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La tête d’un gastéropode contient des centres nerveux ganglionnaires qui se sont disoersés à travers le corps. Typiquement, ces centres consistent en une paire de ganglions cérébroïdes réunis par une commissure au-dessus de l’œsophage, une paire de ganglions sous-oesophagiens, ou pédieux, liés l’un à l’autre par une commissure sous œsophagienne et attachées latéralement aux ganglions cérébroïdes, et aussi à deux ganglions pleuraux, ou palléaux qui, postérieurs aux cérébroïdes, leur sont unis par une paire de connectifs cérébro-pleuraux. De ces centres supérieurs part l’anse nerveuse viscérale sur laquelle se différencient certains ganglions. Il est à noter que chez les gastéropodes la torsion a pour effet de déformer en 8 (streptoneurie) l’anse viscérale lorsqu’elle n’est pas trop réduite (euthyneurie). Chez les gastéropodes on observe deux tendances : la tendance à la céphalisation, par regroupement des ganglions dans le territoire céphalique, ce qui peut être le résultat du raccourcissement de l’anse viscérale ; la tendance à la cérébralisation, c’est-à-dire à la coalescence et à la fusion des centres nerveux dans le même territoire.
La tête d’un gastéropode contient des centres nerveux ganglionnaires qui se sont disoersés à travers le corps. Typiquement, ces centres consistent en une paire de ganglions cérébroïdes réunis par une commissure au-dessus de l’œsophage, une paire de ganglions sous-oesophagiens, ou pédieux, liés l’un à l’autre par une commissure sous œsophagienne et attachées latéralement aux ganglions cérébroïdes, et aussi à deux ganglions pleuraux, ou palléaux qui, postérieurs aux cérébroïdes, leur sont unis par une paire de connectifs cérébro-pleuraux. De ces centres supérieurs part l’anse nerveuse viscérale sur laquelle se différencient certains ganglions. Il est à noter que chez les gastéropodes la torsion a pour effet de déformer en 8 (streptoneurie) l’anse viscérale lorsqu’elle n’est pas trop réduite (euthyneurie). Chez les gastéropodes on observe deux tendances : la tendance à la céphalisation, par regroupement des ganglions dans le territoire céphalique, ce qui peut être le résultat du raccourcissement de l’anse viscérale ; la tendance à la cérébralisation, c’est-à-dire à la coalescence et à la fusion des centres nerveux dans le même territoire.


La respiration : Elle est assurée par des branchies logées dans la cavité palléale chez les espèces aquatiques, par un "poumon", cavité à plafond très vascularisé, chez les gastéropodes pulmonés terrestres. La cavité pulmonaire a vraisemblablement une origine distincte de la cavité palléale. Plusieurs gastéropodes inférieurs respirent par deux branchies mais, par suite de la torsion, une seule subsiste dans les formes plus évoluées.
L’appareil circulatoire : Il n’est pas clos car entre les artères fournies par l’aorte et les voies de retour au cœur s’interposent, non des capillaires, mais des sinus et des lacunes. Le cœur comprend un ventricule et une ou deux oreillettes.
L’appareil excréteur : Il est représenté par une seule paire, ou même un seul rein chez de nombreux gastéropodes.


'''Quel est leur système sensoriel'''  
'''Quel est leur système sensoriel'''  

Version du 20 janvier 2008 à 13:32

Qu’est ce qu’un mollusque ?

Tous les thèmes généraux doivent être traités ; il manque les échanges gazeux, le système nerveux et sensoriel, la reproduction et le transport interne.

Relecture pour les fautes d'orthographe

Les mollusques (du latin mollis,= mou) sont un embranchement du règne animal. Les mollusques sont des animaux non segmentés (invertébrés), à symétrie bilatérale et à corps mou. Ils sont le plus souvent protégés par une coquille. Leur corps se compose généralement d'une tête, d'une masse viscérale, et d'un pied. La masse viscérale est recouverte en tout ou partie par une coquille calcaire. L'embranchement contient plus de 130 000 espèces dont certaines sont très fréquemment consommées par l'homme. Certains mollusques peuvent secréter des perles en recouvrant de nacre les éléments irritants qui s'introduisent dans leur coquille.

Les mollusques sont les animaux les plus évolués parmi les invertébrés. L'habitat et l'alimentation sont très différentes selon les espèces.



ChloeB 19 janvier 2008 à 12:46 (MET)

Quels sont les différents groupes de mollusque ?

Il existe en fait 7 groupes de mollusques, mais les 3 principaux sont:

  • Les gastéropodes existe depuis 510 millions d'années
  • Les bivalves existe depuis 530 millions d'années
  • Les céphalopodes existe depuis 505 millions d'années

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ChloeB 20 janvier 2008 à 12:02 (MET)

Les gastéropodes

Quelles sont leurs caractéristiques ?

La plupart des gastéropodes se composent d'une coquille spiralée ; d'autres ont une coquille interne, quelques-uns n'en possèdent plus. La coquille est formée de trois couches : le périostracum uniquement protéique et superficiel, l’ostracum ou "couches des prismes" formés de carbonates de calcium (CaCO3) à axe perpendiculaire à la surface de la coquille entouré d'une couche de la nacre constitué par alternance de lamelle de CaCO3 et de protéines. Les yeux se trouvent au bout de tentacules situés sur une tête qui se distingue du reste du corps.


Quel est leur système nerveux

La tête d’un gastéropode contient des centres nerveux ganglionnaires qui se sont disoersés à travers le corps. Typiquement, ces centres consistent en une paire de ganglions cérébroïdes réunis par une commissure au-dessus de l’œsophage, une paire de ganglions sous-oesophagiens, ou pédieux, liés l’un à l’autre par une commissure sous œsophagienne et attachées latéralement aux ganglions cérébroïdes, et aussi à deux ganglions pleuraux, ou palléaux qui, postérieurs aux cérébroïdes, leur sont unis par une paire de connectifs cérébro-pleuraux. De ces centres supérieurs part l’anse nerveuse viscérale sur laquelle se différencient certains ganglions. Il est à noter que chez les gastéropodes la torsion a pour effet de déformer en 8 (streptoneurie) l’anse viscérale lorsqu’elle n’est pas trop réduite (euthyneurie). Chez les gastéropodes on observe deux tendances : la tendance à la céphalisation, par regroupement des ganglions dans le territoire céphalique, ce qui peut être le résultat du raccourcissement de l’anse viscérale ; la tendance à la cérébralisation, c’est-à-dire à la coalescence et à la fusion des centres nerveux dans le même territoire.


La respiration : Elle est assurée par des branchies logées dans la cavité palléale chez les espèces aquatiques, par un "poumon", cavité à plafond très vascularisé, chez les gastéropodes pulmonés terrestres. La cavité pulmonaire a vraisemblablement une origine distincte de la cavité palléale. Plusieurs gastéropodes inférieurs respirent par deux branchies mais, par suite de la torsion, une seule subsiste dans les formes plus évoluées.

L’appareil circulatoire : Il n’est pas clos car entre les artères fournies par l’aorte et les voies de retour au cœur s’interposent, non des capillaires, mais des sinus et des lacunes. Le cœur comprend un ventricule et une ou deux oreillettes.

L’appareil excréteur : Il est représenté par une seule paire, ou même un seul rein chez de nombreux gastéropodes.

Quel est leur système sensoriel

Les Gastéropodes possèdent des photorécepteurs bien définis. Ces yeux sont localisés à la région céphalique consistent en vésicules à fond tapissé d'une couche de cellules rétiniennes; mais les vésicules (organe creux) elles-mêmes sont ouvertes vers l'extérieur (Haliotis, Fissurelle, Patelle) et remplies d'une masse de sécrétion qui joue le rôle de cristallin, ou closes et plus ou moins perfectionnées. Elles sont portées par des tentacules, les yeux des Gastéropodes supérieurs, subsphériques, sont bien caractérisés par une assise de cellules rétiniennes disposées en une cupule qui contient un cristallin et un corps vitré. En face de ces yeux, le tégument forme une cornée transparente doublée vers l'extérieur d'une couche conjonctive de cellules transparentes, très réfringentes.


Comment respirent-ils

Les Gastéropodes ont permis aux Mollusques de s'implanter sur la terre ferme en remplaçant les branchies par des poumons. La plupart des gastéropodes respirent avec des branchies et moins souvent avec des poumons. Les branchies consistent en longs filaments à ciliature définie. Les déplacements de l’eau respiratoire favorisent les échanges gazeux ; ils sont dus aux cils branchiaux. La cavité pulmonaire des pulmonés subit de grandes variations de volume qui provoquent le renouvellement de l’air ; son plafond porte de nombreux vaisseaux sanguins qui convergent vers le cœur ; son plancher se soulève ou se déprime par relaxation ou contraction de la musculature. La respiration cutanée est seulement possible pour les espèces dépourvue de toute formation branchiale ou pulmonaire et se produit aussi chez la plupart des mollusques.



[2]


ChloeB 6 janvier 2008 à 13:00 (MET)

Dans quel milieu vivent-ils ?

Les gastéropodes vivent principalement dans le milieu marin, mais certains groupes ont colonisé les milieux d'eau douce (dulcicoles) et terrestres. Les gastéropodes vivent dans des lieux humides. Ceux qui vivent dans l'eau sont dotés de branchies qui se trouvent dans la cavité palléale, alors que les gastéropodes terrestres ont développés des poumons à la place des branchies de leurs prédécesseurs.


ChloeB 19 janvier 2008 à 12:56 (MET)

Comment se nourrissent-ils ?

Un grand nombre de Gastéropodes sont herbivores et l'autre partie est végétarienne. Leur langue râpeuse qui ramène la nourriture en raclant vers l'arrière leurs permettent de manger différents végétaux, puis la nourriture est transportée par des sillons ciliés vers l'œsophage et le tube digestif.

Ils sont la proie des hérissons et de nombreux oiseaux.


ChloeB 19 janvier 2008 à 13:28 (MET)

Comment se déplacent-ils ?

Les gastéropodes avancent très lentement, ils se déplacent en rampant sur un large pied central musculeux, ce sont les cils et le mucus qui servent à la locomotion. Les Gastéropodes sont les plus évolués par rapport au moyen de locomotion. Ils se déplacent en projetant l'eau qui se trouve dans la cavité du manteau par un siphon. Lors de la contraction des muscles du manteau, l'eau est expulsée et le siphon est orienté de façon à diriger l'animal vers l'endroit voulu.


ChloeB 19 janvier 2008 à 13:32 (MET)

Comment se reproduisent-ils ?

Chez les gastéropodes, le gonochorisme est fréquent, c'est à dire que les animaux sont mâles ou femelles, les sexes sont donc portés par des individus différents. La reproduction est sexuée, cela veut dire que l'on assemble un gamète mâle à un gamète femelle pour former un zygote. Les organes qui produisent les gamètes se développent dans une partie du cœlome appelée la cavité péricardique. Les pulmonés (animaux terrestre) et les opisthobranches (animaux marins) sont hermaphrodites même si l’autofécondation (~la fécondation d'un ovule par du pollen issu de la même plantese) constate chez certains pulmonés. La parthénogenèse, reconnue dans un petit nombre de prosobranches, serait assez fréquente chez une limnée. La fécondation des archaeogastéropodes a lieu en mer après émission des gamètes. L’accouplement des gastéropodes consiste en une copulation typique dans les formes gonochoriques (c'est-à-dire à sexes séparés), mais celui des euthyneures, hermaphrodites, est très souvent réciproque, simultané ou successif. Les œufs fécondés se développent librement en mer mais s’ils sont plus fréquemment déposés dans des oothèques ou inclus dans des cordons de consistance gélatineuse. Ils sont déposés isolément en terre lorsqu’il s'agit de gastéropodes terrestres ou sur des Algues (seiche). Quelques Gastéropodes incubent leurs œufs. A cette fin, les premiers utilisent leurs branchies, les seconds conservent leurs œufs dans l'utérus jusqu'à l'éclosion des jeunes.


ChloeB 19 janvier 2008 à 13:22 (MET)

Les bivalves

Quelles sont leurs caractéristiques ?

les bivalves(appellés aussi lamellibranches)sont des mollusques aquatiques munis d'une coquille à deux valves,symétriques ou non, unies par une charnière. La plupart des bivalves vivent enfouis dans la boue molle, hors de portée des prédateurs.
CatiaC 3 décembre 2007 à 11:01 (MET)

Dans quel milieu vivent-ils ?

Les différents milieux habités par les Bivalves leur imposent des conditions de vie parfois réalisées dans des limites assez étroites. De ce point de vue on doit d'une part distinguer les formes d'eau douce, les formes marines ainsi que celles d'estuaires qui pratiquement sont toutes euryhalines, et d'autre part considérer trois périodes, celle de la vie larvaire, celle de la métamorphose et celle qui marque le développement de l'organisme.
CatiaC 18 décembre 2007 à 13:03 (MET)

Comment se nourrissent-ils ?

La plupart des bivalves sont des organismes filtreurs. Leur système digestif inclut un estomac aux mécanismes de tri ciliaire complexes et qui communique avec des diverticules digestifs complexes (sacs ou tubes glandulaires). Plusieurs groupes possèdent un stylet cristallin (tige translucide qu'ils sécrètent), au milieu du tube digestif ou dans un sac distinct, qui facilite la digestion. Leur intestin est court ou enroulé, et leur système digestif est parfois réduit ou absent. Avec leur mode de nutrition, les bivalves mènent une vie plutôt sédentaire.
CatiaC 18 décembre 2007 à 13:08 (MET)

Comment se déplacent-ils ?

Plusieurs Bivalves ne se déplacent pas du tout, et leur pied est transformé en filaments collants (les byssus) qui servent à attacher l'animal au substrat. Les Bivalves qui vivent dans les sédiments doivent toutefois se déplacer pour éviter d'être enfouis. Leur pied musculeux est utilisé pour tirer l'animal. Le squelette hydrostatique permet de modifier la forme du pied qui peut alors pénétrer dans les sédiments, puis servir de point d'ancrage pour que la contraction des muscles permettent à l'animal de se tirer vers l'avant. Les mollusques
CatiaC 3 décembre 2007 à 11:16 (MET)

Quels sont leurs appareils reproducteurs et comment fonctionnent-ils?

Comment se reproduisent-ils ?

Les céphalopodes

Quelles sont leurs caractéristiques ?

Le mot céphalopode dérive du grec kephalê, tête, et podos, pied. Une grande partie de ce qui est le pied chez les céphalopodes, s’est transformé en bras tentaculaires qui se situent autour de la bouche. L’autre partie du pied s’est transformée en un entonnoir musculeux. Les céphalopodes sont caractérisés par la présence d’une tête avec deux grands yeux, un entonnoir musculeux servant à la locomotion, un bec, et une couronne de tentacules autour de la bouche; ceux-ci sont souvent munis de ventouses. Les organes comme le cœur, les reins, les branchies, l'estomac, les intestins et les organes reproducteurs, sont protégés par une grande cavité interne. Un manteau prolongé par des bras : 8 chez les poulpes (Octopode), alors que les seiches et les calmars en possèdent 8 + 2 tentacules (Décapodes). La bouche possède une radula et un bec qui peut être connecté à une poche à venin. Une poche à encre, situé au dessus de la cavité palléale. Ils possèdent trois cœurs : un cœur central et deux décentralisés, un au niveau de chaque branchie. Un système circulatoire et nerveux évolué (les ganglions nerveux sont centralisés dans un cerveau)


Quel est leur système nerveux

Leur système nerveux consiste en une variété de ganglions qui sont dispersés à travers le corps. Les Céphalopodes sont les seuls Mollusques à posséder un système cardiovasculaire clos ainsi qu'un système nerveux qui contient un cerveau.


Quel est leur système sensoriel

Chez les Céphalopodes, le nautile est celui qui possède les yeux les plus simples. Ces organes de bonne taille ne sont que des vésicules ouvertes par une pupille et à fond occupé par la rétine. L'œil des autres Céphalopodes a une constitution voisine de celui des Mammifères avec cornée, iris, cristallin et forte densité des éléments rétiniens. La question de savoir s'il accommode effectivement dans les conditions naturelles ne semble pas avoir reçu de réponse satisfaisante, bien qu'on ait montré sur des yeux excisés que le cristallin, sphère dure, peut être déplacé vers l'intérieur par action des muscles ciliaires, ou vers l'extérieur, par contraction des muscles de la vésicule oculaire. Quant à la pupille, elle répond normalement aux stimulations lumineuses par ouverture ou par fermeture. Les tentacules et les rhinophores sont des organes tactiles très sensibles. Les tentacules céphaliques, les rhinophores, les siphons et l'organe subradulaire se rapportent au premier type, l'osphradie au second. Tous ces organes sont richement innervés, mais l'osphradie manque, notamment chez les Pulmonés terrestres, où cependant l'olfaction a été reconnue. En réalité, le bord du manteau et les parois du pied sont sensibles à diverses substances chimiques et aux variations de la salinité. Il semble que les siphons soient très sensibles aux « substances d'accouplement» de même qu'aux sécrétions des prédateurs; en ce cas joue le réflexe de fuite.

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ChloeB 19 janvier 2008 à 13:48 (MET)

Dans quel milieu vivent-ils ?

Les Céphalopodes sont des animaux exclusivement marins. Ils ont une répartition mondiale, mais sont absents de la Mer Noire par manque de salinité. Les céphalopodes sont dotés de branchies qui se trouvent dans la cavité palléale.

Les céphalopodes sont pour la plupart capables de mimétisme, c'est à dire qu'ils agissent sur leur apparence pour paraître autrement qu'ils ne le sont aux yeux des autres individus. Ils sont d'ailleurs les espèces qui copient le mieux leur habitat en changeant de couleur.

Les céphalopodes ont une durée de vie courte.

On connait actuellement 650 espèces environs.


ChloeB 6 janvier 2008 à 13:17 (MET)

Comment se nourrissent-ils ?

Les Céphalopodes sont dotés d'une radula comme les gastéropodes, qui ramène la nourriture en raclant vers l'arrière. Les Céphalopodes sont carnivores.


ChloeB 19 janvier 2008 à 13:30 (MET)

Comment se déplacent-ils ?

Les céphalopodes se déplacent, soit par réaction, comme la pieuvre, en projetant vers l'arrière l'eau qu'elle a accumulée dans la poche qui se trouve au milieu de son corps, soit en faisant onduler son corps comme la seiche et le calmar. Les céphalopodes contiennent une glande dans lequel le liquide très foncé, permet à la pieuvre et à la seiche d'envoyer un nuage d'encre qui les rend un moment invisibles, le temps de se cacher.


ChloeB 6 janvier 2008 à 13:14 (MET)

Comment se reproduisent-ils ?