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observations des bonobos surprenantes, les bonobos chassent du gibier. | Les observations alimentaires faites sur des bonobos sont surprenantes, en effet, peu de gens se doutent que les bonobos chassent du gibier. De plus, la répartition de nourriture se fait entre femelles. Leur évolution a été différente de la notre ainsi que des autres grands singes en général. Chez l'homme, la division du travail a été faite selon les sexes, rendant les mâles chasseurs et les femelles ''éleveuses des enfants'' :/. Chez les bonobos, les rôles sont inversés. Une hypothèse concernant leur évolution est que leur environnement a été particulièrement favorable en alimentation. De ce fait, la chasse perd de son importance et il n'y a pas besoin de mâles pour l'exercer, et des alliances entre femelles sont rendues possibles. En conséquence, l'agressivité essentielle pour la chasse n'est donc plus nécessaire ce qui expliquerait l'absence d'agressivité chez les bonobos. | ||
Pourtant, des observations ont mené au fait que les bonobos se nourrissent de viande. | Pourtant, des observations ont mené au fait que les bonobos se nourrissent de viande, impliquant de la chasse. L'évolution amicale entre bonobos est donc surprenante.<br> | ||
Chez les bonobos, les femelles ont tendance a se déplacer de groupe en groupe, mélangeant ainsi leur génétique. Contrairement aux mâles qui restent plus favorablement dans le groupe dans lequel ils sont nés toute leur vie. Hors la parenté apporte normalement un lien favorisant la coopération entre individus. Cependant, ce schéma ne correspond pas au mode de vie des bonobos. Le comportement des individus et leurs affinités pour certains autres primates a une plus haute valeur que la parenté. En effet, les relations entre femelles sont plus soudées que celles entre mâles, malgré la non parenté de celles-ci. C'est peut être ces liens établis entre femelles par leur comportement qui les permettent de se procurer de la nourriture plus facilement, de ce fait les rendent dominantes. | |||
Chez les bonobos, les femelles ont tendance a se déplacer de groupe en groupe, mélangeant ainsi leur génétique. Contrairement aux mâles qui restent plus favorablement dans le groupe dans lequel ils sont nés toute leur vie. Hors la parenté apporte normalement un lien favorisant la coopération entre individus. Cependant, ce schéma ne correspond pas au mode de vie des bonobos. Le comportement des individus et leurs affinités pour certains autres primates a une plus haute valeur que la parenté. En effet, les relations entre femelles sont plus soudées que celles entre mâles, malgré la non parenté de celles-ci. C'est peut être ces liens établis entre femelles par leur comportement qui les permettent de se procurer de la nourriture plus facilement, de ce fait les rendent dominantes.<br> | |||
La différence physique entre les mâles et les femelles n'est pas grande. Chez la plupart des autres espèces, les différences physiques suppose une sélection intrasexuelle. C'est à dire qu'il y a une compétition entre mâles pour l'accès aux femelles. Mais chez les Bonobos, cette compétition n'a pas eu lieu car ce sont les femelles qui ont le monopole. | La différence physique entre les mâles et les femelles n'est pas grande. Chez la plupart des autres espèces, les différences physiques suppose une sélection intrasexuelle. C'est à dire qu'il y a une compétition entre mâles pour l'accès aux femelles. Mais chez les Bonobos, cette compétition n'a pas eu lieu car ce sont les femelles qui ont le monopole. | ||
Une étude à été faite pour essayer de comprendre pourquoi la domination des mâles n'a pas lieu chez les bonobos. Elle analysait le moment de fertilité des femelles à celui où leur organes génitaux étaient gonflés servant à montrer aux mâles le bon moment d'accouplement. Leur observation ont montré que ces deux moments n'étaient pas bien synchronisés ce qui obligerait les mâles à rester 10 jours avec les femelles pour les monopoliser, ce qui est impossible, la période est trop longue. | Une étude à été faite pour essayer de comprendre pourquoi la domination des mâles n'a pas lieu chez les bonobos. Elle analysait le moment de fertilité des femelles à celui où leur organes génitaux étaient gonflés servant à montrer aux mâles le bon moment d'accouplement. Leur observation ont montré que ces deux moments n'étaient pas bien synchronisés ce qui obligerait les mâles à rester 10 jours avec les femelles pour les monopoliser, ce qui est impossible, la période est trop longue. |
Version du 20 mars 2018 à 13:15
Résumé de l'article
Les observations alimentaires faites sur des bonobos sont surprenantes, en effet, peu de gens se doutent que les bonobos chassent du gibier. De plus, la répartition de nourriture se fait entre femelles. Leur évolution a été différente de la notre ainsi que des autres grands singes en général. Chez l'homme, la division du travail a été faite selon les sexes, rendant les mâles chasseurs et les femelles éleveuses des enfants :/. Chez les bonobos, les rôles sont inversés. Une hypothèse concernant leur évolution est que leur environnement a été particulièrement favorable en alimentation. De ce fait, la chasse perd de son importance et il n'y a pas besoin de mâles pour l'exercer, et des alliances entre femelles sont rendues possibles. En conséquence, l'agressivité essentielle pour la chasse n'est donc plus nécessaire ce qui expliquerait l'absence d'agressivité chez les bonobos.
Pourtant, des observations ont mené au fait que les bonobos se nourrissent de viande, impliquant de la chasse. L'évolution amicale entre bonobos est donc surprenante.
Chez les bonobos, les femelles ont tendance a se déplacer de groupe en groupe, mélangeant ainsi leur génétique. Contrairement aux mâles qui restent plus favorablement dans le groupe dans lequel ils sont nés toute leur vie. Hors la parenté apporte normalement un lien favorisant la coopération entre individus. Cependant, ce schéma ne correspond pas au mode de vie des bonobos. Le comportement des individus et leurs affinités pour certains autres primates a une plus haute valeur que la parenté. En effet, les relations entre femelles sont plus soudées que celles entre mâles, malgré la non parenté de celles-ci. C'est peut être ces liens établis entre femelles par leur comportement qui les permettent de se procurer de la nourriture plus facilement, de ce fait les rendent dominantes.
La différence physique entre les mâles et les femelles n'est pas grande. Chez la plupart des autres espèces, les différences physiques suppose une sélection intrasexuelle. C'est à dire qu'il y a une compétition entre mâles pour l'accès aux femelles. Mais chez les Bonobos, cette compétition n'a pas eu lieu car ce sont les femelles qui ont le monopole. Une étude à été faite pour essayer de comprendre pourquoi la domination des mâles n'a pas lieu chez les bonobos. Elle analysait le moment de fertilité des femelles à celui où leur organes génitaux étaient gonflés servant à montrer aux mâles le bon moment d'accouplement. Leur observation ont montré que ces deux moments n'étaient pas bien synchronisés ce qui obligerait les mâles à rester 10 jours avec les femelles pour les monopoliser, ce qui est impossible, la période est trop longue. Comparé aux autres espèces, les bonobos ne se partagent pas leur nourriture entre individus parentés mais principalement entre femelles. Une hypothèse sur cette évolution est que le partage favoriserait les relations. Une étude à démontré que le partage de nourriture augmenterai la libération d'ocytocine ce qui facilite le lien entre individus.Comme les femelles voyagent de groupe en groupe, une bonne cohésion est importante pour la communauté. La nourriture est donc une sorte d'outil politique et les mâles ne sont pas les piliers de ces relations. Le regard est un signe très important pour les relations entre bonobos. Il est un signe d’intérêt pour l'autre et de mendicité. Ce qui va placer une échelle de pouvoir dans le groupe. Pour les mâles, il est souvent tourné vers les femelles dominantes car ce sont à la vue de organes génitaux que les bonobos vont vouloir s'accoupler. Les mâles ont aussi tendance à entretenir des relations avec des femelles enceintes ou allaitantes. Cette tolérance donne aux mâles plus de chance d'avoir une relation par la suite avec la femelles. De ce fait, les mâles tolérants ont été sélectionné génétiquement contrairement à la plupart des autres espèces où c'est la puissance physique qui crée la sélection. Les femelles ont donc acquis leur domination grâce au faible signal de leur fertilité et la sociabilité entre individus non parentés par le partage et la mendicité.
typologie de l'espèce
description de l’espèce
explications, interprétations et série d’hypothèses
Raiana
Pan Paniscus autrement connu sous le nom de Bonobo ou Chimpanzé nain est une espèce qui vit en république démocratique du Congo. On estime qu'il y aurait environ entre 15000 et 20000 individus.
Dût "à l'absence de signal fiable de la fertilité des femelles" dimorphisme sexuel(à préciser), étude sur le gonflement des organes génitaux femelles lié à la fertilité? partage de nourriture = arme politique (ocytocine) mâles tolérants + de facilité à s'intégrer dans le groupe' (donc se reproduire) peu agressifs modèle fusion-fission liens hiérarchiques en fonction d'actes amicaux grégaarisme
Le dimporhisme sexuel Les m^les se différencient des femelles par leur taille et leurs canines un peu plus prononcées.
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vit en république démocratique du congo (10'000 -30'000 individus)
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sens du partage
mauvais nageur
utilisation d'outils
40 à 60 ans (captivité)
98.7 % adn partagé avec l'homme
Sophie
Ambrine
Questions:
qu'est ce qui différencie les bonobos des autres grands singes?
- mangent de la viande
- sont doux
- femelles supérieur aux mâles
- femelles migrent de groupe en groupe alors que les mâles sont fixes
Quelles sont leurs particularités (génétiques?)
Résumé de l'article:
observations des bonobos surprenantes, les bonobos chassent du gibier. La répartition de nourriture se fait entre femelles. Leur évolution a été différente de la notre ainsi que des autres grands singes en général. Chez l'homme, la division du travail a été faite selon les sexes, rendant les mâles chasseurs et les femelles éleveuses des enfants. Chez les bonobos, les rôles sont inversés.
Une hypothèse concernant leur évolution différente est que leur environnement aurait été particulièrement favorable en alimentation. De ce fait, la chasse perd de son importance et il n'y a pas le besoin de mâles pour l'exercer, et des alliances entre femelles auraient été possibles. En conséquence, l'agressivité nécessaire pour la chasse n'est donc plus nécessaire ce qui expliquerait l'absence d'agressivité chez les bonobos.
Pourtant, des observations ont mené au fait que les bonobos se nourrissent de viande. Que ce soit pour le partage de viande ou de fruits, ce sont les femelles qui dirigent l'opération.
Chez les bonobos, les femelles ont tendance a se déplacer de groupe en groupe, mélangeant ainsi leur génétique. Contrairement aux mâles qui restent plus favorablement dans le groupe dans lequel ils sont nés toute leur vie. Hors la parenté apporte normalement un lien favorisant la coopération entre individus. Cependant, ce schéma ne correspond pas au mode de vie des bonobos. Le comportement des individus et leurs affinités pour certains autres primates a une plus haute valeur que la parenté. En effet, les relations entre femelles sont plus soudées que celles entre mâles, malgré la non parenté de celles-ci. C'est peut être ces liens établis entre femelles par leur comportement qui les permettent de se procurer de la nourriture plus facilement, de ce fait les rendent dominantes.
La différence physique entre les mâles et les femelles n'est pas grande. Chez la plupart des autres espèces, les différences physiques suppose une sélection intrasexuelle. C'est à dire qu'il y a une compétition entre mâles pour l'accès aux femelles. Mais chez les Bonobos, cette compétition n'a pas eu lieu car ce sont les femelles qui ont le monopole.
Une étude à été faite pour essayer de comprendre pourquoi la domination des mâles n'a pas lieu chez les bonobos. Elle analysait le moment de fertilité des femelles à celui où leur organes génitaux étaient gonflés servant à montrer aux mâles le bon moment d'accouplement. Leur observation ont montré que ces deux moments n'étaient pas bien synchronisés ce qui obligerait les mâles à rester 10 jours avec les femelles pour les monopoliser, ce qui est impossible, la période est trop longue.
Comparé aux autres espèces, les bonobos ne se partagent pas leur nourriture entre individus parentés mais principalement entre femelles. Une hypothèse sur cette évolution est que le partage favoriserait les relations. Une étude à démontré que le partage de nourriture augmenterai la libération d'ocytocine ce qui facilite le lien entre individus.Comme les femelles voyagent de groupe en groupe, une bonne cohésion est importante pour la communauté. La nourriture est donc une sorte d'outil politique et les mâles ne sont pas les piliers de ces relations.
Le regard est un signe très important pour les relations entre bonobos. Il est un signe d’intérêt pour l'autre et de mendicité. Ce qui va placer une échelle de pouvoir dans le groupe. Pour les mâles, il est souvent tourné vers les femelles dominantes car ce sont à la vue de organes génitaux que les bonobos vont vouloir s'accoupler.
Les mâles ont aussi tendance à entretenir des relations avec des femelles enceintes ou allaitantes. Cette tolérance donne aux mâles plus de chance d'avoir une relation par la suite avec la femelles. De ce fait, les mâles tolérants ont été sélectionné génétiquement contrairement à la plupart des autres espèces où c'est la puissance physique qui crée la sélection. Les femelles ont donc acquis leur domination grâce au faible signal de leur fertilité et la sociabilité entre individus non parentés par le partage et la mendicité.
Pourquoi le partage de nourriture est une chose importante chez les Bonobos?
Le partage est un concept très important chez les Bonobos femelles. Ces dernières se partagent essentiellement la nourriture entre elles, ce qui est peu commun car à travers le règne animal, les individus ont tendance à pratiquer le partage par parentèle. (Pour expliquer cela, certains scientifiques avancent l’hypothèse du "vol toléré": un individu accepte de délaisser une partie de sa ressource pour gagner du temps et ainsi profiter d'une part importante (?). Cela correspond plus ou moins à un échange contre de la nourriture pour, par exemple, avoir accès à un partenaire ou se faire débarrasser de ses poux. Le partage de nourriture augmenterait aussi la libération d'ocytocine. Cette hormone jouerait un rôle important dans les relations sociales entre les individus et serait donc la clé pour
Chez les bonobos, les mâles
- fission-fusion