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"La maltraitance infantile" comme manière de décrire les actes et comportements est apparu en 1960 à Denvers (USA, grâce à des médecins. La maltraitance infantile à emergé comme l'une des premières causes scociopolitiques défendues dans les années 60, mais elle ne devient préoccupante qu'à la fin de la décennie.

Cependant, durant l'époque victorienne la notion de "cruauté envers les enfants" est déjà présente. Cette croisade victorienne s'est imposée après les campagnes contre l'esclavage pour la législation du trvail des enfants. La première organisation formelle dans la lutte contre la cruauté envers les enfants apparait en 1874. Beaucoup d'exmples de ce que les victoriens appelaient "cruauté envers les enfants"correspond à ce que nous appelons aujourd'hui violences sexuelles sur enfants. Dans l'esprit victorien, la cruauté envers les enfants est une affaire de gens pauvres battant leurs enfants, alors que dans les années 60, il s'agit de quelque chose qui échappe à l'appartenance de classe. 
Les militants victoriens haïssaient la cruauté envers les enfants, mais n'en avaient pas peur. Le danger devient central dans les années 60. La cruauté envers les enfants n'était pas un problème médical, alors que les violences sur enfants furent médicalisées. Les "bourreaux d'enfants"sont déclarés malades, il faut les soigner.
Les tribunaux victoriens ne font pas de lien entre la cruauté envers les enfants et les agressions sexuelles. La cruauté envers les enfants diparait en 1910.

Pendant la période qui va de 1910 à 1960 il y a de nombreux problèmes chez les enfants et les adolescents. La moralité infantile et la délinquance juvénile prennent le devant de la scène au détriment de la cruauté envers les enfants.

Vers 1961-1962 arriva la maltraitance infantile, grâce aux médecins qui attirèrent l'attention sur les blessures infligées de façon répétée à de petits enfants. C'est en 1961 que les médecins du groupe de Denver annonce "le syndrome de l'enfants battu". Ce nouveau fléau annoncé dans les journaux englobe la cruauté envers les enfants.
Puis, arrive une nouvelle idée: les parents peuvent répéter un type de comportement qui a été pratiqué à leur encontre dans leur propre enfance. C'est l'idée de "transmission héréditaire", largement répendue par la presse qui y voit des adultes malades qui perpétraient des crimes. La maltraitance en vient à signifier trop de choses à la fois mais cela facilite l'emerence d'un front populaire.
Alors qu'en 1962 il n'y a aucune législation spécifique sur la dénonciation d'enfants battus dans le monde, une foulle de programmes sont créés dans le monde anglo-saxon et l'Europe.
Le syndrome de l'enfant battu s'applique d'abords aux bébés de 3 ans et moins. Puis, grâce aux photographies d'images d'innocents battus, on reconnait rapidement que les bébés ne sont pas les seules victimes.

Dans les années 60, la maltraitance et la négligence sont une atteinte et une négligence physique, le sexe n'étant qu'un aspect périphérique ou absent. ce furent les militantes féministes qui les associèrent publiquement en 1971. Dès que l'inceste et la maltraitance d'enfants furent conjoints, l'inceste ne fut plus uniquement défini par l'acte sexuel. Les caresses et les attouchements sexuels en firent tout autant partie.
Le concepte de maltraitance infantile intègre égalment les violences sexuelles entre frères et soeurs. Les jeux sexuels entre enfants, et encore plus si la différence d'âge est significative entre eux, ont alors été de plus en plus considérés comme un genre de maltraitance infantile, et donc d'inceste.

Pour beaucoup ces révélations furentlibératrices d'un énorme poids. Cependant, les parents sur le point de divorcer profitèrent des "mauvais attouchements" pour obtenir la grade de leurs enfants.Puis, arrive la question de savoir comment enseigner aux enfants à faire ladifférence entre "bons" et "mauvais" attouchements. Les enfants percevants les attouchements agréables comme étant bons et ceux qui font mal comme mauvais.

Dans notre société le tabou de l'inceste s'est répendu à condamner n'importe quel type d'excitation, de gratification ou d'implication sexuelle , d'un jour à l'autre. cela à cause des liens avec la maltraitance infantile qui couvrait une variété de plus en plus grande d'actes différents. Tout fut alors désigné sous le nom d'inceste. 
L'inceste en est venu à désigner n'importe quel type d'activité orienté sexuellement impliquant un adulte et un nfant au sein d'une même famille.
Puis arrivent les accusations.

La maltraitance infantile à été réduite à un jeu de nombre depuis le début. ce sont les spéculations sur le nombre d'enfants tués par coups et blessures de la part des parents ou personnes de garde qui lança le mouvement. 
La presse attira l'attention sur une "argumentation tragique", même s'il n'y avait pas de données sur une augementation quelle qu'elle soit. Néanmoin, après l'apparition de ces chiffres rien ne mentionna une augmentation quelle qu'elle fut.En effte, les chiffres sur les décès causés pas la maltraitance et la négligence sont constants.
Le passage de 7000 efants maltraités en 1967 à 1100000 en 1982 est dû au changement de définition. En 1967, il s'agissait de chiffres su la maltraitance physique et la négligence alors que dès 1975 vient s'ajouter ce qui entraverait le développement optimal auquel l'enfant aurait droit, ainsi que les violences sexuelles.

Dès 1976, le mouvement contre la maltraitance infantile s'organise internationnalament grâce à des revues et des sociétés internationnales. Des réunions sont organiées autour du monde. Cependant, la maltraitance infantile n'est pas perçue dans tous les pays comme un danger.
Cette tendance à l'expenson connu parfois des échecs, des étrangers pensant qu'il s'agissait d'un problème américain.
Le genre humain "maltraitance infantile", "enfant maltraité" et "bourreau d'enfants" est façonné par les USA puis exporté. 

En Grande Bretagne apparaît alors la technique connue sous le nom de "dilatation anale" pour reconnaitre les partiques et attaques sexuelles anales chez l'adulte, qui sera appliquée aux enfants dès 1986.
Les médecins tranfèrent la dilatation anale de pratique à diagnostic clinique, ce qui poussa à retirer les enfants à la garde de leurs parents d'après ce simle diagnostic, sans enquête. Cela montre bien combien le concept de maltraitance infantile manque d'objectivité. il n'y a pas assez de critères publiquement agéés pour dir si oui ou non un enfant est maltraité.
La dilatation anale est donc apparue comme une solution magique, d'où une séparation trop systématique des enfants à ceux ui en avaient la garde.

Cependant, certaines métaphores comme celle de "l'enfant nutritionnellement maltraité" ont été abandonnés car elles n'étaient pas nourries par les passions profondes de l'innocence, l'inceste et l'effondrement de la famille. Il ne s'agissait que de quelques millions d'enfants affamés sans importance!

En 1984, la Chambre américaine des représentants vote un amendement concerant la définition de la maltraitance infantile, en y incluant tout refus de soins aux nourrissons nés avec des handicaps mettant leur vie en danger.

La maltraitance infantile est un genre assez nouveau. Ce qui aujourd'hui est classé dans cette catégorie ne l'était pas par le passé. Par exmple, au 18è. siècle un homme qui épousait une jeune fille de 13 ans n'était en aucun cas délinquant sexuel, puisque jusqu'au 19è. seiècle l'âge du consentement était de 12-13 ans. L'infanticide en Grèce ancienne est aujourd'hui considéré comme une maltraitance particulièrement horrible.
L'idée de maltraitance infantile est trop prise dans une toile de spéculations causale et morale actuelles pour qu'elles prennent véritablement sens dans les descriptions du passé éloigné e dénués de discernement.

Le genre "maltraitance infantile" à créé un monde de différence. A partir de 1985 il y eu des villes aux USA dans lesquelles les militants anti-maltraitance avaient si bien réussi qu'on conseillait aux hommes de ne jamais toucher un enfant en public!
Une des plus grandes conséquences de la mise en évidence des violences sexuelles dans la familles après 1975 est que beaucoup de femmes et un aasez grand nombre se considèrent maintenant comme ayant été victimes de violences sexuelles. Nombreux se sentent soulagés de pouvoir enfin parler de leurs expériences, alors que d'autres s'indignent de devoir se souvenir de ce qui avait été refoulé. 
Mais il y a également le phénomème qui consiste à considérer comme abusif des évènements qui n'ont pas été directement et consciemment vécus comme tels à l'époque.

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