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==Le chapitre en deux mots==
==Le chapitre en deux mots==
Le chapitre parle d'une découverte faite par un des collègues de Pääbo, Johannes, sur des os trouvés à Denisova, Sibérie. L'extraction de l'ADN a permis de constater la présence de 30443 ADN<sub>mt</sub> permettant de faire des comparaisons entre ceux-ci et les ADNmt des Néandertalien et des humains modernes. Les résultats de ces procédures leur ont fait conclure que le l'os n'appartenait à aucun des deux êtres par la quantité de différences de positions de nucléotides. Les chercheurs essayent alors de publier un article sur cette découverte tout en nommant la nouvelle espèce de <i>homo altaiensis</i>. La revue scientifique <i>Nature</i>, responsable de la publication, leur conseille de ne pas nommer l'espèce sans être sûr de son existence. Ils finissent par reformuler leur article sans utiliser de nom taxonomique.
Le chapitre parle d'une découverte faite par un des collègues de Pääbo, Johannes, sur des os trouvés à Denisova, en Sibérie. L'extraction de l'ADN a permis de constater la présence de 30443 ADN<sub>mt</sub> permettant de faire des comparaisons entre ceux-ci et les ADNmt des Néandertalien et des humains modernes. Les résultats de ces procédures leur ont fait conclure que le l'os n'appartenait à aucun des deux êtres par la quantité de différences de positions de nucléotides. Les chercheurs essayent alors de publier un article sur cette découverte tout en nommant la nouvelle espèce de <i>homo altaiensis</i>. La revue scientifique <i>Nature</i>, responsable de la publication, leur conseille de ne pas nommer l'espèce sans être sûr de son existence. Ils finissent par reformuler leur article sans utiliser de nom taxonomique.


==Mots clés==
==Mots clés==

Version du 1 décembre 2017 à 15:35

Chapitre n°22, Un doigt bien singulier, Génio et Daniel A

Le chapitre en deux mots

Le chapitre parle d'une découverte faite par un des collègues de Pääbo, Johannes, sur des os trouvés à Denisova, en Sibérie. L'extraction de l'ADN a permis de constater la présence de 30443 ADNmt permettant de faire des comparaisons entre ceux-ci et les ADNmt des Néandertalien et des humains modernes. Les résultats de ces procédures leur ont fait conclure que le l'os n'appartenait à aucun des deux êtres par la quantité de différences de positions de nucléotides. Les chercheurs essayent alors de publier un article sur cette découverte tout en nommant la nouvelle espèce de homo altaiensis. La revue scientifique Nature, responsable de la publication, leur conseille de ne pas nommer l'espèce sans être sûr de son existence. Ils finissent par reformuler leur article sans utiliser de nom taxonomique.

Mots clés

  • Os
  • ADNmt
  • Néandertalien
  • Humains modernes
  • Homo altaiensis
  • Publication

Aspects

Raisonnement

Des comparaisons entre les positions nucléotidiques ont permis de constater qu'il y avait 385 positions qui différaient entre l'ADN de l'os et de l'humain moderne, alors que les Néandertaliens se distinguaient de 202 positions. Cela a permis de conclure que ce n'était ni un humain moderne ni un Néandertalien.

Technologies de laboratoire

Il n'y a pas

Nature des sciences

Il n'y a pas

Questions