« Discussion:Accueil » : différence entre les versions

De DeWiki
Aller à la navigation Aller à la recherche
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
 
(34 versions intermédiaires par 5 utilisateurs non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
== Ecrivez!!!! ==
* [[Discussion:Accueil/printemps 2011|Archive cours printemps 2011]]
* [[Discussion:Cours 2013-2014|Cours 2013-2014]]


On pense en écrivant, structure, défini, harmonise, échange....
== Ecrivez !!!! Rythme ==


== Proposition de sujets à développer -- [[Utilisateur:DSchneider|DSchneider]] 29 septembre 2010 à 11:38 ==
L'idée  de la méthode Learning by writing, met l'accent sur la pratique de l'écriture comme moyen d'intégrer les connaissances.  En écrivant, on structure sa pensée (en même temps que le texte), on comprend en expliquant. Mais surtout grâce au wiki, on donne à lire et permet ainsi à chacun/e de suivre la pensée de l'autre. Tout cela pour dire qu'il ne fait pas tarder à écrire!


Insérez ici vous propositions
Ce type de démarche nécessite de suivre un  rythme afin d'avancer tous et toutes ensemble. Il ne faut pas attendre la fin du cours pour écrire, retranscrire, poser les questions!!!


==  -- [[Utilisateur:Ruchat|Ruchat]] 3 octobre 2010 à 16:08 (CEST) ==
-- [[Utilisateur:Ruchat|Ruchat]]  13 novembre 2012 à 09:48
 
Ne désirant pas influencer votre perception de l'objet étudié, j'attends impatiemment vos  commentaires et propositions pour avancer des objectifs pour notre atelier wiki. Personnellement, je serais favorable à un approfondissement de cette même thématique, même si elle peut être abordée différemment et avec d'autres acteurs/trices comme il en a été question pendant le cours. A vos "plumes"!
 
== Proposition ==
(F.Tchéraz)
 
Je traîne un peu la patte, désolé, je n'ai pas encore fini de lire l'article de 2010. Par contre j'ai lu celui sur le concept de génération. Personnellement je le trouve un peu vague ce concept. Je vois bien son utilité quand on veut parler d'un groupe de personnes ayant vécu un moment d'historique (et social) d'une façon contemporaine, quand on veut pointer rapidement une époque avec ses protagonistes. C'est peut être un bon moyen de présenter d'une façon "macro" les faits mais est-ce vraiment un instrument de travail suffisamment précis ensuite?
Je vais bien sûr d'abord finir de lire l'article sur les pionniers avant de continuer à déprécier le concept de "génération". Pour ma part, j'ai trouvé l'idée de travailler sur le concept d'"intégration" très intéressante : son apparition, son acception au fil du temps (pourquoi d'abord des institutions - est-ce que les institutions reconduisent réellement un geste de ségrégation ou constituent-elles déjà malgré tout, pour les résidents et leurs familles par exemple, une marge d'intégration, un premier seuil de reconnaissance (social, politique...).
 
Je vais m'empresser de finir la lecture de l'article sur les pionniers pour chercher d'autres propositions ou approfondir celle que j'ai mis en avant.
 
===Re: Proposition -- [[Utilisateur:KLopez|KLopez]] 12 octobre 2010 à 19:58 (CEST)===
 
Avec un peu de retard, je m'y mets enfin...Pour moi, l'idée de travailler le parallèle entre le discours sur l'"intégration" alors que de nouvelles institutions s'ouvraient me semble également très intéressante. A ce propos, je me pose la question suivante: Est-ce dû à un décalage entre les concepts ou idées que les penseurs peuvent défendent et la mise en place longue et difficile de ce type de concepts? De ce fait, s'intéresser aux générations nous permettra peut-être de comprendre l'évolutions des idées dans la société et les difficultés rencontrées pour mettre en place des concepts tels que l'"intégration".
 
== -- [[Utilisateur:Tcheraz4|Tcheraz4]] 24 octobre 2010 à 13:02 (CEST) ==
 
Difficile de se mettre à l'ouvrage. Personnellement, avant de publier quoi que se soit dans l'article 2011, j'ai besoin de pouvoir prendre un temps de mise au point.
Avant de finaliser un texte, je passe personnellement par plusieurs étapes : copies de citations, mots clés, quelques phrases de mises en formes... Le côté décousu et désorganisé de ma pensée entrain de chercher à se formuler a toujours été une affaire privée. C'est pourquoi, même si sur le principe je trouve l'idée de participer à une "intelligence collective" très intéressante, j'éprouve du mal à "partager" cette étape de pré-formalisation, quand bien même elle ne serait qu'une saisie inachevée à retravailler plus tard. Résistance donc, liée certainement à une forme de "pudeur" héritée d'un type d'enseignement ou l'on juge avant tout le "produit fini", le texte achevé, nettoyé, lisse.
 
Je me propose pour l'instant d'écrire les choses comme elles viennent, quitte à les ranger plus tard dans les sections où elles devront être déposées (bibliographie, article...)De cette façon, je serai plus à même de contribuer à l'avancée du travail.
 
En ce qui concerne la bibliographie, deux ouvrages insistant sur les liens entre mémoire et génération :
- ATTIAS-DONFUT, Claudine, ''Sociologie des générations'','' L'empreinte du temps'', Paris, PUF, 1988.
- NORA, Pierre, "La génération", in : ''Les lieux de mémoire'', sous la direction de NORA Pierre, Paris, Gallimard, 1992, vol.III, pp. 931-971.
 
Citation tirée du premier ouvrage (p.172) : " Les discours sociaux sur les générations s’inscrivent dans la production par la société de sa propre mémoire : les représentations collectives associant des tranches d’histoire à des générations données sont autant de marqueurs du temps vécu, structuré, mémorisé. » ex : « Aujourd’hui, à la fin des années 80, on se souvient des années 60, vingt ans après, et on procède à des bilans. Le regard distancié sur ces deux dernières décennies se plaît à des reconstructions qui modèlent, après coup, la génération des années 60 en lui offrant une image d’elle-même composée de ce dont les années 80 se souviennent. »
 
Pour ces auteurs, la "génération" est un objet construit, qui s'effectue principalement :  soit sur la base d'une mémoire collective (celle des acteurs en questions, par les acteurs eux-mêmes) soit sur un travail de recherche et de reconstruction (histoire, sociologie...) par le biais des archives et des témoignages. Pas de génération "spontanée" donc, mais toujours un effort de lisibilité historique, avec les risques inhérents à ce type de construction ''a posteriori'', réduction et simplification.
 
A part ce repérage bibliographique,  j' ai trouvé un texte qui utilise le concept de "génération" en histoire littéraire. J'y reviendrai prochainement.
 
J'ajoute enfin que j'ai transmis le petit mémoire sur la création du foyer de Clair-Bois à Daniel Schneider pour qu'il le mette en ligne.
 
C'est tout pour aujourd'hui, en espérant que ces quelques remarques auront un effet libérateur sur mes contributions futures.
 
==  -- [[Utilisateur:Ruchat|Ruchat]] 26 octobre 2010 à 15:34 (CEST) ==
 
Je comprends bien ces résistances. Mais rien ne vous empêche, même si cela est fortement déconseillé par Daniel Schneider, d'écrire en word dans une page séparée pour mettre de l'ordre, structurer votre propre pensée) et après coller votre propre texte dans le texte commun. Ce serait une première étape. Mais idéalement, il s'agit de "s'adosser" les uns aux autres. Or, si vous n'écrivez pas comment les autres peuvent-elles écrire? Et ainsi construire cette intelligence collective. Personnellement, j'attends vos interventions avant de poursuivre, car selon les directions que vous allez développer je m'y adapterai. Il faut donc vous y mettre bientôt.!
 
==  -- [[Utilisateur:Tcheraz4|Tcheraz4]] 29 octobre 2010 à 15:00 (CEST) ==
 
Encore des bouts de réflexions :
== Intégration sociale ==
 
L' « intégration »  question politique. Des moyens, des lois concourent à en faire un enjeu social d'importance. Concept normatif (il s'agit d'intégrer au tissu social dit ordinaire, normal, des éléments marginaux, rejetés, méconnus, exclus. Concept d'homogénéisation sociale, de justice sociale, l' « intégration » se propose de réduire ou de rendre étanche les marges d'une société trop attachée à une définition saine et perfectible d'elle même. (vite dit, travailler)
 
Toutefois, derrière ce programme politique global...
 
L'intégration des « jeunes délinquants » ne suppose pas les même moyens que l' intégration des personnes en situation de handicapante. (est-ce une bonne question?)
spécificité des moyens.
Important (ou pas) de spécifier?
 
Quelle définition (conceptuelle, juridique,sociale) existent de l'intégration ?
 
Pionniers de l'intégration sociale ? (handicap, déficience intellectuelle...)
 
Pourquoi ? Par rapport à quoi, à quelle situation antécédente ?Rien avant ? Rien ? = pas de lieux, de lois, de connaissances médicales, éducatives ?
Acteurs de l'intégration :
a) les parents
b) les professionnels (médecins, éducateurs, instituteurs...)
c)les politiques ou/et personnes d'influence
d)les chercheurs?
 
a) les parents : ? acteurs les plus « pragmatiques », soucieux de l'avenir de leurs enfants. Reconnaissance sociale. Ne veulent pas que leurs enfants soient exclus, se battent pour la création de lieux, de structures d'accueil. Associations fin des années 50.
questions à poser ? En dehors de l'urgence de leurs situations parentales, l' intégration (au sens politique, de programme social) ? Les parents se battent avant tout pour les conditions d'existence de leurs enfants (discours pragmatique). Base évidente de l'action d'intégration. Mais le discours militant sur l'intégration en générale comme on l'entend à l'uni, en politique et ailleurs, n'est pas forcément celui des parents.
Je pense par exemple à l'investissement énorme des parents avant que des structures soient construites ( à Genève  par edx Aigues-Vertes, Clair-Bois).  Les parents participaient activement au comités d'actions etc... Aujourd'hui, les structures existent, et les parents, sont souvent heureux de pouvoir s'appuyer sur ces structures existantes , sans pour autant chercher à militer activement  pour l'intégration de leurs enfants (la professionnalisation des structures fait que les parents ont moins besoin de s'impliquer dans l'organisation de ces dernières).
Plusieurs degrés de discours sur l'intégration, variant suivant l'implication, l'urgence auxquelles font face les acteurs. Qu'est-ce que je veux dire ? Pas la même chose d'entendre parler Mme Châtelanat de l'intégration et un parent d'enfant en situation de handicap. D'un côté, vision méta et militante, de l'autre vision micr-systé. (Surement des exemples de parents qui réunissent les deux.)
« professionnalisation » du discours sur l'intégration?  Ou l'intégration est une question de politique sociale, alors que les parents agissent avant tou sur des questions de conditions d'existences sociales. Intégration = lien entre certaines pratiques et discours/vision ....

Dernière version du 19 septembre 2014 à 18:28

Ecrivez !!!! Rythme

L'idée de la méthode Learning by writing, met l'accent sur la pratique de l'écriture comme moyen d'intégrer les connaissances. En écrivant, on structure sa pensée (en même temps que le texte), on comprend en expliquant. Mais surtout grâce au wiki, on donne à lire et permet ainsi à chacun/e de suivre la pensée de l'autre. Tout cela pour dire qu'il ne fait pas tarder à écrire!

Ce type de démarche nécessite de suivre un rythme afin d'avancer tous et toutes ensemble. Il ne faut pas attendre la fin du cours pour écrire, retranscrire, poser les questions!!!

-- Ruchat 13 novembre 2012 à 09:48