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'''REPRODUCTION'''
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Les éponges peuvent être gonochoriques (cas général chez les éponges calcaires) ou hermaphrodites (cas général chez les éponges siliceuses). Les gamètes (spermatozoïdes et ovules) proviennent de la différenciation de certains amibocytes[2]. Selon d'autres auteurs, ils proviendraient d'amibocytes ou de choanocytes dédifférenciés[9].


Animaux à reproduction sexuée, les éponges produisent des gamètes. (->fécondation indirecte). En effet les spermatozoïdes apportés par l'eau pénètrent dans les canaux inhalants et vont dans les tubes radiaux. Ils sont attirés par les ovocytes mais les choanocytes les en séparent. Un spermatozoïde pénètre dans la collerette d' un choanocyte. L'ovocyte grandit,où il attire deux cellules nourricières.
Si, dans ce groupe, la spermatogenèse est classique, l'ovogenèse présente des particularités. Lorsque les ovocytes I sont formés, chacun s'associe à deux choanocytes dédifférenciés qui seront annexés par l'ovocyte.
La reproduction asexuée, fréquente chez les éponges, se fait par bourgeonnement.


Autre particularité, les éponges présentent une fécondation indirecte : les spermatozoïdes, expulsés par un individu et ayant pénétré dans une autre éponge, seront capturés par des choanocytes différenciés. Ces derniers se dédifférencient en archéocytes, deviennent alors mobiles, pénètrent dans la mésoglée où se trouvent les ovules, et y transportent les spermatozoïdes.


*Il faudrait qu'on explique la reproduction chez les Spongiaires à moins qu'on l'ai déjà fait?! A demain ^^
Les éponges sont le plus souvent vivipares : après la fécondation, l’œuf se développe dans la mésoglée puis devient une larve nageuse (larve amphiblastula chez la plupart des espèces, ou parenchymula chez certaines éponges siliceuses), recouverte de flagelles, qui est libérée dans le milieu extérieur. La faible proportion de larves qui réussissent à survivre vont se fixer sur un support et se métamorphoser en éponge adulte[2].
 
*Reproduction asexuée
 
Les éponges peuvent aussi se reproduire ainsi de façon asexuée. Des fragments détachés peuvent reformer une éponge entière (voir le paragraphe "Régénération"). Elles peuvent aussi produire des bourgeonnements de cellules indifférenciées, protégées par une coque solide, l'ensemble étant appelé gemmule (sauf chez certaines Hexactinellides, où ces "bourgeons" possèdent des cellules déjà différenciées et sont appelées sorites). Les gemmules (ou sorites) sont généralement libérées à la mort de l'individu et, si les conditions sont favorables, s'ouvriront et donneront de nouveaux individus[2].

Version du 2 février 2009 à 11:26

Je m'occupe des Cnidaires et toi des Spongiaires, OK? => OK

CNIDAIRE FORME POLYPE:

  • Appellation: Hydre d'eau douce ou Hydre verte
  • Mouvement:généralement fixées, mais elles peuvent se déplacer soit en glissant( sur leur disque), soit par arpentage(par culbutes)


Les différentes classes de cnidaires:

  • La classe des hydrozoaires : les hydroïdes

Exemple: Physalie, Hydres, Obelia, certains coraux

  • la classe des scyphozoaires : les méduses

Exemple: Chrysaores

  • la classe des cubozoaires: la cuboméduse
  • la classe des anthozoaires : les anémones de mer et les coraux

Exemple: La majorité des Coraux et les Gorgones

=> donc 4 classes

Les Spongiaires:

  • Organisme pluricellulaire
  • Pas de forme propre
  • Pompe l'eau pour se nourrir -> absorbe certaines particules présentes dans l'eau (vivantes et sans mouvement)
  • utilisent leurs flagelles pour que l'eau puisse circuler
  • pas de muscle ni nerfs




SPONGIAIRES

  • Les éponges constituent l’embranchement des Spongiaires et sont des animaux sans organes ou appareils bien définis.!
  • corps formés slt par 2 couches de cellules
                                            –> ''ectoderme''
                                            –> ''endoderme''
  • leurs cellules = animales
                  => hétérotrophes = elles doivent se procurer de la matière organique à partir d'autres organismes.
  • certains zoologistes voient dans ces organismes une étape entre les états uni- et pluricellulaires.
  • les éponges ont colonisé les eaux marines, douces et saumâtres, de profondeurs faibles jusqu'à plus de 5 000 m de fond, sous tous les climats.
  • Elles ont une importante action dans la filtration de l'eau.
  • Elles peuvent avoir un port rampant (forme encroûtante) ou dressé (en coupe, en amphore, en boule ou ramifiée)
  • Chez les espèces ramifiées, les rameaux peuvent se disposer
                                                en touffe = formation de ramification dans tous les plans de l'espace
                                            ou sur un seul plan = forme en éventail
    => les rameaux peuvent rester isolés, ou s'anastomose
  • généralement colorées, en jaune, brun, rose, rouge, violet, bleu ou vert / mais aussi blanches ou blanc grisâtre

=> La coloration peut être due à

     des pigments, mais aussi à des sels métalliques  OU 
   des algues ou bactéries symbiotes = association intime et durable entre deux organismes hétérospécifiques  (espèces différentes)    
                                                                               
  • forment l'organisation la plus simple => colonies de cellules peu différenciées, sans agencement fixe
  • possèdent ni appareil génital, ni appareil respiratoire!
  • Le système nerveux est très primitif et diffus.
  • Elles ne possèdent ni bouche, ni anus, ni d'ailleurs aucun organe différencié.!
  • fonctionnalité essentielle acquise: la capacité qu'ont leurs cellules de se spécialiser et de vivre en société
  • La capacité pour des cellules de se différencier suivant leur position dans un groupe est déjà observable chez les protozoaires, mais les éponges systématisent cette organisation, et la rendent permanente.
  • différents groupes d'éponge se caractérisent par la nature du squelette interstitiel que ces colonies utilisent pour acquérir une structure plus rigide: calcaire, chitine ou silice.
  • L'avantage sélectif d'une structure rigide est dans la protection qu'elle apporte = plus difficile à brouter pour un prédateur
  • Ce squelette interne, qui apporte à l'animal une certaine fermeté, est cependant généralement souple et permet à l'éponge de s'adapter aux contraintes de l'environnement.


REPRODUCTION

Les éponges peuvent être gonochoriques (cas général chez les éponges calcaires) ou hermaphrodites (cas général chez les éponges siliceuses). Les gamètes (spermatozoïdes et ovules) proviennent de la différenciation de certains amibocytes[2]. Selon d'autres auteurs, ils proviendraient d'amibocytes ou de choanocytes dédifférenciés[9].

Si, dans ce groupe, la spermatogenèse est classique, l'ovogenèse présente des particularités. Lorsque les ovocytes I sont formés, chacun s'associe à deux choanocytes dédifférenciés qui seront annexés par l'ovocyte.

Autre particularité, les éponges présentent une fécondation indirecte : les spermatozoïdes, expulsés par un individu et ayant pénétré dans une autre éponge, seront capturés par des choanocytes différenciés. Ces derniers se dédifférencient en archéocytes, deviennent alors mobiles, pénètrent dans la mésoglée où se trouvent les ovules, et y transportent les spermatozoïdes.

Les éponges sont le plus souvent vivipares : après la fécondation, l’œuf se développe dans la mésoglée puis devient une larve nageuse (larve amphiblastula chez la plupart des espèces, ou parenchymula chez certaines éponges siliceuses), recouverte de flagelles, qui est libérée dans le milieu extérieur. La faible proportion de larves qui réussissent à survivre vont se fixer sur un support et se métamorphoser en éponge adulte[2].

  • Reproduction asexuée

Les éponges peuvent aussi se reproduire ainsi de façon asexuée. Des fragments détachés peuvent reformer une éponge entière (voir le paragraphe "Régénération"). Elles peuvent aussi produire des bourgeonnements de cellules indifférenciées, protégées par une coque solide, l'ensemble étant appelé gemmule (sauf chez certaines Hexactinellides, où ces "bourgeons" possèdent des cellules déjà différenciées et sont appelées sorites). Les gemmules (ou sorites) sont généralement libérées à la mort de l'individu et, si les conditions sont favorables, s'ouvriront et donneront de nouveaux individus[2].