Groupe 3 4BIOS02 Gds Singes

De biorousso
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L’orang-outan

L'absence de poil ainsi qu'une augmentation des glandes sudoripares aurait conféré au hominidé un avantage évolutif non négligeable. Face au contrainte de l'environnement qui se serait asséché suite à un changement climatique, les hominidés ont du changer de régime alimentaire(car la végétation n'aurait plus été suffisante pour un hominidé)et serait devenu carnassier. La chasse nécessite de plus grand déplacement, et dans un milieu chaud et sec, un activité intense (tel la chasse) mène rapidement à une hyperthermie puis à la mort pour des animaux à sang chaud.

Résumé de l'article

Les poils constituent un aspect important de la diversification entre les être humains et nos proches cousins les grands singes. La différence entre le singe et l'être humain est la quantité de poils ainsi que la répartition des zones pileuses sur le corps. L'être humain est un primate qui possède une peau presque glabre, ce qui signifie une faible présence de poils sur les couches externes de la peau.
L'histoire de cette perte de poils s'opère notamment à l'aide des fossiles analysés qui contiennent des éléments de l'évolution de la peau humaine. Les résultats issus de la génétique et de la physiologie permettent à la fois l'étude de cette transformation chez l'être humains ainsi que la période à laquelle elle a eu lieu.
Les poils ont divers rôles comme l'isolation thermique, la protection contre l'abrasion, l'humidité, les rayons UV et les microorganismes étrangers. En outre, ils sont utiles pour le camouflage ainsi que pour la communication. Cependant, ces avantages se perdent lorsque la peau ne possède pas suffisamment de poils ou lorsque ces derniers sont fins. Chez ces organismes (souterrains et marins), la nage et la plongée sont facilitées à l'aide de leur peau lisse. De plus, ils sont dotés d'une couche de graisse qui substitue l'isolation thermique.