« Evolution du système locomoteur 2BIDF07 08 » : différence entre les versions

De biorousso
Aller à la navigation Aller à la recherche
Ligne 37 : Ligne 37 :
Ainsi, les cellules de la plante n'ont pas de cils ou de flagelles qui leurs permet de se mouvoir. Néanmoins, elles possèdent des ''murs'' autour d'elles-même, pour se protéger de son environnement et en même temps leurs donner un appui structurel.
Ainsi, les cellules de la plante n'ont pas de cils ou de flagelles qui leurs permet de se mouvoir. Néanmoins, elles possèdent des ''murs'' autour d'elles-même, pour se protéger de son environnement et en même temps leurs donner un appui structurel.


Pour déterminer l'évolution ultérieure de ces systèmes, nous nous baserons sur différents éléments scientifiques qui sont:
Pour déterminer l'évolution ultérieure de ces systèmes, nous nous basons sur différents éléments scientifiques qui sont :


:# Les preuves paléontologiques, comme le processus de formation des pattes des chevaux ou encore le processus d'atrophie de l'os du pied (par l'existence d'os qui ont perdus leur utilité, ou qui ont atrophiés).
:# Les preuves paléontologiques, comme le processus de formation des pattes des chevaux ou encore le processus d'atrophie de l'os du pied (par l'existence d'os qui ont perdus leur utilité, ou qui ont atrophiés).
:# Les preuves biologiques, en distinguant les organes similaires remplissant la même fonction, quoique leurs anatomies soient différentes (comme les ailes d'un insecte et d'un oiseau), les organismes de contrepartie qui ont une fonction physiologique et enfin, la formation de ces organismes (comme les ailes d'une chauve-souris, les nageoires d'une baleine ou bien les pattes d'un chien).
:# Les preuves biologiques, en distinguant les organes similaires remplissant la même fonction, quoique leurs anatomies soient différentes (comme les ailes d'un insecte et d'un oiseau), les organismes de contrepartie qui ont une fonction physiologique et enfin, la formation de ces organismes (comme les ailes d'une chauve-souris, les nageoires d'une baleine ou bien les pattes d'un chien).
:# Les preuves embryologiques, c'est-à-dire le développement embryonnaire des vertébrés.
:# Les preuves embryologiques, c'est-à-dire le développement embryonnaire des vertébrés.

Version du 21 février 2009 à 13:56

Mauvaise compréhension du boulot à effectuer. Travaillez avec des questions et des réponses! Etudiez la tendance évolutives du système locomoteur. Des éponges aux vertébrés supérieurs quelles ont été les étapes, les transformations, les adaptations qui ont permis un déplacement complexe (nage, vol, marche) en résumé... vous n'avez rien fait depuis 4 semaines et il vous reste 5 jours pour terminer, donc AU BOULOT!

Qu'est-ce que le système locomoteur ?

Il s'agit d'une activité complexe qui requiert la coopération et la coordination de nombreux systèmes d'organes, de membres et/ou de muscles qui permettent le déplacement des différents animaux. Il existe plusieurs types de locomotions, qui suivent une évolution dans cet ordre: la locomotion aquatique, la locomotion terrestre et la locomotion aérienne. La locomotion caractérise très généralement le règne animal. Toutefois, il existe certains animaux qui n'ont pas la capacité de se déplacer (éponges, coraux, huitres, etc.).

La locomotion aquatique

La locomotion, cette capacité qu’ont les hommes et les animaux à se déplacer activement d’un point à un autre, caractérise la vie bien plus que toute autre fonction organique. Elle contribue aussi à la survie des espèces et à leur diversification. Entre diverses activités vitales (reproduction, fuite, recherche de nourriture, d’un territoire ou d’un environnement meilleur), on trouve la locomotion. La première étape évolutive de cette locomotion, est la locomotion aquatique. En effet, certains des premiers organismes, comme la paramécie, le volvox ou encore l'amibe, se déplacent grâces à des cils, des flagellés ou des pseudopodes. Quant aux animaux, dans le milieu aquatique, ils se déplacent dans l'eau, souvent en nageant, grâce à des nageoires (l'ensemble des poissons, requins, etc.), avec des pattes (crabes, langoustes, etc.) ou bien avec des tentacules (pieuvres, etc.), tandis que d'autres n'ont pas cette aptitude-là et sont souvent sessiles ou flottent passivement (c'est le cas des éponges, huitres, coraux, etc.). Quelques-uns des organismes réussirent à se mouvoir plus facilement et plus rapidement. Ils adoptèrent donc de nouvelles capacités (digestives, de déplacement, etc.) qui leur permirent de quitter le milieu aquatique. D'autres animaux n'ont pas totalement quitté le monde maritime, ils se sont adaptés au milieu terrestre et au milieu aquatique : c'est le cas de, par exemple, l'ornithorynque, le crocodile, le castor, etc.

La locomotion terrestre

La deuxième étape de l'évolution du système locomoteur, est celle de la locomotion terrestre. En effet, des évolutions ont permis, chez certains organismes, de devenir capables de quitter le milieu aquatique pour ainsi vivre en milieu terrestre. Les différentes formes de locomotions terrestres incluent le fait de marcher, sauter ou ramper. Pour pouvoir se déplacer, les animaux utilisent donc beaucoup d'énergie. Cette énergie potentielle élastique est stockée dans les tendons pour facilité le déplacement. Il leur faut donc un fort cadre musculaire squelettique pour leur permettre des bons appuis et une coordination distinguée. Chez les marcheurs, il existe deux types de fonctionnements. La première étant observé chez les hommes, les hérissons, etc... où la totalité de la patte ou du pied se pose sur le sol à chaque pas pour permettre un bon équilibre du corps en question. Un deuxième stade est réalisé chez les chats, les chiens et de nombreux rongeurs; dans lequel les membres ne reposent que sur les orteils et les doigts. La paume de la patte et la plante du pied ne touche pas le sol, ce qu'il leur permet d'amortir les chutes provoquées par les sauts. Pour accroître leur vitesse de déplacement, les animaux ont deux possibilités distinctes. Soit d'augmenter la fréquence de leurs mouvements locomoteurs, ou bien d'allonger leurs pas pour faire de grandes enjambées. La première donne à l'animal en question un bon équilibre mais diminue la vitesse de course comme c'est le cas chez les humains. La deuxième elle, au contraire, augmente considérablement la vitesse de course mais diminue l'équilibre et donc augmente les chances de chutes de l'animal comme c'est le cas chez les guépards.

Le saut consiste, chez les animaux et les humains, à se propulser dans l'air grâce à une poussée des membres sur le sol souvent en faisant une contracture et une extension du bassin et d'autres membres (le kangourou, l'antilope, etc.).

Chez les animaux qui rampent on retrouve les mollusques (le serpent, la limace, etc.) qui sont dépourvus de squelettes internes osseux et de pattes. les animaux qui rampent ne sont donc pas munis d'articulations.

La locomotion aérienne

La locomotion aérienne, ou locomotion de vol, est la troisième et dernière étape de l'évolution du système locomoteur. Ainsi, certains animaux sont devenus capables, après certaines évolutions, de quitter le milieu terrestre et de voler dans les airs.

Qu'est-ce que l'évolution du système locomoteur ?

L'évolution du système locomoteur est un long processus biologique dans lequel les caractéristiques locomotrices des organismes changent au cours des générations. Pour cette raison, nous pouvons dire que les bactéries, les plantes, les insectes, les oiseaux et les mammifères ont eu des systèmes locomoteurs très anciens et très différents de ceux qu'ils possèdent maintenant. Ces changements, au fil des générations, ont été enregistrés dans la structure des gènes.

Le système locomoteur n'est pas un système indépendant, il fonctionne grâce a la connexion de divers systèmes.

Quelles sont les systèmes qui forment le système locomoteur ?

Les trois systèmes qui rendent le mouvement possible sont:

  1. Le système nerveux pour la génération et la modulation des commandes moteur.
  2. Le système musculaire, formé par les muscles qui se lient aux os.
  3. Le système squelettique, qui est l'élément passif constitué par les os, les ligaments et le cartilage articulaire.

Comment ces différents système ont-ils évolués ?

Chez les premières cellules procaryotes qui ont donné lieu à des eucaryotes se sont, par la suite, diviser dans les domaines qui ont donné naissance à des plantes, des insectes et des animaux. Nous pouvons constater que ces cellule,s avant qu'elles ne se forment en des systèmes pluricellulaires, étaient spécialisées selon leur fonction.

Ainsi, les cellules de la plante n'ont pas de cils ou de flagelles qui leurs permet de se mouvoir. Néanmoins, elles possèdent des murs autour d'elles-même, pour se protéger de son environnement et en même temps leurs donner un appui structurel.

Pour déterminer l'évolution ultérieure de ces systèmes, nous nous basons sur différents éléments scientifiques qui sont :

  1. Les preuves paléontologiques, comme le processus de formation des pattes des chevaux ou encore le processus d'atrophie de l'os du pied (par l'existence d'os qui ont perdus leur utilité, ou qui ont atrophiés).
  2. Les preuves biologiques, en distinguant les organes similaires remplissant la même fonction, quoique leurs anatomies soient différentes (comme les ailes d'un insecte et d'un oiseau), les organismes de contrepartie qui ont une fonction physiologique et enfin, la formation de ces organismes (comme les ailes d'une chauve-souris, les nageoires d'une baleine ou bien les pattes d'un chien).
  3. Les preuves embryologiques, c'est-à-dire le développement embryonnaire des vertébrés.