'entrevoir un thème qui tournerait autour du lien (ou non lien?) entre désinstitutionalisation et intégration dans les années 60-70 (faut-il aller jusqu'à 1980?). Il s'agirait de poursuivre cette idée d'"unité générationnelle" et de comprendre s'il y a lieu de voir un clivage entre "adeptes" du spécialisé (soit lieu différent, méthode différente, apport de médicament, etc.) et ceux qui le seraient d'une vie "pour tout le monde, ordinaire visant la "normalisation" dont l'idéal serait l'absence d'institution, de contrainte, de spécialisé, voire même de médicament! Vision évidemment rousseauiste (l'homme est bon c'est la société – l'institution – qui le rend mauvais, malade, déviant...). Mais il faudrait aller plus loin: chercher les référence, comprendre les arguments des uns et des autres, chercher les logiques en oeuvres dans ces différentes unités générationelles qui peuvent entrer en confrontation de point de vue. Affaire à suivre...