« Evolution Chap7 » : différence entre les versions

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Le grand intérêt qu'apporte les gène dans le chapitre de l'évolution est présent notamment dans la transmission des charactères de parents à enfant. Mendel et Morgan ont observé ce phénomène sur leur expériences. Mendel en observant le phénotype des petits pois et Morgan en observant la couleur des yeux des drosophiles.
Le grand intérêt qu'apporte les gène dans le chapitre de l'évolution est présent notamment dans la transmission des charactères de parents à enfant. Mendel et Morgan ont observé ce phénomène sur leur expériences. Mendel en observant le phénotype des petits pois et Morgan en observant la couleur des yeux des drosophiles.


La grande difficulté pour Darwin étant la compréhension de la disparité des charactères chez les hybrides. Cette théorie est bien expliqué grâce à la génétique de Mendel et la théorie des allèles récessif et dominant pouvant expliqué les différent phénotype observé chez deux individu issu de parents différents.
La grande difficulté pour Darwin étant la compréhension de la disparité des charactères chez les hybrides. Cette théorie est bien expliqué grâce à la génétique de Mendel et la théorie des allèles récessif et dominant pouvant expliqué les différent phénotype observé chez deux individu issu de parents différents. Théorie que l'on place facilement dans l'explication de la variation.  


L'un des facteurs de l'évolution consiste en une mutation pouvant survenir à n'importe quel étape du processus de la production des protéines. Si un gènes possède une mutation dans un de ses nucléotides, la transcription et la traduction se fera par rapport de ce nucléotide et donc la protéine créera quelques chose de nouveau dans notre organisme. Par exemple l'évolution chez l'Homme a été observée dans la disposition du système nerveux et la taille et le volume du cerveau qui a augmenter au fil des millénaires.
L'un des facteurs de l'évolution consiste en une mutation pouvant survenir à n'importe quel étape du processus de la production des protéines. Si un gènes possède une mutation dans un de ses nucléotides, la transcription et la traduction se fera par rapport de ce nucléotide et donc la protéine créera quelques chose de nouveau dans notre organisme. Par exemple l'évolution chez l'Homme a été observée dans la disposition du système nerveux et la taille et le volume du cerveau qui a augmenter au fil des millénaires.


L'évolution des espèces n'est pas uniquement concerné dans la transmission verticale (de parents à enfant) mais aussi dans la transmission horizontale (cf. chapitre 9)
L'évolution des espèces n'est pas uniquement concerné dans la transmission verticale (de parents à enfant) mais aussi dans la transmission horizontale (ou transfert génétique cf. chapitre 9) mais pour le moment nous resteront sur la voie de transmission verticale.
 
De ce long processus évolutif, nous pouvons supposer l'existence d'un ancêtre originel commun à tous. Dans la première édition de l'ouvrage ''l'origine des espèces'', n'emploie pas le terme d'évolution avant la fin lui préférant un autre mot exprimant de meilleur manière ce processus: la descendance modifiée. La conception darvinienne se présente sous la forme d'une arbre généalogique. D'un même tronc jaillissent plusieurs branche ayant eux-même leur multiple ramification. On suppose que chaque fourche se trouve l'ancête de plusieurs lignée ceci représenté aujourd'hui grâce à la taxinomie.
 
Reprenons donc la mutation qui est source de variation et la condition nécessaire à l'évolution adaptative. Cette évolution adaptative a été observée pendant le voyage de Darwin sur le Beagle. Il comprend rapidement qu'il existe un lien entre l'apparition des espèces et l'adaptation à leur environnement. Des scientifiques sont parvenu à prouver plus tard ce phénomène chez les Géospizes des Galapagos. Ces oiseaux si distinguent surtout par leur bec qui s'est adapté à la nourriture présente sur leur île. Selon Ernst Mayr, biologiste de l'évolution, les caractèristiques des individus d'une population peuvent varier énormément. Il n'existe en aucun cas deux individus identique. Ces variation sont héréditaire. Les individus qui sont plus aptes à affronter leur environnement peuvent produire vraisemblablement plus de descendant que les autres. Ce processus permet expliqué la fourche dans l'arbre généaologique de l'évolution. Ce phénomène est souvent observé chez les bactéries. Il arrive que les bactéries soit complètement insensible aux antibiotique. Surement grâce à un processus d'évolution adaptative. Cependant le charactère hasardeux de ce phénomène a été démontré par le travail classique de Luria et Delbrück: [http://en.wikipedia.org/wiki/Luria-Delbrück_experiment]

Version du 24 janvier 2010 à 00:36

Gène, épigenèse et évolution
Paul & Yann

Que propose Darwin pour rendre compte de l'évolution des espèces vivantes ?

Darwin propose une théorie sur l'évolution des espèces vivantes qu'on décline schématiquement en 3 points:

  • La variation est présente au sein de toute population d'individus d'une espèce donnée.
  • Si une sélection s'exerce sur certains variants,
  • Une évolution de cette population au fil des générations en découle.

Qu'est-ce que le pangène?

Dans ses ouvrage, Darwin explique le pangène comme étant une hypothèse provisoire. à compléter?--Pierre.brawand 20 janvier 2010 à 16:52 (UTC)

Sur quoi Darwin s'est-il fondé pour réaliser cette théorie?

Pour Darwin, la pangenèse est expliquée par le fait que tous les organes abritent des pangènes (également appelés granules et gemmule). Ces particules hypothétiques abritées dans les organes est par la suite transportée dans le sang un peu comme dans les mécanisme hormonaux. Ils atteindront les appareils reproducteurs pour s'accumuler dans les cellules reproductrices (ou gamètes). Chaque organe contribuera alors à la formation de la progéniture. Ce principe permettait d'expliquer la transmission des caractères acquis et innées( selon le Lamarckisme), la régénération des membres amputés, etc.

Cette théorie a été proposé longtemps avant les lois de l'hérédité de Mendel.

Quelle est l'hypothèse du pangène?

  • L'expansion:

L'expansion du vivant consiste en sa croissance et sa multiplication dans le milieu. L'individu incorpore des matières étrangères extraite de ce milieu. Des milieux permettent à des individus d'espèces différentes de conserver de manière remarquable une identité qui leur est propre au cours de leur croissance et, d'autre part, de générer des descendants de leur espèce. Le vivant est capable de maintenir ses caractéristiques qui lui sont propres et de les transmettre de manière trans-générationelle et ce, indépendamment du milieu.

  • La constance:

La constance est la propriété évidente de la fixité du vivant qui nous permet la taxonomie. La recherche cherche à comprendre la source de cette identité conservée (hérédité) durant la croissance et la multiplication.

  • La variation:

La variation est constitutive du phénomène vivant. La multiplication de celui-ci n'est pas une reproduction à l'identique. La variation joue le rôle central du processus d'évolution, car sans celle-ci, la sélection n'a pas de prise à laquelle elle peut s'exercer.

Le gène est-il une unité d'évolution ?

Le gène est une unité structurale du vivant. Elle constitue une partie de l'acide désoxyribonucléique (ou ADN) spécifique à la production de protéine par de nombreuses étapes échelonnées. C'est à dire qu'à partir de l'ADN on synthétise l'acideribonucléique (ARN) ou des chaînes polypéptidique. La transcription des protéine se fait en deux étapes c'est-à-dire la transcription d'un ADN en ARN messager et la traduction d'un ARN messager en protéine. La protéine est nécessaire au vivant car elle est considéré comme le "bâtisseur" cellulaire.

Le grand intérêt qu'apporte les gène dans le chapitre de l'évolution est présent notamment dans la transmission des charactères de parents à enfant. Mendel et Morgan ont observé ce phénomène sur leur expériences. Mendel en observant le phénotype des petits pois et Morgan en observant la couleur des yeux des drosophiles.

La grande difficulté pour Darwin étant la compréhension de la disparité des charactères chez les hybrides. Cette théorie est bien expliqué grâce à la génétique de Mendel et la théorie des allèles récessif et dominant pouvant expliqué les différent phénotype observé chez deux individu issu de parents différents. Théorie que l'on place facilement dans l'explication de la variation.

L'un des facteurs de l'évolution consiste en une mutation pouvant survenir à n'importe quel étape du processus de la production des protéines. Si un gènes possède une mutation dans un de ses nucléotides, la transcription et la traduction se fera par rapport de ce nucléotide et donc la protéine créera quelques chose de nouveau dans notre organisme. Par exemple l'évolution chez l'Homme a été observée dans la disposition du système nerveux et la taille et le volume du cerveau qui a augmenter au fil des millénaires.

L'évolution des espèces n'est pas uniquement concerné dans la transmission verticale (de parents à enfant) mais aussi dans la transmission horizontale (ou transfert génétique cf. chapitre 9) mais pour le moment nous resteront sur la voie de transmission verticale.

De ce long processus évolutif, nous pouvons supposer l'existence d'un ancêtre originel commun à tous. Dans la première édition de l'ouvrage l'origine des espèces, n'emploie pas le terme d'évolution avant la fin lui préférant un autre mot exprimant de meilleur manière ce processus: la descendance modifiée. La conception darvinienne se présente sous la forme d'une arbre généalogique. D'un même tronc jaillissent plusieurs branche ayant eux-même leur multiple ramification. On suppose que chaque fourche se trouve l'ancête de plusieurs lignée ceci représenté aujourd'hui grâce à la taxinomie.

Reprenons donc la mutation qui est source de variation et la condition nécessaire à l'évolution adaptative. Cette évolution adaptative a été observée pendant le voyage de Darwin sur le Beagle. Il comprend rapidement qu'il existe un lien entre l'apparition des espèces et l'adaptation à leur environnement. Des scientifiques sont parvenu à prouver plus tard ce phénomène chez les Géospizes des Galapagos. Ces oiseaux si distinguent surtout par leur bec qui s'est adapté à la nourriture présente sur leur île. Selon Ernst Mayr, biologiste de l'évolution, les caractèristiques des individus d'une population peuvent varier énormément. Il n'existe en aucun cas deux individus identique. Ces variation sont héréditaire. Les individus qui sont plus aptes à affronter leur environnement peuvent produire vraisemblablement plus de descendant que les autres. Ce processus permet expliqué la fourche dans l'arbre généaologique de l'évolution. Ce phénomène est souvent observé chez les bactéries. Il arrive que les bactéries soit complètement insensible aux antibiotique. Surement grâce à un processus d'évolution adaptative. Cependant le charactère hasardeux de ce phénomène a été démontré par le travail classique de Luria et Delbrück: [1]