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= La locomotion terrestre =
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La deuxième étape de l'évolution du système locomoteur, est celle de la locomotion terrestre. En effet, des évolutions ont permis, chez certains organismes, de devenir capables de quitter le milieu aquatique pour ainsi vivre en milieu terrestre.
La deuxième étape de l'évolution du système locomoteur, est celle de la locomotion terrestre. En effet, des évolutions ont permis, chez certains organismes, de devenir capables de quitter le milieu aquatique pour ainsi vivre en milieu terrestre. Les différentes formes de locomotions terrestres incluent le fait de marcher, sauter ou ramper. Pour pouvoir se déplacer, les animaux utilisent donc beaucoup d'énergie. Cette énergie potentielle élastique est stockée dans les tendons pour facilité le déplacement. Il leur faut donc, un fort cadre musculaire squelettique pour leur permettre des bons appuis et une coordination distinguée. Chez les marcheurs, il existe deux types de fonctionnements. La première étant observé chez les hommes, les hérissons, etc... où la totalité de la patte ou du pied se pose sur le sol à chaque pas pour permettre un bon équilibre du corps en question. Un deuxième stade est réalisé chez les chats, les chiens et de nombreux rongeurs; dans lequel les membres ne reposent que sur les orteils et les doigts. la paume de la patte et la plante du pied ne touche pas le sol ce qu'il leur permet d'amortir les chutes provoquées par les sauts. Pour accroître leur vitesse de déplacement, les animaux ont deux possibilités distinctes. Soit d'augmenter la fréquence de leurs mouvement locomoteurs ou bien d'allonger leurs pas pour faire de grandes enjambées; la première donne à l'animal en question un bon équilibre mais diminue la vitesse de course comme c'est le cas chez les humains, La deuxième elle, au contraire, augmente considérablement la vitesse de course mais diminue l'équilibre et donc augmente les chances de chutes de l'animal comme c'est le cas chez les guépards.
 
Le saut consiste, chez les animaux et les humains, à se propulser dans l'air grâce à une poussée des membres sur le sol souvent en faisant une contracture et une extension du bassin et d'autres membres (le kangourou, l'antilope, etc.).
 
Chez les animaux qui rampent on retrouve les mollusques ( l'escargot, la limace, etc.) qui sont dépourvus de squelettes internes osseux et de pattes. les animaux qui rampent ne sont donc pas munis d'articulations. 


= La locomotion aérienne =
= La locomotion aérienne =
La locomotion aérienne, ou locomotion de vol, est la troisième et dernière étape de l'évolution du système locomoteur. Ainsi, certains animaux sont devenus capables, après certaines évolutions, de quitter le milieu terrestre et de voler dans les airs.
La locomotion aérienne, ou locomotion de vol, est la troisième et dernière étape de l'évolution du système locomoteur. Ainsi, certains animaux sont devenus capables, après certaines évolutions, de quitter le milieu terrestre et de voler dans les airs.

Version du 19 février 2009 à 20:10

Qu'est-ce que le système locomoteur ?

Il s'agit d'une activité complexe qui requiert la coopération et la coordination de nombreux systèmes d'organes, de membres et/ou de muscles qui permettent le déplacement des différents animaux. Il existe plusieurs types de locomotions, qui suivent une évolution dans cet ordre: la locomotion aquatique, la locomotion terrestre et la locomotion aérienne. La locomotion caractérise très généralement le règne animal. Toutefois, il existe certains animaux qui n'ont pas la capacité de se déplacer (éponges, coraux, huitres, etc.).

La locomotion aquatique

La locomotion, cette capacité qu’ont les hommes et les animaux à se déplacer activement d’un point à un autre, caractérise la vie bien plus que toute autre fonction organique. Elle contribue aussi à la survie des espèces et à leur diversification. Entre diverses activités vitales (reproduction, fuite, recherche de nourriture, d’un territoire ou d’un environnement meilleur), on trouve la locomotion. La première étape évolutive de cette locomotion, est la locomotion aquatique. En effet, certains des premiers organismes, comme la paramécie, le volvox ou encore l'amibe, se déplacent grâces à des cils, des flagellés ou des pseudopodes. Quant aux animaux, dans le milieu aquatique, ils se déplacent dans l'eau, souvent en nageant, grâce à des nageoires (l'ensemble des poissons, requins, etc.), avec des pattes (crabes, langoustes, etc.) ou bien avec des tentacules (pieuvres, etc.), tandis que d'autres n'ont pas cette aptitude-là et sont souvent sessiles ou flottent passivement (c'est le cas des éponges, huitres, coraux, etc.). Quelques-uns des organismes réussirent à se mouvoir plus facilement et plus rapidement. Ils adoptèrent donc de nouvelles capacités (digestives, de déplacement, etc.) qui leur permirent de quitter le milieu aquatique. D'autres animaux n'ont pas totalement quitté le monde maritime, ils se sont adaptés au milieu terrestre et au milieu aquatique : c'est le cas de, par exemple, l'ornithorynque, le crocodile, le castor, etc.

La locomotion terrestre

La deuxième étape de l'évolution du système locomoteur, est celle de la locomotion terrestre. En effet, des évolutions ont permis, chez certains organismes, de devenir capables de quitter le milieu aquatique pour ainsi vivre en milieu terrestre. Les différentes formes de locomotions terrestres incluent le fait de marcher, sauter ou ramper. Pour pouvoir se déplacer, les animaux utilisent donc beaucoup d'énergie. Cette énergie potentielle élastique est stockée dans les tendons pour facilité le déplacement. Il leur faut donc, un fort cadre musculaire squelettique pour leur permettre des bons appuis et une coordination distinguée. Chez les marcheurs, il existe deux types de fonctionnements. La première étant observé chez les hommes, les hérissons, etc... où la totalité de la patte ou du pied se pose sur le sol à chaque pas pour permettre un bon équilibre du corps en question. Un deuxième stade est réalisé chez les chats, les chiens et de nombreux rongeurs; dans lequel les membres ne reposent que sur les orteils et les doigts. la paume de la patte et la plante du pied ne touche pas le sol ce qu'il leur permet d'amortir les chutes provoquées par les sauts. Pour accroître leur vitesse de déplacement, les animaux ont deux possibilités distinctes. Soit d'augmenter la fréquence de leurs mouvement locomoteurs ou bien d'allonger leurs pas pour faire de grandes enjambées; la première donne à l'animal en question un bon équilibre mais diminue la vitesse de course comme c'est le cas chez les humains, La deuxième elle, au contraire, augmente considérablement la vitesse de course mais diminue l'équilibre et donc augmente les chances de chutes de l'animal comme c'est le cas chez les guépards.

Le saut consiste, chez les animaux et les humains, à se propulser dans l'air grâce à une poussée des membres sur le sol souvent en faisant une contracture et une extension du bassin et d'autres membres (le kangourou, l'antilope, etc.).

Chez les animaux qui rampent on retrouve les mollusques ( l'escargot, la limace, etc.) qui sont dépourvus de squelettes internes osseux et de pattes. les animaux qui rampent ne sont donc pas munis d'articulations.

La locomotion aérienne

La locomotion aérienne, ou locomotion de vol, est la troisième et dernière étape de l'évolution du système locomoteur. Ainsi, certains animaux sont devenus capables, après certaines évolutions, de quitter le milieu terrestre et de voler dans les airs.