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On distingue généralement quatre stades de comas:<br>
On distingue généralement quatre stades de comas:<br>
 
*Coma stade 1 ou stade de l'obnubilation. Le patient est capable de répondre à des stimuli douloureux tels que le pincement en repoussant par exemple la main du médecin, voire de communiquer de manière simple (grognements).<br>
    * coma stade 1 ou stade de l'obnubilation. Le patient est capable de répondre à des stimuli douloureux tels que le pincement en repoussant par exemple la main du médecin, voire de communiquer de manière simple (grognements).<br>
*Coma stade 2 : c'est le stade de la disparition de la capacité d'éveil du sujet. La réaction aux stimuli douloureux peut encore être présente mais n'est pas appropriée et la communication avec le malade n'est pas possible.<br>
 
*Coma stade 3 : c'est le coma profond ou coma carus. Il n'y a plus aucune réaction aux stimuli douloureux. Des troubles végétatifs peuvent apparaître à ce stade.<br>
    * Coma stade 2 : c'est le stade de la disparition de la capacité d'éveil du sujet. La réaction aux stimuli douloureux peut encore être présente mais n'est pas appropriée et la communication avec le malade n'est pas possible.<br>
*Coma stade 4 ou coma dépassé : la vie n'est maintenue que par des moyens artificiels.<br>
 
    * Coma stade 3 : c'est le coma profond ou coma carus. Il n'y a plus aucune réaction aux stimuli douloureux. Des troubles végétatifs peuvent apparaître à ce stade.<br>
 
    * Coma stade 4 ou coma dépassé : la vie n'est maintenue que par des moyens artificiels.<br>
  [[Utilisateur:VincentB|VincentB]] 10 octobre 2006 à 10:41 (MEST)
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Version du 10 octobre 2006 à 09:46

VincentB 10 octobre 2006 à 10:18 (MEST)

Qu'est-ce qu'une pathologie et plus précisemment au niveau du SN?

En rapport avec la maladie la pathologie est à la fois une science qui a pour objet l'étude des maladies et un synonyme de maladie. Elle s'applique à toutes les manifestations physiologiques ou psychiques hors des normes de la santé.


YeuwaiH 2 octobre 2006 à 16:48 (MEST)

Les maladies du système nerveux central se divisent en deux grandes catégories : les maladies associées à des anomalies ou des lésions du tissus nerveux et les maladies dépourvues de signes somatiques ou moléculaires. Les premières sont les maladies neurologiques, les secondes les maladies psychiatriques. Cette classification simpliste induit nécessairement un flou dans la frontière entre ces 2 grandes familles de pathologie, d’autant plus que cette classification est en évolution permanente selon les avancées des recherches en neurobiologie. Une maladie psychiatrique pouvant changer de catégorie avec la découverte d’anomalies cellulaires ou géniques expliquant au moins en partie sa physiopathologie. Inversement une maladie neurologique peut développer des complications d’ordre psychiatrique. Aussi, cette classification « académique » peut être remise en question à tout instant. Elle doit être abordée avec quelques précautions et sans à priori dogmatique. Une autre manière de subdiviser les maladies du SNC serait de les définir sur une base psycho-cognitive plutôt que anatomo-pathologique. Dans ce cadre, lorsque la pensée et/ou l’humeur du malade est directement affecté alors la pathologie concernera la sphère psychiatrique, qu’il y ait ou non des lésions anatomiques et/ou des anomalies génétiques impliquées dans la physiopathologie. Quoiqu’il en soit ces troubles neuropsychiatriques sont un important problème de santé publique comme l’attestent certains chiffres : 70 millions de personnes en souffrent aux USA et plus d’un million de français sont soignés chaque année pour de tels troubles.

Les maladies neurodégénératives, notamment la maladie d'Alzheimer, sont caractérisées par un vieillissement prématuré et selectif des cellules nerveuses. Leur fréquence augmentant avec l'âge et le vieillissement de la population allant croissant, elles posent un grave problème de santé publique.

La sclérose en plaques et les maladies inflammatoires du système nerveux débutent chez l'adulte jeune et bouleversent sa vie future. Les accidents vasculaires cérébraux, qu'il s'agisse d'hémorragie ou surtout d'infarctus, constituent la première cause de handicap moteur. L'épilepsie, enfin, qui touche les jeunes, est traitée avec efficacité par les médicaments, mais pas dans tous les cas

http://schwann.free.fr/neuropathologie.html

http://fr.wikipedia.org/wiki/Neurologie

La sclérose en plaques, maladie neurologique en trois points.
   *
     SEP, maladie du système nerveux central.
     La SEP atteint exclusivement le système nerveux central (SNC). Il est composé du cerveau et de la moelle épinière. La moelle épinière est un long cordon de substance nerveuse, prolongeant le cerveau par le bas, et située à l'intérieur du canal vertébral le long des vertèbres du dos. De chaque côté de la moelle épinière et étagés tout au long de celle-ci naissent les nerfs qui se distribuent aux différents organes (vessie, peau.) et aux membres. D'une façon générale, les nerfs (à l'exception du nerf optique très proche du cerveau) ne sont pas atteints au cours de la SEP, qui touche seulement le SNC composé du cerveau et de la moelle épinière.
     Le cerveau est un grand ordinateur qui reçoit, traite et envoie sans cesse des informations à notre corps via la moelle épinière et les nerfs : il contrôle nos mouvements, volontaires ou involontaires, et interprète les sensations perçues (toucher, odorat, ouïe, goût).Par exemple, le cerveau ordonne de saisir un plat dans le four, la main va vers le plat ; le plat est trop chaud (= toucher = chaleur = danger) ; l'information remonte au cerveau qui analyse la situation et « donne l'ordre » à la main de se retirer, ceci en quelques millièmes de secondes.    
   * Comprendre la maladie-Definition
     SEP, maladie démyélinisante 
     Au niveau microscopique, le tissu nerveux est composé de cellules, appelées neurones, qui véhiculent à travers le cerveau, la moelle épinière et les nerfs, l'information sous forme d'impulsions électriques : c'est l'influx nerveux. Les neurones sont les principales cellules du système nerveux. Ils comportent un corps cellulaire où se situe le noyau, et surtout un long prolongement nommé axone , à travers lequel circule l'influx nerveux. Ces axones sont entourés d'une gaine blanchâtre, la myéline , chargée de nourrir l'axone et d'assurer une conduction rapide de l'influx nerveux. Ces axones, assemblés les uns avec les autres, forment des câbles de substance blanche, et sont comparables à un réseau de fils électriques qui transportent l'influx nerveux.
     Si la gaine myélinique des axones du cerveau ou de la moelle épinière est atteinte (on parle de démyélinisation ) l'influx nerveux est partiellement ou totalement ralenti et l'information n'est plus transportée normalement jusqu'aux nerfs. C'est ce qui se passe au cours de la SEP.
   *
     SEP, maladie auto-immune
     Le système immunitaire est le système de défense de notre corps contre tous les agents étrangers. Il est constitué de cellules dites immunocompétentes qui se comportent en véritables soldats pour nous défendre contre les virus et les divers microbes. Différentes populations cellulaires sont impliquées dans cette lutte contre les agents étrangers, que ce soit dans la circulation sanguine (globules blancs) ou au sein des tissus. Citons les monocytes, les macrophages, les lymphocytes, chaque type cellulaire étant spécialisé dans une étape du processus d'élimination de l'agent étranger. En fait, cela se passe comme si un soldat, après avoir reconnu un ennemi, donnait l'ordre à d'autres soldats de l'éliminer. Et ces mêmes soldats gardent en mémoire le nom de leur ennemi. C'est ainsi que, même des années plus tard, l'ennemi peut être très rapidement reconnu et alors éliminé.
     L'inflammation est l'ensemble des phénomènes réactionnels précoces se produisant localement au niveau d'une agression extérieure et impliquant les cellules immunocompétentes. C'est un processus normal, classique, de défense de l'organisme contre une agression extérieure, qu'il s'agisse d'un agent étranger (microbe, virus) ou d'un traumatisme (brûlure, coupure.) Un exemple est représenté par l'inflammation locale cutanée qui se développe autour d'une piqûre d'insecte (rougeur, odème, douleur, sensation de chaleur). Lorsque l'agression extérieure aura été contenue et limitée par les phénomènes inflammatoires, les processus de réparation, de cicatrisation vont pouvoir prendre le relais.
     La SEP résulte d'une déviation du système immunitaire : les cellules immunocompétentes habituellement vouées à lutter contre les agents étrangers, attaquent la myéline des axones du cerveau et de la moelle épinière, comme si la myéline était reconnue comme agent étranger. C'est la raison pour laquelle on parle de maladie auto-immune , le système immunitaire s'attaquant au « soi ». Cela se traduit localement par une zone d'inflammation avec une « démyélinisation » des fibres nerveuses. La myéline étant nécessaire à une conduction normale et rapide de l'influx nerveux, c'est comme si un câble électrique était interrompu ou altéré à un endroit, le courant ne passant alors plus ou pas assez vite.

Conséquences de l'attaque auto-immune de la myéline du système nerveux central

Chaque attaque contre la gaine de myéline, se traduit par une inflammation et porte atteinte aux fibres nerveuses : il y aura donc une difficulté de conduction de l'influx nerveux. Une telle agression contre la myéline des axones laisse des lésions ou des cicatrices . On peut considérer l'attaque de la myéline comme une blessure qui laisse place à une cicatrice. Evidemment ces « cicatrices » sont situées à l'intérieur du cerveau et/ou de la moelle épinière et ne sont visibles qu'au moyen d'un examen complémentaire aidant au diagnostic de la SEP : l'IRM (Imagerie par Résonance Magnétique). Le retour à l'état normal est fréquent ; l'inflammation diminue et des mécanismes de réparation conduisant à une remyélinisation sont initiés. Mais, au fil du temps, si les attaques inflammatoires sont sévères et se répètent, les mécanismes de réparation sont dépassés empêchant un retour complet à l'état normal, les cicatrices se multiplient et la conduction de l'influx nerveux s'en trouve perturbée de façon irréversible, les axones perdent leur fonctionnement normal.

En fonction de l'endroit où sont situées ces lésions (cerveau, moelle épinière), les conséquences seront différentes et perturberont le fonctionnement des différentes parties du corps. http://www.biogenidec.fr/sep-sclerose-en-plaques/comprendre_definition.php http://www.alzheimer-net.ch/krankheit/causes.html http://www.alzheimer-adna.com/Clinic/demence.html http://www.alz.ch/f/html/alzheimer+28.html

Quels sont les différentes pathologies du système nerveux?

Les pathologies du système nerveux peuvent être classer dans différentes catégories. Nous avons chosi de définir quelques pathologies dans chacune de ces catégories. Biensûr, il en existe bien plus.

Les pathologies du cerveau

Maladie de Parkinson

Maladie d'Alzheimer

Coma

Le coma est l’abolition de la vie de relation (conscience, sensibilité) tandis que les fonctions végétatives sont plus ou moins bien conservés.

On distingue généralement quatre stades de comas:

  • Coma stade 1 ou stade de l'obnubilation. Le patient est capable de répondre à des stimuli douloureux tels que le pincement en repoussant par exemple la main du médecin, voire de communiquer de manière simple (grognements).
  • Coma stade 2 : c'est le stade de la disparition de la capacité d'éveil du sujet. La réaction aux stimuli douloureux peut encore être présente mais n'est pas appropriée et la communication avec le malade n'est pas possible.
  • Coma stade 3 : c'est le coma profond ou coma carus. Il n'y a plus aucune réaction aux stimuli douloureux. Des troubles végétatifs peuvent apparaître à ce stade.
  • Coma stade 4 ou coma dépassé : la vie n'est maintenue que par des moyens artificiels.
VincentB 10 octobre 2006 à 10:41 (MEST)

Épilepsie:

L'épilepsie est une maladie du système nerveux. La crise d'épilepsie résulte d'un dérèglement passager de certaines fonctions cérébrales. II existe normalement un équilibre entre les milliards de neurones excitateurs et inhibiteurs qui peuplent le cerveau. Or, la rupture de cet équilibre a pour effet de déclencher la décharge simultanée de toute une population de neurones.
L'épilepsie touche 0,5 à 1 % de la population. En Suisse, environ 50'000 adultes et 10'000 enfants souffrent de cette maladie. Chacun d'entre nous peut être frappé d'épilepsie, indépendamment de son âge, de son origine sociale ou de ses antécédents familiaux. L'épilepsie ne peut pas toujours être guérie. Dans certaines formes d'épilepsie, il est possible de prévenir la réapparition des crises chez 90% des malades; dans d'autres formes, seulement dans un tiers des cas environ. Près de deux tiers des épileptiques mènent une vie normale, mais ils doivent prendre leurs médicaments journellement et être suivis par un médecin.
Les causes de l'épilepsie sont des plus diverses : p. ex. atteinte cérébrale consécutive à un traumatisme obstétrical ou à une attaque, lésions cérébrales, tumeur, maladie vasculaire, anomalies métaboliques ou intoxications. L'épilepsie n'est héréditaire que dans un faible pourcentage de cas. A peu près 10% des enfants prédisposés sur le plan héréditaire deviennent épileptiques. Mais dans la moitié des cas, les causes de la maladie restent inconnues.
Les crises d'épilepsie se divisent en deux grands groupes : les crises généralisées et les crises partielles. On parle de crise généralisée lorsque les décharges neuronales se produisent d'emblée dans l'ensemble du cerveau. Si les décharges ne prennent naissance que dans une zone cérébrale bien délimitée (foyer), on parle de crise partielle ou focale. Et si les décharges se propagent ensuite à tout le cerveau, on parle de crise secondairement généralisée.

Conséquences possibles de l'épilepsie:
Dans le domaine de l'éducation, iI se peut, mais ce n'est pas toujours le cas, que l'épilepsie soit à l'origine de difficultés scolaires et de troubles du comportement (inattention, distraction, irritation, entêtement, mauvaise humeur, fatigue, manque de concentration).
Dans le domaine privé, la nécessité d'avoir une vie bien réglée (p.ex. dormir assez longtemps, ne pas boire d'alcool) restreint souvent la vie sociale des épileptiques. En outre, l'épilepsie peut poser des problèmes en ce qui concerne le service militaire, le sport, le permis de conduire, le mariage, le planning familial et la possibilité d'avoir des enfants.
Dans le domaine professionnel , les épileptiques ont le droit de choisir librement une profession qui correspond à leurs aptitudes et préférences. La loi sur la formation professionnelle ne fait aucune restriction à cet égard. Cependant, il n'existe pas de recommandations valables pour tout le monde. C'est la raison pour laquelle il y a lieu d'examiner les possibilités professionnelles cas par cas.

http://www.prevention.ch/epilepsie.htm LaurentM 5 octobre 2006 à 11:29 (MEST)

Migraine

====Sclérose en plaques==== (c'est aussi une pathologie médullaire) Je le fait moi (Yeu-Wai)

Les pathologies des méninges

Méningite

Une méningite est une inflammation des méninges (=les trois membranes qui recouvrent le cerveau et la moelle épinière). Une de leurs causes les plus fréquentes est représentée par des infections provoquées par des virus ou des bactéries. Selon que le processus inflammatoire touche le cerveau seul et/ou atteint la moelle épinière, on parle de “méningite cérébrale”, “cérébro-spinale” ou “spinale”.
De très nombreux virus déterminent des méningites, mais l’atteinte des méninges est souvent méconnue. Parmi les virus en cause : le virus des oreillons (ou ourlien), les virus coxsackie, ECHO, le virus de l’herpès... Ces méningites virales sont dans l’immense majorité des cas peu graves et disparaîtront en quelques jours.
Plus rares (20 à 30 % des cas), mais plus embêtantes sont les méningites bactériennes car certaines d’entre elles peuvent provoquer des séquelles en induisant des lésions cérébrales. L’infection des méninges peut alors se produire à partir d’un foyer ORL ou lorsque les bactéries ont diffusé dans l’organisme. Les germes les plus fréquemment impliqués sont le pneumocoque (500 méningites par an en France).

http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/meningite/sa_4560_meningite_peur.htm LaurentM 10 octobre 2006 à 10:18 (MEST)

Les pathologies du système nerveux périphérique

Syndrome de Guillain-Barré :

Le syndrome de Guillain-Barré-Strohl est une maladie rare auto-immune inflammatoire du système nerveux périphérique. Ses caractéristiques sont :
- Faiblesse.
- Paralysie.
- Sensations anormales.
- Phénomène sporadique.
- Imprévisible et survient à tout age indépendamment du sexe.
Sa gravité peut varier considérablement d'un cas moyen pouvant même ne pas être porté à la connaissance d'un médecin, à celui d'une maladie dévastatrice liée à une paralysie presque totale plaçant le patient entre la vie et la mort. Etant une maladie rare(~90'000 cas par an), peut de médecins savent diagnostiquer cette maladie. L’origine du syndrome n’est pas connue. Un certain nombre de manifestations semblent déclencher la maladie. De nombreux cas surviennent quelques jours, voire quelques semaines après une infection virale tel qu’un banal refroidissement, douleurs gastriques et intestinales, ou maux de gorges. Toutefois, le(s) mécanisme(s) par le(s)quel(s) ces micro-organismes peuvent provoquer le syndrome de Guillain-Barré n'a(ont) pas encore été déterminé(s). Certains cas sont apparus simultanément à une maladie rare des globules rouges, la porphyrie. Certains cas similaires au syndrome de Guillain-Barré sont survenus après des événements apparemment non rapportés tels que la chirurgie, les piqûres d'insectes et diverses injections. Certains cas sont apparus durant l'hiver 1976-77 chez des personnes qui avaient été vaccinées contre la grippe porcine. On ne sait pas clairement pourquoi seules certaines personnes développent le syndrome. Présenteraient-elles une prédisposition génétique unique ? Cette éventualité ne semble pas vraisemblable étant donné que le syndrome de Guillain-Barré ne se manifeste pas au sein d'une même famille.
Les recherches effectuées à ce jour indiquent qu'indépendamment de l'agent responsable, les nerfs du patient atteint du syndrome de Guillain-Barré sont attaqués par son propre système immunitaire contre certains anticorps de la maladie et par les globules blancs. À la suite de cette attaque auto-immunitaire, la gaine du nerf (la myéline) et parfois aussi la partie couverte du nerf assurant la conduction (l'axone) sont endommagées et les signaux sont ralentis ou modifiés. Des sensations anormales et une faiblesse en résultent.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_de_Guillain-Barr%C3%A9 VincentB 5 octobre 2006 à 11:24 (MEST)


Les pathologies des nerfs craniens

Paralysie faciale:

La paralysie faciale est une atteinte du nerf de la motricité des muscles de la face (nerf facial). Selon l'endroit où le nerf est atteint, il faut différencier deux types de paralysie faciale :

-Paralysie faciale complète (périphérique)
-Paralysie faciale centrale.
Je completerais moi même...

LaurentM 6 octobre 2006 à 18:02 (MEST)

Les pathologies médullaires

====Sclérose en plaques==== (voir dans "pathlogies du cerveau")

Poliomyélite

Les pathologies musculaires

Myopathie

--LaurentM 5 octobre 2006 à 10:56 (MEST)

Quels sont les symtomes comportementaux de la maladie d'Alzeimer?

Les symtomes d'Alzheimer sont progressifs. Le sujet de la maladie commence par des oublis légers comme l'oubli de certains événements, l'oubli de certains noms. Progessivement, la maladie s'agrave. Le sujet perd des notions importantes comme le cycle jour/nuit, la capacité de manger, boire ou même la parole. La conversation devient difficile car le malade oublie ce qu'il veut dire. Le malade devient très impulsif car ses actes sont oubliés en un instant alors le malade n'est pas capable d'évaluer leur importance.
La phase de symtomes graves peuvent précéder une phrase de dépression, souvent lié au bouleversement dû à la perte des capacité essentiels.
(http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/alzheimer/484-alzheimer-pathologie.htm)
TomD 5 octobre 2006 à 10:32 (MEST)

Quels sont les symtomes comportementaux de la maladie de Parkinson?

La maladie de Parkinson touche principalement l'homme vers 50 ans. Ses symtômes sont variés. On observe des tremblements des membres, la rigidité musculaire et l'akinésie (lenteur de mouvement) chez le malade. Accompagné à cela, on peut observer des amaigrissement, le trouble du sommeil, de la parole et de l'écriture. Le malade peut avoir aussi des pertes de mémoires et, dans un stade plus avancé, une confusions mentale.
Une partie des malades peut être victime d'une dépression.
(http://www.caducee.net/DossierSpecialises/neurologie/parkinson.asp) TomD 5 octobre 2006 à 10:40 (MEST)

Quel est la partie du cerveau touchée par la maladie d'Alzeimer?

(neuroscience)
TomD 5 octobre 2006 à 11:22 (MEST)

Quelle partie du neurone est touchée par la maladie d'Alzheimer?

La maladie d'Alzheimer est une dégénération des neurites (axones et dendrites) des neurones. Ces neurites ont une structure organisée, ils sont organisés sous forme d'un cytosquelette. Ce cytosquelette est formé à partir des microtubules ou microfibrilles. Ces microtubules sont crées et organisés par une protéine, la potéine tau. Cette protéine, l'acteur principale dans la création du cytosquelette, crée des microtubules à partir de la tubuline et elle maintient les microtubules droits et parallèles pour assurer le bon fonctionnement du neurite.
Lorsque cette protéine n'assure plus sa fonction, dans le cas de la maladie d'Alzheimer, la protéine se détache dus microtubules pou s'accumuler dans le soma, la structure et le fonctionnement du neurite est alors pertubé. Cette perturbation provoque des difficulté ou l'impossibilité dans la communication neuronale.
(neuroscience)
TomD 5 octobre 2006 à 11:26 (MEST)