« Contraception masculine » : différence entre les versions

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===Autres méthodes en voie de développements===
===Autres méthodes en voie de développements===
*le gossypol, une substance contenue dans le coton, à été résponsable de nombreux cas de sterilité chez les hommes cultivateurs.<br>
*le gossypol, une substance contenue dans le coton, à été résponsable de nombreux cas de sterilité chez les hommes cultivateurs.<br>
le gossypol inhibe la mobilité des spermatozoïdes et leur maturation malheureusement cette substance est toxique et perturbe la spermatogénèse à vie. Les chercheurs se penche actuellement sur ce défaut. <br>
le gossypol inhibe la mobilité des spermatozoïdes et leur maturation, il serait ainsi un bon moyen de contraception, malheureusement cette substance est toxique et perturbe la spermatogénèse à vie. Les chercheurs se penche actuellement sur ce défaut. <br>
*Le vaccin
*[[Le vaccin :]] La technique de vaccination consisterait à implanter des anticorps attaquant les spermatozoïdes inhibant ainsi leur activité, notamment la fusion avec l’ovocyte.
*hyperthermie testiculaire
Cependant les antigènes des spermatozoïdes sont encore à l’études, d’autres vois d’études sont en cours.
 
*[[Hyperthermie testiculaire :]] La formation des spermatozoïdes n’est possible qu’a une température inférieur à  2 degrés de celle de l’organisme, ainsi en déclanchant une hyperthermie (par compression des testicules vers l’intérieur du soi-même par exemple) l’on pourrait obtenir un contraceptif efficace. La réversibilité est obtenue après 6 à 12 mois, cependant chez la souris la proportion de malformation embryonnaire après traitement hyperthermique est légèrement plus élevée que chez les témoins, de plus, l’on ignore encore l’effet à long terme sur la spermatogenèse

Version du 10 janvier 2007 à 19:31

LA CONTRACEPTION MASCULINE
Sophie Christine-Maitre et Philippe Bouchard
Pour la science n° 249 Juillet 1998


VincentB 5 décembre 2006 à 10:14 (MET)
AntoineS 5 décembre 2006 à 10:20 (MET)



Les questions manquent de structures et semblent parachutées. Essayez de rendre la lecture du document progressive et cohérente.

Travail léger, le contexte n'est pas encore décrit et manque cruellement à la compréhension des mécanismes hormonaux.

Il faut décrire les mécanismes plus précisement et bien les distinguer.

ENDOCTRINOLOGIE

Fonctionnement hormonale de l'homme

Notre contexte endoctrinologique débute dans l'hypotalamus. dans cette région de notre cerveau,certain neurones apellé neurones sécretoire vont d'après un signal éléctrique secrété des neurohormones.
Dans le cas de la libération d'hormones masculine cette neurohormones s'apelle la GnRH. La GNRH est libérée par bouffée chez l'homme environ chaque heure. Dans l'adenohypophyse, elle se lie à ses récepteurs portés par les cellules gonadotropes qui libèrent la FSH et la LH. Ces deux hormones sont responsables des fonctions testiculaires.

  • La LH stimule la production des cellules de Leydig (production de testostérone).
  • La FSH stimule les cellules de Sertoli (nutrition des spermatozoïdes).

Une fois que ces 2 hormones sont produites elle vont voyager a travers le sang jusqu'aux gonages mâle. Dans les testicules il existe 2 types de cellules:
Les cellules de Leydig sont présentes en petite quantité (5%)dans les testicules. Ce sont ces cellules qui synthétisent la téstostérone, la principale hormone masculine. Ces cellules se trouve entre les deux testicules

Les cellules de Sertoli qui tapissent les tubules séminifères(petits tubes où se forment les spermatozoïdes dans les testicules) sont responsable en partie de l'apport de nourriture des spermatozoïdes (cellules nourrisières). Ces cellules créent aussi une barrière qui vise à protéger les cellules souches produisant les spermatozoïdes, des substance sanguines toxiques.

ARTICLE CONTRACEPTION MASCULINE

qu'est ce que la contraception

la contraception est l'utilisations d’agents, de dispositifs, de méthodes ou de procédures pour diminuer la probabilité de conception ou l’éviter source : OMS.
Ce terme est réservé aux êtres humains et, parfois, à certains animaux, à l'exclusion des végétaux.
Les procédés utilisés doivent être temporaires et réversibles, sinon il s'agit de stérilisation : castration, ligature des trompes.
pour la contraception masculine, il faudrait que le nombre de spermatozoïdes par millilitre soit inférieur à 3mio/millilitre. http://fr.wikipedia.org/wiki/Contraception

Quel est le moyen de contraception masculine idéal?

Le moyen de contraception idéal devra être dépourvu d'effet secondaire, il devra être rapidement opérationnel sans perturber de quelque manière que ce soit l'activité sexuelle des sujets. Cette méthode de contraception devrait aussi être bon marché,sûre et réversible.

méthodes de contraception hormonales

Deux exigences sont donc nécessaires :inhiber la sécrétion de LH et de FSH pour bloquer la production de spermatozoïdes en conservant une concentration normale de testostérone Il existe différentes voies pour obtenir une contraception hormonale sans perturber la libido et la vie sexuelle.
- augmenter la concentration en testostérone (bloque la production de FSH/LH)
- inhiber la production de LH/FSH en freinant directement l’activité de la GnRH

Quels sont précisemement les tissus cibles et l'action des différentes méthodes??

Pourquoi le domaine de la contraception féminine est-il plus avancé que le domaine de recherche sur la contraception masculine?

Si le domaine de la contraception féminine est plus avancé que celle masculine c'est à cause de la complexité de l'appareil génital masculin. En effet celui-ci joue un rôle double. Les testicules créent les spermatozoïdes et la testostérone. Cette dernière est une hormone mâle très importante. C'est elle qui régule la puberté à l'adolescence. La mue de la voix, l'accroissement du corps, les passions, la pousse de la barbe, tous ces phénomène sont régulés par la testostérone. Comme les testicules jouent ce rôle double, il est difficile d'imaginer un moyen de contraception qui puisse neutraliser la formation des spermatozoïdes sans empêcher la production de la testostérone. Pour la gente féminine les recherches sont facilitées car hormones et ovaires sont créés à 2 endroits différents. Voila donc pourquoi la recherche d'un moyen de contraception féminine est plus avancé que la recherche sur les sujets mâles.

injection de testostérone

L’injection brutale de testostérone a pour consequence de bloquer la synthèse de la GnRH durant plusieurs jours afin de réguler la concentration de testostérone, stoppant ainsi la production de FSH/LH (responsable de la production de spermatozoïdes et de testostérone). Ce traitement a déjà été testée et les résultats ont montré qu’elle étai fiable à 35-60% avec une grande disparité ethnique quant à la proportion d’absence totale de spermatozoïdes (90% pour les Asiatiques et 25-75% pour les Européens/Nord-Américains).
Une concentration trop élevée en testostérone à révélée certains effets secondaires tels que :

  • prise de poids.
  • acné.
  • augmentation de la taille de la glande mammaire.
  • diminution du volume des testicules.

Cependant, aucune modification de l’humeur et de l’agressivité n’a été relevée.
Comme tout contraceptifs masculins hormonal il lui faut trois mois pour agir (durée moyenne de la spermatogenèse).Un autre inconvénient est le mode d’administration qui est d’une injection hebdomadaire, ce qui n’est évidemment pas très agréable et administre une trop forte dose ponctuellement. Des méthodes d’administration prolongée et régulière sont en cours d’études tels que l’implant d’un dispositif libérant des androgènes.
Il reste encore beaucoup de recherches à faire pour cette méthode de contraception.

Les progestatifs

Les progestatifs servent à insuffler dans le corps des dérivés de la testostérone. Ceux-ci vont se fixer sur les récepteurs destinée aux hormones masculines et donc les « trompes » et n’ont aucune répercussions sur l’organisme. L’organisme croyant qu’il y à trop de testostérone va arrêter la production de FSH/LH en stoppant la production de GnRH.
Cette opération permet de bloquer deux fois plus rapidement la production des spermatozoïdes qu’avec la testostérone seul. De plus ces progestatifs on une action plus prolongée et donc une meilleur efficacité d’action par rapport à une décharge de testostérone. Des recherches sont en cours pour associer une inhibition de la spermatogenèse tout en maintenant une concentration suffisante en testostérone.

Agonistes et antagonistes de la GNRH

Avec cette méthode de contracéption on va créé un moyen de stopper le GnRH d'étre produit. On injecte des agonistes et il vont se placer sur les recepteurs a GnRH. Ces agonistes sont des elements qui ont le pouvoir de sadapter encore mieu au recepteurs gnrh que l'hormone elle meme (gnrh). Donc les recepteurs fon une meilleur synthétisation de la fsh/lh qu'avec le gnrh. Au bout de quelque semaine les recepteurs a gnrh s'habitue aux agnostices et quand on stop l'apport des agonistes les recepteurs ne sont plus sensibles au gnhr...donc il n'y a plus de production de fsh/lh. Mais on estime que cette méthode ne diminue pas assez le nombre de spérmatozo!ides pour etre valable.

Autres méthodes en voie de développements

  • le gossypol, une substance contenue dans le coton, à été résponsable de nombreux cas de sterilité chez les hommes cultivateurs.

le gossypol inhibe la mobilité des spermatozoïdes et leur maturation, il serait ainsi un bon moyen de contraception, malheureusement cette substance est toxique et perturbe la spermatogénèse à vie. Les chercheurs se penche actuellement sur ce défaut.

  • Le vaccin : La technique de vaccination consisterait à implanter des anticorps attaquant les spermatozoïdes inhibant ainsi leur activité, notamment la fusion avec l’ovocyte.

Cependant les antigènes des spermatozoïdes sont encore à l’études, d’autres vois d’études sont en cours.

  • Hyperthermie testiculaire : La formation des spermatozoïdes n’est possible qu’a une température inférieur à 2 degrés de celle de l’organisme, ainsi en déclanchant une hyperthermie (par compression des testicules vers l’intérieur du soi-même par exemple) l’on pourrait obtenir un contraceptif efficace. La réversibilité est obtenue après 6 à 12 mois, cependant chez la souris la proportion de malformation embryonnaire après traitement hyperthermique est légèrement plus élevée que chez les témoins, de plus, l’on ignore encore l’effet à long terme sur la spermatogenèse