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==Pourquoi certaines molécules ont-elles une odeur tandis que d'autres non?==
==Pourquoi certaines molécules ont-elles une odeur tandis que d'autres non?==


Comme on l'a vu, une molécule est odorante lorsqu'elle réagit avec les protéines de surface des cils des cellules olfactives et que celles-ci réagissent en envoyant un signal électrique au cerveau. Pour qu'un signal électrique soit créé, un nombre minimal de molécules doivent réagir avec les cils olfactifs. L'odeur d'une substance dépend donc de deux de ses propriétés physiques: premièrement de sa solubilité dans le mucus et deuxièmement de sa tension de vapeur.
Comme on l'a vu, une molécule est odorante lorsqu'elle réagit avec les protéines de surface des cils des cellules olfactives et que celles-ci réagissent en envoyant un signal électrique au cerveau. Pour qu'un signal électrique soit créé, un nombre minimal de molécules doit réagir avec les cils olfactifs. L'odeur d'une substance dépend donc de deux de ses propriétés physiques: premièrement de sa solubilité dans le mucus et deuxièmement de sa tension de vapeur. Il faut noter qu'il est impossible d'établir clairement un lien entre la structue chimique d'une molécule et son odeur. Deux molécules très différente au point de vue de leur structure peuvent avoir une odeur très proche, tandis que d'autres de structures très proches peuvent avoir des odeurs très différentes.


Pour rejoindre les cils des cellules olfactives, les molécules doivent en effet pouvoir se dissoudre facilemement dans la couche de mucus qui recouvre l'épithélium olfactif. Il est difficile de calculer la solubilité d'une molécule dans une pareille substance, car le mucus est consistué d'eau, de sels minéraux, de sucres et de protéines. De plus, certaines molécules dont la solubilité dans l'eau est extrêmement faibles (molécules dites hydrophobes) sont parfois très odorantes et donc traversent quand même la couche de mucus. Il semblerait en fait que certaines protéines du mucus (les OBP- Odorant Binding Proteins) joueraient le rôle de "passeurs" en se liant avec les molécules odorantes, ce qui permettraient à ces dernières de traverser quand même le mucus.
Pour rejoindre les cils des cellules olfactives, les molécules doivent en effet pouvoir se dissoudre facilemement dans la couche de mucus qui recouvre l'épithélium olfactif. Il est difficile de calculer la solubilité d'une molécule dans une pareille substance, car le mucus est consistué d'eau, de sels minéraux, de sucres et de protéines. De plus, certaines molécules dont la solubilité dans l'eau est extrêmement faibles (molécules dites hydrophobes) sont parfois très odorantes et donc traversent quand même la couche de mucus. Il semblerait en fait que certaines protéines du mucus (les OBP- Odorant Binding Proteins) joueraient le rôle de "passeurs" en se liant avec les molécules odorantes, ce qui permettraient à ces dernières de traverser quand même le mucus.


La tension de vapeur d'une substance "est la pression partielle maximale qu'on peut avoir en phase gazeuse au dessus du solide ou du liquide, pour une substance donnée à une température donnée". Elle est donc plus facile à déterminer que la solubilité dans le mucus. Plus la tension de vapeur d'une substance est grande, plus cette dernière sera odorante. En général, plus une molécule est petite, plus sa tension vapeur est important (cependant les petite molécules ont souvent une solubilité très faible), et plus le point d'ébulition d'une molécule est élevé, plus sa tension de vapeur est faible. Les molécules dont la masse moléculaire est supérieure à 300 sont inodores. De plus lorsque la température augmente la tension de vapeur augmente également, par conséquent plus la température d'une molécule (et donc de l'air) est élevée, plus elle sera odorante.
La tension de vapeur d'une substance "est la pression partielle maximale qu'on peut avoir en phase gazeuse au dessus du solide ou du liquide, pour une substance donnée à une température donnée". Elle est donc plus facile à déterminer que la solubilité dans le mucus. Plus la tension de vapeur d'une substance est grande, plus cette dernière sera odorante. En général, plus une molécule est petite, plus sa tension vapeur est important (cependant les petite molécules ont souvent une solubilité très faible), et plus le point d'ébulition d'une molécule est élevé, plus sa tension de vapeur est faible. Les molécules dont la masse moléculaire est supérieure à 300 sont inodores. De plus, lorsque la température augmente la tension de vapeur augmente également, par conséquent plus la température de l'air est élevée, plus le nombre de molécules odorantes dans l'air augmente et plus la substance est donc odorante.
 
 


Source: http://olfac.univ-lyon1.fr/sysolf/molecule/physico/molecule-physico-frame.htm
Source: http://olfac.univ-lyon1.fr/sysolf/molecule/physico/molecule-physico-frame.htm

Version du 23 septembre 2006 à 15:38

Organe sensoriel et stimulus : comment générer une sensation?

http://olfac.univ-lyon1.fr/sysolf/bulbe/glomerule/bulbe-glom-frame.htm http://olfac.univ-lyon1.fr/sysolf/bulbe/neurophysio/bulbe-neuro-frame.htm http://olfac.univ-lyon1.fr/sysolf/lso-frame.htm Pierre.brawand 12 septembre 2006 à 15:51 (MEST)


merci de répondre ici... Pierre.brawand 17 septembre 2006 à 15:42 (MEST)

Quelle est la nature du stimulus?

Ce sont des molécules chimiques présentes dans l'air. La molécule doit dabord être dissoute dans un liquide afin de rencontrer et stimuler les cellules réceptrices spécifiques. Par contre, toutes les molécules présentes dans l'air ne réagissent évidemment pas avec les cellules olfactives.


IvoDS 15 septembre 2006 à 06:38 (MEST)


manque de précision... décrivez les types de molécules impliquées en donnant des exemple... vous êtes en 4ème... quand même!!! ;-) Pierre.brawand 17 septembre 2006 à 15:43 (MEST)

Quel organe capte le stimulus?

Le nez, et plus précisément, l'épithélium olfactif qui se trouve dans la cavité nasale sont les organes qui captent les stimulus. Ce sont eux qui eux qui composent l'organe de l'odorat. L'odeur vient du fait qu'il y a interaction entre les molécules "d'odeur" et certaines protéines situées dans la membranne des cellules réceptrices. {{co|définissez ces "molécules d'odeur" plus précisément ici...} Pierre.brawand 17 septembre 2006 à 15:44 (MEST)


Anatomie du nez

lien schéma


Les fosses nasales sont reliées, avec l'extérieur par les narines (à l'avant) et avec le rhinopharynx via les choanes (deux orifices). Le nez est formé de cartilage dans sa partie antérieure et d'os dans sa partie postérieure. Les deux fosses nasales sont séparées par une paroie cartilagineuse (cloison nasale) et du lobe frontal (cerveau) par l'os ethmoïde. Les parois externes des fosses nasales sont chacune garnies de trois saillies appellées cornets (cornets inférieur, moyen et supérieur). Seul le cornet supérieur est partiellement tapissé de cellules olfactives. La cloison nasale ainsi que les paroies externes des fosses nasales sont tapissées d'une muqueuse. Dans sa partie supérieure, cette muqueuse dite pituitale, renferme les cellules épithéliales olfactives chargées de capter certaines molécules chimiques présentes dans l'air.

L'épithélium olfactif

L'épithélium olfactif, dont la surface est de 6 cm2, est un tissu composée de 3 types de cellules: les cellules de soutien, les cellules basales et surtout les cellules olfactives [1].

Les cellules de soutien se trouvent tout autour des cellules olfactives, qu'elles isolent les unes des autres. Elles ont principalement pour fonction de réguler l'environement direct des cellules olfactives: par exemple les concentrations ioniques (K+ par exemple).

Les cellules basales se situent à la base de l'épithélium olfactif. Elles donnent naissance à de nouvelles cellules olfactives et régénèrent ainsi l'épithélium.

Chez l'homme, l'épithélium olfactif est constitué d'environ 5 millions de cellules olfactives qui représentent 60 à 80% de toutes les cellules épithéliales. Ces dernières traversent l'épithélium de part en part et relient ainsi la cavité nasale et le cerveau (et plus précisément le bulbe olfactif). A leur extrémité du côté des fosses nasales, elles se ramifient en plusieurs cils olfactifs qui baignent dans du mucus et à la surface desquels on trouve les protéines qui jouent le rôle de récepteurs olfactifs (cf. plus loin). Le corps cellulaire (des cellules olfactives) se trouvent au centres de l'épithélium, tandis qu'à l'autre extrémité (côté cerveau) la cellule s'allonge et devient plus fine, elle forme alors ce que l'on appelle un axone. Au départ l'axone est amyélinique, puis ces axones sont rassemblés par dizaines pour être ensuite entourés d'une gaine de myéline. Ils traversent alors l'os ethmoïde et forment le nerf olfactif qui rejoint le bulbe olfactif situé dans le lobe frontal du cerveau. Les cellules olfactives relient donc sans relais ni interruptions les fosses nasales et le cerveau.

Sources: [2] ; [3]

MaximeB 14 septembre 2006 à 22:22 (MEST) IvoDS 15 septembre 2006 à 06:39 (MEST)

Pourquoi certaines molécules réagissent avec les cellules olfactives et d'autres non?

Tout se passe dans la membranne des cils olfactifs ou il y a des canaux ioniques qui sont responsables du processus de transduction.


j'aime pas cette phrase: Tout se passe...??? C'est peu précis. Pierre.brawand 17 septembre 2006 à 15:46 (MEST)


La membrane des cils olfactifs est perméable à certains ions comme le Na+, le K+ et le Ca++. Il est nécessaire également la présence du messager intacellulaire, l'adénosine monophosphate cyclique(AMPc). Le fait qu'elle ne soit pas présente peut aussi causer le fait que l'on ne sente pas certaines molécules.

La 1ère phrase de ce paragraphe est tronquée... et ensuite, ça manque d'explications... Pierre.brawand 17 septembre 2006 à 15:46 (MEST)


Source http://olfac.univ-lyon1.fr/sysolf/recepteur/reponse/recepteur-reponse-frame.htm IvoDS 15 septembre 2006 à 06:39 (MEST)

Pourquoi certaines molécules ont-elles une odeur tandis que d'autres non?

Comme on l'a vu, une molécule est odorante lorsqu'elle réagit avec les protéines de surface des cils des cellules olfactives et que celles-ci réagissent en envoyant un signal électrique au cerveau. Pour qu'un signal électrique soit créé, un nombre minimal de molécules doit réagir avec les cils olfactifs. L'odeur d'une substance dépend donc de deux de ses propriétés physiques: premièrement de sa solubilité dans le mucus et deuxièmement de sa tension de vapeur. Il faut noter qu'il est impossible d'établir clairement un lien entre la structue chimique d'une molécule et son odeur. Deux molécules très différente au point de vue de leur structure peuvent avoir une odeur très proche, tandis que d'autres de structures très proches peuvent avoir des odeurs très différentes.

Pour rejoindre les cils des cellules olfactives, les molécules doivent en effet pouvoir se dissoudre facilemement dans la couche de mucus qui recouvre l'épithélium olfactif. Il est difficile de calculer la solubilité d'une molécule dans une pareille substance, car le mucus est consistué d'eau, de sels minéraux, de sucres et de protéines. De plus, certaines molécules dont la solubilité dans l'eau est extrêmement faibles (molécules dites hydrophobes) sont parfois très odorantes et donc traversent quand même la couche de mucus. Il semblerait en fait que certaines protéines du mucus (les OBP- Odorant Binding Proteins) joueraient le rôle de "passeurs" en se liant avec les molécules odorantes, ce qui permettraient à ces dernières de traverser quand même le mucus.

La tension de vapeur d'une substance "est la pression partielle maximale qu'on peut avoir en phase gazeuse au dessus du solide ou du liquide, pour une substance donnée à une température donnée". Elle est donc plus facile à déterminer que la solubilité dans le mucus. Plus la tension de vapeur d'une substance est grande, plus cette dernière sera odorante. En général, plus une molécule est petite, plus sa tension vapeur est important (cependant les petite molécules ont souvent une solubilité très faible), et plus le point d'ébulition d'une molécule est élevé, plus sa tension de vapeur est faible. Les molécules dont la masse moléculaire est supérieure à 300 sont inodores. De plus, lorsque la température augmente la tension de vapeur augmente également, par conséquent plus la température de l'air est élevée, plus le nombre de molécules odorantes dans l'air augmente et plus la substance est donc odorante.


Source: http://olfac.univ-lyon1.fr/sysolf/molecule/physico/molecule-physico-frame.htm

MaximeB 16 septembre 2006 à 18:55 (MEST)

OK Pierre.brawand 17 septembre 2006 à 15:49 (MEST)

Comment est capté le stimulus et comment est-il transmis au cerveau?

Certaines molécules présentes dans l'air se dissolvent dans le mucus recouvrant la cavité nasale et se lient ensuite au protéines réceptives spécifiques se trouvant dans la membrane des cils des cellules olfactives. Cette liaison induit une réaction de conversion (et d'amplification) du signal chimique en signal éléctrique. Cette réaction fait intervenir des protéines G, l'enzyme adénynate cyclase et un second messager, l'adénosine monophosphate cyclique. La molécule dissoute dans le mucus se fixe aux protéines de surfaces des cils olfactif. Cette réaction a pour effet de libérer une protéine G (à l'intérieur de la cellule olfactive), elle même active l'enzyme adénynate cyclase, qui libère à son tour de l'AMP, qui lui finalement ouvre les canaux à ions sodiums. Un potentiel d'action est ainsi déclenché, et l'information chimique est transformée en information électrique.

lien Schéma lien schéma cerveau


Fonctionement du potentiel d'action

Il existe une différence de potentiel entre l'extérieur et l'intérieur d'un neurone (dans notre cas les cellules olfactives). En effet le liquide extracellulaire est riche en ions sodium et chlorures, tandis que le liquide intracellulaire est riche en ions potassium et anion organiques. L'intérieur est chargé négativement par rapport à l'extérieur (la différence de potentiel étant d'environ 80mV, mais elle varie en fonction du type de neurone). La surface du neurone est parsemée de canaux à sodiums, de canaux à potassiums ainsi que de pompe à ions. Lorsque les canaux à sodiums s'ouvrent (dans notre cas sous l'action de l'AMP) les ions sodium affluent à l'intérieur du neurone, dont l'intérieur est maintenant positif par rapport à l'extérieur. Le potentiel d'action dure peu de temps: en effet, en réaction à l'afflux de ions sodiums, très vite vont s'ouvrir les canaux à potassium, ce qui aura pour effet de compenser la charge apportée par les ions sodiums. Le neurone retrouve sa négativité. Cette phase, dite réfractaire permet de diriger le potentiel d'action le long de l'axone. Finalement les pompe à ions transportent les ions sodiums à l'extérieur du neurone et récupèrent les ions potassiums: on se retrouve au point de départ.

Source: LEP p. 304-306 et Campbell p.

MaximeB 14 septembre 2006 à 23:12 (MEST)

Quel rôle joue l'odorat chez l'Homme?

L'odorat est une prémice du gout. Le fait qu'un aliment dégage une bonne odeur nous pousse à le consommer alors que si l'aliment sent mauvais, nous ne voudrons pas y toucher. L'odorat a aussi une influence sur le gout. Il suffit de faire une petite expérience pour en avoir la preuve. On mange un aliment mais on se bouche le nez au début. On vera qu'il n'y a quasiment aucun gout et ils suffit de se déboucher le nez pour en avoir la preuve donc le gout est lié à l'odorat.

Source: (futur Dr.)Vincenzo Marchese IvoDS 15 septembre 2006 à 06:39 (MEST)

Merci d'enlever la source perso pas très fiable... et surtout de développer cet aspect important du rôle de l'odorat chez l'Homme... avec peut-être une comparaison avec d'autres espéces et peut-être un lien avec certains de nos comportements...! Pierre.brawand 17 septembre 2006 à 15:54 (MEST)

Et chez les autres espèces?

Les molécules circulant dans l'air donnent aux animaux des informations sur leur environnement. Elles leur permettent de se repérer, de détécter des prédateurs ou au contraire des sources de nourriture. L'odorat permet par exemple au saumon, de retrouver sa rivière natale afin d'y retourner frayer.

L'Homme n'est de loin pas l'espèce ayant le meilleurs odorat. Les fosses nasales du chien par exemple sont tapissées de plus de 200 millions de cellules olfactives, ce qui explique qu'il puisse détecter dans l'air des molécules isolées qu'aucun Homme ne pourrait percevoir. Cependant le principe est le même chez tous les vertébrés terrestres, peu importe la forme de l'appareil respiratoire, les molécules présentes dans l'air rentrent en contact avec les cellules olfactives lorsque l'animal respire.

Chez les poissons au contraire, les cellules olfactives sont placées dans les deux fosses nasales au dessus de la bouche et sont ainsi en contact perpétuel avec l'eau.


Chez les insectes, les antennes sont pourvues de cellules olfactives. Celles-ci sont parfois très développées: un exemple souvent cité est celui du bombyx, qui peut percevoir les phéromones sexuelles du bombycol (sa femelle) à plusieurs kilomètres de distance. L'odorat joue également un rôle important chez insectes vivant en colonies: les abeilles par exemple communiquent par signaux chimique, et les fourmies également.

Ces signaux chimiques sont en fait des phéromones. Leur rôle est de régir certains comportant et de marquer la hiérarchie social au sein de la colonie. Les phéromones sont capté par l'organe voméronasal et sont inodore (l'organe voméronasal est aussi appellé système olfactif accessoire).


Source: LEP p. 330 MaximeB 14 septembre 2006 à 22:29 (MEST) IvoDS 15 septembre 2006 à 06:39 (MEST)

Bien. Faire le lien avec la question précédente... Pierre.brawand 17 septembre 2006 à 15:55 (MEST)

Quels sont les troubles de l'odorat et leures conséquences?

Il y a plusieurs types de troubles de l'odorat:

  • l'anosmie qui représente une perte complète de l'odorat. Il y a deux types d'anosmies, l'anosmie de transmission (perturbation de l'acquisition par les muqueuses) et l'anosmie de réception (perturbation du tissu d'identification sensorielle).
  • l’hyposmie qui est une diminution des facultés de l'odorat
  • la cacosmie qui cause une perception olfactive désagréable qui peut être objective (infection du nez ou des sinus)

ou subjective (distorsion de la sentation normale)

  • il y a aussi la possibilité de subir une halucination olfactive lorsque, sans cause, il y a une perception olfactive.

Les troubles de l'odorat peuvent représenter une perte de la qualité de vie. source: http://www.santeweb.com/ArticlesMedecine.asp?Sid=89 IvoDS 15 septembre 2006 à 06:40 (MEST)

Quel est le rôle du mucus?

Le mucus a un role dans l'odorat. Le fait qu'il y en aie trop ou trop peu peut modofier la perception olfactive car certaines molécules odorantes sont captées et dissoutes dans le mucus.

source: http://www.medecine-et-sante.com/anatomie/anatnez.html IvoDS 15 septembre 2006 à 06:40 (MEST)


très imcomplet et surtout très mal placer comme dernière question


Continuez... et pensez à réorganiser vos questions hiérarchiquement. Pierre.brawand 17 septembre 2006 à 15:57 (MEST)

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