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==Aspects==
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===Raisonnement===
===Raisonnement===
<br> Il y a de l'ADNmt présent dans le génome nucléaire. Il est donc utile d'essayer d'analyser l'ADN nucléaire, en l'amplifiant. Svante Pääbo propose tout d'abord une approche brute sous plusieurs étapes; commencer par tester des échantillons, repérer les plus grandes quantités d'ADNmt, faire de plus gros prélèvements et finir extraire l'ADN pour ne prendre que l'ADN nucléaire.<br> Un de ces postdoc teste son idée en extrayant de l'ADN des ours des cavernes croates, vieux de 30000 à 40000 ans pour le comparer à celui de l'ours moderne. Il essaie ensuite à mainte reprises d'amplifier de courts fragments d'ADN nucléaire, et au fur et à mesure des fragments de plus en plus courts, en vain. Pendant plusieurs semaines l'amplification ne donne aucun résultats. Ils supposent donc, que cela est dû au conditions désavantageuses pour que l'ADN nucléaire survive pendant toutes ces années. Ils analysent donc des restes de mammouths gelés, qui ont vécu pendant la période du permafrost. Au cours des années précédente, il a toujours collecté des os anciens dans différents musées. Afin de faciliter la recherche, ils se focalisent un segment du génome nucléaire contenant un gène codant l'ARN appartenenant au ribosome, que l'on trouve en grand nombre dans une cellule.
<br>Dans ce chapitre, Svante Pääbo se concentre sur le génome nucléaire. En effet, L'ADNmt peut s'étendre jusqu'à celui-ci. Il serait donc possible d'en récupérer à partir du génome nucléaire. Un de ses nouveaux postdocs tente alors d'amplifier de courts fragments d'ADN nucléaire d'os provenant d'ours des cavernes croates vieux d'entre 30000 à 40000ans. Cette amplification aurait pour but de comparer cet ADNmt à celui de l'ours moderne. Cependant, il n'obtient aucun résultat. Il essaie donc d'utiliser davantage d'os, cependant cela donne rien non plus. Ils décident donc de tester des restes de mammouth venant du permafrost qui se seraient bien conservés avec le temps, dans le but d'en savoir plus sur la survie de l'ADN nucléaire pendant plusieurs milliers d'années. Ils ont décidé de tester une dent de mammouth, que Svante Pääbo avait collecté dans différents musées, qui contenait une quantité importante d'ADNmt. Ils ont pu trouvé un gène très avantageux qui se trouvaient en nombre aussi abondant que l'ADN mitochondrial si l'ADN nucléaire avait survécu.


===Technologies de laboratoire===
===Technologies de laboratoire===

Version du 23 novembre 2017 à 11:40

Chapitre n°9, Essais nucléaire Sahra et Clara

Le chapitre en deux mots


Amplification de l'ADN nucléaire

Mots clés


génome nucléaire
amplification
ours des cavernes
permafrost
positions hétérozygotes

Aspects

Raisonnement


Dans ce chapitre, Svante Pääbo se concentre sur le génome nucléaire. En effet, L'ADNmt peut s'étendre jusqu'à celui-ci. Il serait donc possible d'en récupérer à partir du génome nucléaire. Un de ses nouveaux postdocs tente alors d'amplifier de courts fragments d'ADN nucléaire d'os provenant d'ours des cavernes croates vieux d'entre 30000 à 40000ans. Cette amplification aurait pour but de comparer cet ADNmt à celui de l'ours moderne. Cependant, il n'obtient aucun résultat. Il essaie donc d'utiliser davantage d'os, cependant cela donne rien non plus. Ils décident donc de tester des restes de mammouth venant du permafrost qui se seraient bien conservés avec le temps, dans le but d'en savoir plus sur la survie de l'ADN nucléaire pendant plusieurs milliers d'années. Ils ont décidé de tester une dent de mammouth, que Svante Pääbo avait collecté dans différents musées, qui contenait une quantité importante d'ADNmt. Ils ont pu trouvé un gène très avantageux qui se trouvaient en nombre aussi abondant que l'ADN mitochondrial si l'ADN nucléaire avait survécu.

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