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L'article ne fait pas de nuance dans la perte des poils. Il considère la peau humaine comme glabre uniquement recouvert d'un duvet et de poils à certain endroits, or beaucoup d'homme ont des poils sur une bonne partie du corps. De plus un "entre-deux" (entre un pelage et une peau complétement glabre)semble plus avantageux car les poils permette de retenir un peu l'eau, ce qui est utile dans les régions arides. D'autant plus que les poils éparse de l'éléphant, animal qui à d'importante contraintes à évacuer la chaleur (rapport surface/volume)lui permettrait d'augmenter de 23% sa chaleur corporel en plus, bien qu'il ne "transpire" pas car ils n'ont pas de glandes sudoripares (3).
L'article ne fait pas de nuance dans la perte des poils. Il considère la peau humaine comme glabre uniquement recouvert d'un duvet et de poils à certain endroits, or beaucoup d'homme ont des poils sur une bonne partie du corps. De plus un "entre-deux" (entre un pelage et une peau complétement glabre)semble plus avantageux car les poils permette de retenir un peu l'eau, ce qui est utile dans les régions arides. D'autant plus que les poils éparse de l'éléphant, animal qui à d'importante contraintes à évacuer la chaleur (rapport surface/volume)lui permettrait d'augmenter de 23% sa chaleur corporel en plus lorsque le vent est faible, bien qu'il ne "transpire" pas car ils n'ont pas de glandes sudoripares (3).


Y-a-t'il des différences du pourcentage de poil sur le corps en fonction des régions habitée ?
Y-a-t'il des différences du pourcentage de poil sur le corps en fonction des régions habitée ?

Version du 1 février 2018 à 12:18

L’orang-outan

L'absence de poil ainsi qu'une augmentation des glandes sudoripares aurait conféré au hominidé un avantage évolutif non négligeable. Face au contrainte de l'environnement qui se serait asséché suite à un changement climatique, les hominidés ont du changer de régime alimentaire(car la végétation n'aurait plus été suffisante pour un hominidé)et serait devenu carnassier. La chasse nécessite de plus grand déplacement, et dans un milieu chaud et sec, un activité intense (tel la chasse) mène rapidement à une hyperthermie puis à la mort pour des animaux à sang chaud.


L'article ne fait pas de nuance dans la perte des poils. Il considère la peau humaine comme glabre uniquement recouvert d'un duvet et de poils à certain endroits, or beaucoup d'homme ont des poils sur une bonne partie du corps. De plus un "entre-deux" (entre un pelage et une peau complétement glabre)semble plus avantageux car les poils permette de retenir un peu l'eau, ce qui est utile dans les régions arides. D'autant plus que les poils éparse de l'éléphant, animal qui à d'importante contraintes à évacuer la chaleur (rapport surface/volume)lui permettrait d'augmenter de 23% sa chaleur corporel en plus lorsque le vent est faible, bien qu'il ne "transpire" pas car ils n'ont pas de glandes sudoripares (3).

Y-a-t'il des différences du pourcentage de poil sur le corps en fonction des régions habitée ? -Sans aucune étude, issue peut être de clichés, je dirai que les hommes vivant dans un climat méditeranée sont plus poilu que dans le nord ou en Afrique. Est-ce vrai ? Si oui, est une question d'humidité ?

Pourquoi avons nous conservé les cheveux et la barbe ? -Critère sexuel ? -Si la pousse de poil est lié à l'activité sexuelle(1), grande barbe= grande activité sexuelle= male fort/dominant ?

Il existe différents types de cheveux qui selon certain scientifiques serait issue du adaptation au climat régional (2). Quel avantage cela confèrerait-il ? Ou pourquoi une telle adaptation se fait ?


(1) https://fr.wikipedia.org/wiki/Pilosit%C3%A9_humaine (2) https://fr.wikipedia.org/wiki/Cheveu (3) http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actu-rafraichissant-comme-un-poil-d-elephant-30567.php

Résumé de l'article

Les poils constituent un aspect important de la diversification entre les être humains et nos proches cousins les grands singes. La différence entre le singe et l'être humain est la quantité de poils ainsi que la répartition des zones pileuses sur le corps. L'être humain est un primate qui possède une peau presque glabre, ce qui signifie une faible présence de poils sur les couches externes de la peau.

L'histoire de cette perte de poils s'opère notamment à l'aide des fossiles analysés qui contiennent des éléments de l'évolution de la peau humaine. Les résultats issus de la génétique et de la physiologie permettent à la fois l'étude de cette transformation chez l'être humains ainsi que la période à laquelle elle a eu lieu.

Les poils ont divers rôles comme l'isolation thermique, la protection contre l'abrasion, l'humidité, les rayons UV et les microorganismes étrangers. En outre, ils sont utiles pour le camouflage ainsi que pour la communication. Cependant, ces avantages se perdent lorsque la peau ne possède pas suffisamment de poils ou lorsque ces derniers sont fins. Chez ces organismes (souterrains et marins), la nage et la plongée sont facilitées à l'aide de leur peau lisse. De plus, ils sont dotés d'une couche de graisse qui substitue l'isolation thermique.

La peau nue est également présente chez les grand mammifères terrestres de telle sorte qu'ils n'aient pas chaud. Un animal grand et doté d'une surface corporelle petite en comparaison à sa masse, ce qui empêche l'évacuation de l'excès de chaleur interne. En revanche, le mammouth est un exemple d'animal qui conservait sa chaleur corporelle et la réduction de ses besoins alimentaires grâce à son isolation externe qui découle d'un fort pelage.