Pääbo-17/8 chap17
Chapitre n°17, Premiers éclairages, Andrea et Etienne
Le chapitre en deux mots
Dans ce chapitre, Pääbo fait part d'une nouvelle méthode d'analyse de l'ADN, qui a pour but de déterminer le pourcentage de contamination humaine. Pour ce faire, le consortium décide de s'appuyer sur la présence d'ADN de chromosome X; s'il y a de l'ADN de chromosome Y, cela signifie que l'os a été contaminé par un homme. La limite de cette méthode est rapidement atteinte, puisqu'elle ne permet pas de détecter une éventuelle contamination féminine.
Il met ensuite en lumière le degré de ressemblance entre les Néandertaliens et les grands singes et le lien de parenté entre les humains actuels et les hommes de Néandertal, qui sont apparentés de loin.
Finalement, Pääbo exprime son intention de savoir s'il y a eu ou non un croisement entre les Néandertaliens et les humains modernes. Les scientifiques décident de séquencer le génome de 5 humains modernes, de diverses régions, pour pouvoir ainsi déterminer si un croisement a eu lieu, quitte à remettre en question les théories des paléontologues.
Mots clés
-Discussions
-Contamination
-Méthodes d'analyse de l'ADN
-Projet de séquençage
Aspects
Raisonnement
Pääbo et son équipe sont désormais certains que de l'ADN néandertalien se trouve en infime partie dans chacun des humains modernes. La question qui en découle est la suivante: cette présence d'ADN néandertalien est-elle observable chez des humains modernes où les paléontologues ne soupçonnent pas de croisement entre Néandertaliens et humains modernes ?
Technologies de laboratoire
Pour répondre à sa question de recherche, l'équipe décide de séquencer le génome de 5 individus de différentes régions du monde: un individu européen, de Papouasie-Nouvelle-Guinée, d'Afrique occidentale, d'Afrique australe et de Chine.
Nature des sciences
Questions
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