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==Aspects==
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===Raisonnement===
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Tout d'abord, Svante s'interesse au sujet de la contamination afin d'améliorer ses recherches sur l'ADN ancien. Svante souhaite effectuer des recherches sur l'ADN chez les humains anciens. En effet, il s'agirait de s'intéresser aux humains de l'âge du bronze dans des tourbières du Danemark et de  l'allemagne du Nord. Svante comprend en s'intéressant sur ce domaine que ce dernier, que ces cadavres ont été conservés car l'acidité des tourbières les ont tannés. Cependant les milieux acides provovoques des pertes de nucléotides et des ruptures de brins empêchant ainsi une bonne conserveation de l'ADN. En outre, du fait qu'on peut facilement trouver de l'ADN humain dans les restes d'animaux, cela pose une difficulté encore plus importante, car cela siginifie qu'il pourrait s'agire d'ADN d'animaux anciens ayant été contaminé par l'ADN d'humain. En raison de ces difficultés, Svante décide de focaliser ses recherches sur l'ADN ancien d'animaux. Plus précisement sur l'ADN de mammouths en Sibérie. Cependant l'ADN obtenu après les nombreuses tentatives est toujours contaminé avec de l'ADN humain. Svante comprend donc qu'il n'appréhende pas le prblème de la contamination de la bonne manière. Il décide dès lors que l'extraction et la manipulation de l'ADN venant de tissus anciens doivent complètement séparées de toutes autres expériences menées au laboratoire. Par ailleurs, Svante et son équipe décident de transformer leur laboratoire en salle blanche en instaurant divers outils qui sont présenter dans la partie "technologies" de ce chapitre.
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La globalité du travail de Svante et son équipe porte sur les tissus mous comme la peau et les muscles. Svante se dit que s'ils arrivent à extraire de l'ADN ancien des os et non seulement des muscles, cela apporterait de nombreuses possibilités, car les restes d'individus se trouvent généralement sous forme d'os. Cette réflexion mène Svante et de ses collaborateurs, Matthias à développer une nouvelle méthode d'extraction (c.f. Technologies). Ils utilisent ensuite cette méthode d'extraction pour extraire des séquences d'ADN de mammouths de Sibérie, en travaillant sur quantre animaux vieux. Cette extraction leur permet par la suite d'éclaircir les les liens de parenté du mammouth avec les membres vivants du même ordre et de retracer l'histoire des mamomouths au pléistocène supérieur jusqu'à leur extinction.
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Svante s'intéresse ensuite sur des recherches menées par d'autres scientifiques. Il s'intéresse tout d'abord sur la publication faite par des scientifiques de l'université de Californie. Cette dernière consiste d'une séquence d'ADN extraite de feuilles de Magnolia Latahensis découvertes dans un dépôt datant du miocène et vielles de 17 millions d'années. Cette publication est un exploit majeur qui suggère que Svante et son équipe peuvent étudier l'évolution de l'ADN sur des millions d'années mais et peut-être jusqu'aux dinosaures. Mais le scepticisme de Svante, l'empêche de croire que l'ADN peut en effet survivre des millions d'années. <br>
Svante, Allan et Lindhal effectue donc quelques extrapolations simples afin de déterminer combien de temps l'ADN peut subsister en présence d'eau, dans des conditions ni trop chaudes, ni trop froides, ni trop alcalines et ni trop acides.
===Technologies de laboratoire===
===Technologies de laboratoire===
===Nature des sciences===
===Nature des sciences===

Version du 25 novembre 2017 à 12:25

Chapitre n°XX, Titre du chapitre et prénoms des élèves

Le chapitre en deux mots


Ce chapitre s'intéresse particulièrement au sujet de la contamination. Svante Paäbo tente tout d'abord d'améliorer ses recherches sur l'ADN ancien en diminuant la probabilité de contamination qui est l'un des enjeux de la recherche sur ce domaine (Domaine de l'ADN ancien). Svante et son équipe instaurent donc divers régluations et méthodes pour limiter la probabilité de contamination. Une fois cette étape accomplie, il se focalise de nouveau sur l'ADN ancien d'animaux, car les recherches sur l'ADN ancien d'humain sont trop fastidieuses. Par la suite, Svante s'intéresse aux divers recherches menées par d'autres scientifiques concernant l'ADN ancien. Il s'agit de recherches menées sur les végétaux fossiles et sur l'ambre. Svante questionne les résultats de ces deux recherches. En effet, il prouve que les résultats de ces derniers sont erronés, car il s'agit probablement de contamination.

Mots clés

-Contamination
-Extraction
-ADNmt
-PCR
-Végétaux fossiles
-Ambre

Aspects

Raisonnement

Tout d'abord, Svante s'interesse au sujet de la contamination afin d'améliorer ses recherches sur l'ADN ancien. Svante souhaite effectuer des recherches sur l'ADN chez les humains anciens. En effet, il s'agirait de s'intéresser aux humains de l'âge du bronze dans des tourbières du Danemark et de l'allemagne du Nord. Svante comprend en s'intéressant sur ce domaine que ce dernier, que ces cadavres ont été conservés car l'acidité des tourbières les ont tannés. Cependant les milieux acides provovoques des pertes de nucléotides et des ruptures de brins empêchant ainsi une bonne conserveation de l'ADN. En outre, du fait qu'on peut facilement trouver de l'ADN humain dans les restes d'animaux, cela pose une difficulté encore plus importante, car cela siginifie qu'il pourrait s'agire d'ADN d'animaux anciens ayant été contaminé par l'ADN d'humain. En raison de ces difficultés, Svante décide de focaliser ses recherches sur l'ADN ancien d'animaux. Plus précisement sur l'ADN de mammouths en Sibérie. Cependant l'ADN obtenu après les nombreuses tentatives est toujours contaminé avec de l'ADN humain. Svante comprend donc qu'il n'appréhende pas le prblème de la contamination de la bonne manière. Il décide dès lors que l'extraction et la manipulation de l'ADN venant de tissus anciens doivent complètement séparées de toutes autres expériences menées au laboratoire. Par ailleurs, Svante et son équipe décident de transformer leur laboratoire en salle blanche en instaurant divers outils qui sont présenter dans la partie "technologies" de ce chapitre.

La globalité du travail de Svante et son équipe porte sur les tissus mous comme la peau et les muscles. Svante se dit que s'ils arrivent à extraire de l'ADN ancien des os et non seulement des muscles, cela apporterait de nombreuses possibilités, car les restes d'individus se trouvent généralement sous forme d'os. Cette réflexion mène Svante et de ses collaborateurs, Matthias à développer une nouvelle méthode d'extraction (c.f. Technologies). Ils utilisent ensuite cette méthode d'extraction pour extraire des séquences d'ADN de mammouths de Sibérie, en travaillant sur quantre animaux vieux. Cette extraction leur permet par la suite d'éclaircir les les liens de parenté du mammouth avec les membres vivants du même ordre et de retracer l'histoire des mamomouths au pléistocène supérieur jusqu'à leur extinction.

Svante s'intéresse ensuite sur des recherches menées par d'autres scientifiques. Il s'intéresse tout d'abord sur la publication faite par des scientifiques de l'université de Californie. Cette dernière consiste d'une séquence d'ADN extraite de feuilles de Magnolia Latahensis découvertes dans un dépôt datant du miocène et vielles de 17 millions d'années. Cette publication est un exploit majeur qui suggère que Svante et son équipe peuvent étudier l'évolution de l'ADN sur des millions d'années mais et peut-être jusqu'aux dinosaures. Mais le scepticisme de Svante, l'empêche de croire que l'ADN peut en effet survivre des millions d'années.
Svante, Allan et Lindhal effectue donc quelques extrapolations simples afin de déterminer combien de temps l'ADN peut subsister en présence d'eau, dans des conditions ni trop chaudes, ni trop froides, ni trop alcalines et ni trop acides.

Technologies de laboratoire

Nature des sciences

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